​2019, FRANCE, Europe : MACRON et sa clique de Français-Mac(r)ons, 666. Pillage de l'État et de l'Europe, Spoliation et extorsion des personnes contraires à leur Politique, leur Religion et leur Dogme satanique.


Préambule

Le présent témoignage est la suite des rocambolesques mauvaises aventures qui me sont arrivées en 2013 et 2018, narrées dans les précédents ouvrages publiés dans la même série

« Français, je n'ai Absolument AUCUNE Confiance en la Justice de Mon Pays »:

2013, FRANCE, VAR : Agression, Séquestration, Saucissonnage, Rançon, Extorsions, Vols, Intimidations, Chantage, Menaces de Mort - Délits couverts par la Gendarmerderie Varoise, les procureurs, les magistrats, associés à l'organisation criminelle locale -Le Département du VAR, La Ville de TOULON, La ville d'Aix-en-Provence, Nids « Maconnique »;

2018, FRANCE, VAR : Internement Abusif, à Buts Politique, Religieux et Dogmatique - Le Département du VAR, La Ville de TOULON, nid « Maconnique ».




Vous trouverez donc au cours de la lecture des références à ces événements et à ces informations sensibles, certains et certaines seront repris(es) parfois sommairement.




2013 n'est pas un point de départ mais la conséquence de plusieurs années de combat contre la secte macon(sata)nique.










Je ne révèle pas que mes « affaires » personnelles, mais des faits découverts quant à leurs sales entreprises de fraudes, de vols, d'extorsions, de menaces, d'intimidations, mais aussi de pillage de l'état français, et ce, depuis des lustres.

Ils ont infiltré tous les rouages de la société, afin de perpétrer leurs crimes en toute impunité, jouant au chantage menaçant de rétorsion judiciaire quiconque oserait leur mettre des bâtons dans les roues de leur mécanisme bien huilé.

Désormais, plus rien ne les arrête...










Note d'information UNE: La Lettre au Ministre de l'Intérieur, Gérard COLLOMB, et au Premier Ministre, Édouard PHILIPPE

Je vais reprendre quelques éléments déjà publiés afin d'offrir au présent témoignage/ouvrage, une indépendance de légitimité sans avoir à être subordonné à des références extérieures.




Le détonateur qui a mis le Feu aux Poudres, officiellement, mais aussi et surtout, le prétexte officiel pour détourner l'attention d'intentions de procès politique et para-religieux, et qui a servi de fallacieux prétexte pour mon internement et des poursuites judiciaires illégales afin de justifier des extorsions et des spoliations sur ma personne..




28 Février 2018 R.A.R. Envoyé par le site de La Poste

MINISTERE DE L'INTERIEUR

Place Beauvau 75008 Paris

A L'ATTENTION PERSONNELLE de Édouard PHILIPPE




A L'ATTENTION PERSONNELLE DE GERARD COLLOMB

Hôtel Matignon 57 rue de Varenne 75700 Paris SP 07




Objets : MISE EN DEMEURE ET DEPOT DE PLAINTES PENALES

contre les gendarmes et spécialement MDL/Chef DALL'OPPIO Fabien
de la Brigade de Gendarmerie du BEAUSSET,

Bd du 11 novembre 1918 83330 LE BEAUSSET

Pour CORRUPTION, COLLUSION AVEC UNE ORGANISATION CRIMINELLE, INTIMIDATION, HARCELEMENT, MENACE, ABUS DE POUVOIR ET DE FONCTION à des FINS PERSONNELLES, COMPLICITE des DELITS EN BANDE ORGANISEE de DISSIMULATION de FRAUDES COMPTABLES et FISCALES, de DETOURNEMENTS DE FONDS, de BLANCHIMENT, d'ESCROQUERIE, de CHANTAGE, d'ENTRAVES à la MANIFESTATION de la VERITE, POSSIBLE COMPLICITE de TRAFIC de STUPEFIANTS et de CAMBRIOLAGES, etc.

Monsieur Le Ministre de l'Intérieur, responsable de la Gendarmerie et des actes délictueux des gendarmes,

Monsieur Le Premier Ministre, responsable de vos ministres et ministères,




Depuis plusieurs années que je séjourne occasionnellement dans le Var, et même dans les Bouches-du-Rhône, j'ai pu constater une récurrente corruption des autorités, et spécialement de la gendarmerie locale, collusion qui va jusqu'à se mêler et à s'impliquer avec la pègre, la mafia régionale.

Désormais, je suis confronté à une nouvelle entreprise de corruption criminelle de gendarmes de la Brigade du Beausset, et particulièrement le MDL/Chef DALL'OPPIO Fabien, sachant qu'il a des complices gendarmes à ses ordres, n'agissant pas seul, commettant même les délits pénaux cumulés de CORRUPTION, COLLUSION AVEC UNE ORGANISATION CRIMINELLE, INTIMIDATION, HARCELEMENT, MENACE, ABUS DE POUVOIR ET DE FONCTION à des FINS PERSONNELLES, COMPLICITE des DELITS EN BANDE ORGANISEE de DISSIMULATION de FRAUDES COMPTABLES, de DETOURNEMENTS DE FONDS, de BLANCHIMENT, d'ESCROQUERIE, de CHANTAGE, d'ENTRAVES A LA MANIFESTATION DE LA VERITE, POSSIBLE COMPLICITE DE TRAFIC DE STUPEFIANTS et DE CAMBRIOLAGES, etc.

L'historique :

Vous trouverez ci-joint le courrier expliquant la situation délictueuse, que j'ai adressé le 26 février 2018 (reçu le 27 février par Mme CAUSSIN) aux deux co-gérants officiels (en fait, il y a aussi Philippe COLOMBO qui donne son nom au garage et qui ne peut être gérant officiellement...) de la SARL COCOFISH (3478 QUARTIER LE VAISSEAU RN 8 13420 GÉMENOS,  492 336 771  R.C.S. MARSEILLE, Nom commercial : COLOMBO CHALLENGE), à savoir, d'une part, Mme Anne Marie Madeleine CAUSSIN, née le 6 septembre 1955 à Marseille 1°, demeurant au 970 Chemin du Grand Pin Le Mas des Chevrefeuilles - 83330 LE CASTELLET-, et d'autre part, Laurent ROMANO, né le 6 octobre 1968 à Marseille 1°, demeurant ( LE BASTIDON ) Chemin du Pas de Vicaire, Route des Crêtes 13260 CASSIS.

Déjà, le 24 novembre 2017, je leur avais adressé la même mise en demeure, mais à l'adresse de leur société. Aucune réponse officielle ne fut rendue.

Seule, une tentative de contact, le 28 novembre, par téléphone (messagerie) et par courriel

(fabien.dall-oppio@gendarmerie.interieur.gouv.fr)

par ledit MDL/Chef DALL'OPPIO Fabien, de la Gendarmerie du Beausset, message qu'il s'est bien gardé d'établir sous une forme autre que neutre, sans motif ni référence.

Déjà, j'avais trouvé étrange le fait et le délit de non-respect des usages du Droit en matière de juridiction, tout comme l'inapproprié de cette dernière. En effet, mon courrier recommandé avait été adressé au siège de la société, à Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, dans un autre département donc que celui du Var où est basé ce gendarme, mon adresse était et est sur Paris, donc aucune raison qu'une personne officielle s'autorise à exercer une action depuis une juridiction qui ne le concerne pas.

J'ai laissé passer 3 mois car j'avais d'autres occupations et objectifs professionnels comme, entre autres, des travaux de recherches en physiques nucléaires.

Le 26 février dernier, j'ai renouvelé ces courriers recommandés depuis le site internet d'envoi de courrier de La Poste, adressés directement aux deux co-gérants, à leur adresse respective que j'avais obtenues en acquérant une copie du K-Bis.

Le 27 février, l'un deux avait déjà été distribué, celui à Mme CAUSSIN, et l'autre était en instance de retrait.

Le même jour, une tentative d'appel de la gendarmerie du Beausset, me laissant toujours un message laconique. Puis, par deux fois, ils ont tenté de m'importuner, me harcelant, à une de mes résidences secondaires. Je n'ai jamais vu de la part d'une des gendarmeries locales, comme des polices, tant de réactivité, sauf quand ils sont personnellement concernés et/ou impliqués, si ce n'est leurs « amis ».

Bref, ils ont tenté de m'intimider. Se gardant bien de m'envoyer un courriel, ou de me fournir des preuves écrites de leur tentative d'exaction à mon encontre.

Il est à ajouter que le courriel envoyé en novembre par le MDL/Chef DALL'OPPIO Fabien, l'avait été à l'adresse de ma fondation ANOTOW ONG (anotow@xxx.com), et qu'il ne pouvait en avoir eu connaissance que par ledit courrier recommandé que j'avais envoyé aux co-gérants, par lequel je leur indiquais cette adresse e-mail, et mon adresse personnelle de Paris. La collusion avec les crapules que je mettais en cause et la tentative d'intimidation à mon encontre étaient déjà caractérisées.

Il est important de préciser que :

Il y a tous les ans, aux mêmes périodes, une vague de cambriolages sur la commune du Beausset, en général une quarantaine, et en ce début d'année 2018, une centaine, et la même gendarmerie locale n'a rien fait.

La commune du Beausset est une plaque tournante pour le trafic de drogues, à petite et grande échelle, idéalement située pour la vente au détail, en bordure des Bouches-du-Rhône (donc d'une autre juridiction...), accessible depuis une autoroute en 2 minutes, et la même gendarmerie locale ne fait rien.

L'aérodrome du circuit du Castellet (Paul RICARD) est une porte d'entrée pour le trafic à grande échelle, comme par exemple, celui de drogue, VINCI l'ayant racheté après que j'eusse dénoncer ces délits il y a 2 ans, offrant par la même occasion, si ce n'est une virginité, une protection juridique, légale et collusive (mafieuse), et la même gendarmerie locale ne fait rien.

Mme CAUSSIN entretient ses relations avec la même gendarmerie locale en les invitant à des réceptions personnelles...

Stéphane CLAIR, directeur de la société EXCELLIS qui détient le circuit ci-dessus nommé, pratique des fraudes comptables et fiscales, de blanchiment, comme déjà en vendant de fausses assurances (circuit de kart), une société de droit étranger d'un paradis fiscal (Ile Maurice avec un gérant suisse...), et la même gendarmerie locale ne fait rien.

Si l'on veut déposer une plainte, ou même seulement une main courante contre une personne impliquée dans la mafia locale, les même gendarmes de la même gendarmerie locale refuse de les enregistrer (par exemple, une voisine harcelée par une autre voisine a voulu déposer une main courante, le planton de la gendarmerie a refusé parce qu'il ne voulait pas offusquer cette voisine harcelante au prétexte qu'elle travaillait au service des impôts situé au Beausset, et qu'elle faisait ses fiches de paie et versait son salaire...), et la même gendarmerie locale ne fait rien.

Une personne fichée « S », sous contrôle judiciaire pour une importante affaire d'escroquerie d'une centaine de victimes, instruite à Toulon dans le Var, mais dont le pointage se faisait à Marseille parce qu'il avait déclaré son adresse dans les Bouches-du-Rhône, cette personne donc, vivait dans une villa, à une centaine de mètre de cette gendarmerie du Beausset, continuait ses affaires, à savoir à faire de faux documents, de la fausse monnaie, du trafic et du blanchiment de Bitcoin, à faire des escroqueries à la carte bancaire s'élevant à plusieurs millions d'euros, à faire du trafic de boissons sucrées et/ou énergisantes avec toutes les organisations criminelles de France grâce à ses accointances avec une personne locale des douanes qui lui faisaient des attestations et des facilités de passage en douanes, lui (le douanier) rapportant 25.000 € mensuel, et la même gendarmerie locale ne faisait rien.

Un clerc de commissaire priseur, en complicité avec un mandataire liquidateur, a fait des détournements et des ventes « confidentielles » de biens d'une société en liquidation sise au Beausset, et la même gendarmerie locale n'a rien fait.

Etc.

Si l'infiltration de policiers, de douaniers, d'agents de renseignements dans les milieux terroristes et les organisations criminelles est devenue commune, la réciproque est aussi vraie, même si elle n'est jamais évoquée en France, à savoir, l'infiltration de crapules, de salopards, de français-macons, de mafieux, de membres de famille mafieuses, de complices, d'amis au sein de la police, de la douane, des autorités, de la magistrature, et bien entendu de la gendarmerie.

Il est bien connu que la mafia italienne est présente en la région PACA, et le nom de ce gendarme, DALL'OPPIO, à consonance italienne, ne peut m'ôter de l'esprit de son parti pris avec ces vermines.

Il est aussi à noter que, de toutes les autorités, la plus organisée, la plus hiérarchisée et donc la pus répandue et la plus criminelle, tentaculairement au niveau national, à l'opposé des autres qui ne subissent qu'une corruption localisée et privée, c'est bien la gendarmerie. Elle offre la plus efficace et la plus dangereuse, d'une part, par son réseau sur tout le territoire français « grâce » au truchement des grades et des attachements militaires, d'autre part, par son caractère de cercle fermé bien distingué du reste de la population, et ensuite, « grâce » à la qualité morale et mentale de sous-hommes que sont les miliaires qui obéissent systématiquement, sans (se) poser de questions, à tout ordre de son supérieur. Il est bien connu la nature stupide et « moutonesque » des militaires. Pour illustrer leur manque de fiabilité morale, il n'y a qu'à évoquer la période de la seconde guerre mondiale, durant laquelle cette espèce d'armée a su obéir à la fois aux ordres des nazis en zone occupée, et aux ordres de Vichy. Sans compter leur propension à l'alcoolisme. Il est à exprimer enfin le caractère anachronique et même illégal de la gendarmerie, une police militaire qui s'occupe des choses de civils, et ce, en temps de paix, et non de guerre.

Comme le disait CLEMENCEAU, « La guerre est une chose trop grave pour la confier à des militaires ». Et la Paix ? Doit-on la leur confier ? Pire que si on le faisait à une armée classique, à une organisation militaire spécifique qui s'occupe de chose civile, comme la circulation ???




Pour finir, votre gendarmerie, du moins les gendarmes incriminés, me doivent la somme détournée par les personnes qu'elles protègent, abusant de leur position et de leur autorité à des fins personnelles, à savoir, la somme de 15.000 € (quinze mille euros), assortie du même montant pour les dommages, préjudices et intérêts originaux causés, et ensuite la somme de 1.000.000 € (un million d'euros) pour les préjudices induits dernièrement.

Vous avez 15 jours pour me verser ces sommes à titre d'arrangement à l'amiable.

Passé ce délai, vous me devrez 50.000 € (cinquante mille euros) supplémentaires par semaine, jusqu'à la date de versement total.

Il va de soi que des réparation financières ne seront pas suffisantes, et je vous mets en demeure de mettre à pied et d'entreprendre immédiatement toute poursuites judiciaires ainsi que de prononcer des sanctions disciplinaires, comme déjà leur « démission », à l'encontre du MDL/Chef DALL'OPPIO Fabien et des gendarmes de cette gendarmerie impliqués dans cette corruption qui m'oppresse, ainsi que celle qui gère les autres délits qui me sont étrangers et que je dénonce en la présente, comme la collusion mafieuse dans les trafics de drogues, les cambriolages, etc.

Pour finir, je vous mets en demeure de me fournir la liste des noms des gendarmes de cette gendarmerie.




Je profite de cette missive pour vous faire part de mes dernières recherches scientifiques et de la prochaine commercialisation, en octobre 2018, d'une nouvelle arme de dissuasion (sic) massive, qui sera vendue par une de mes sociétés étrangères (je ne suis plus résident français en France), et pour laquelle, pour l'obtenir, il vous faudra remplir des critères qui ne seront pas que d'ordre (exclusivement) financier.

En effet, si la présente affaire décrite n'est ni l'objet de mesures de poursuites à l'encontre de ces crapules, ni la réalisation du règlement de mes préjudices, votre état, votre gouvernement, votre armée, vos polices, votre gendarmerie ne pourront prétendre à être parmi la liste des rares pays à en avoir la jouissance.

Pour information, cette dénommée « arme » est un système chimique sur-pulvérisé qui neutralise toute arme conventionnelle à poudre, et même certains explosifs, en méthode préventive et préalable. Pour exemple, une arme ou des munitions soumises à cette micro-pulvérisation deviennent inopérantes. Il en va de même avec certains explosifs, peut-être même avec des mines et des grenades (des tests doivent être faits au sujet de ces applications). Aussi, pensez à l'extrême utilité et nécessité de ce système pour contrer des attaques et des attentats aux armes à feu et/ou aux bombes.

Veuillez recevoir, Monsieur Le Ministre de l'Intérieur, responsable de la Gendarmerie et des actes délictueux des gendarmes, mes sincères salutations, espérant que vous êtes un tant soit peu intègre.

Veuillez recevoir, Monsieur Le Premier Ministre, mes sincères salutations, espérant que vous êtes un tant soit peu intègre.




Laurent GRANIER

Maître Philosophe, Inventeur, Théoricien

Fondateur de l'ONG “ANOTOW” qui dénonce et combat la corruption

Adresse en France : 75018 PARIS







Pour ceux qui ne le savent pas, Gérard COLLOMB a donné sa démission en septembre 2018, se montrant en profond désaccord avec, ce qu'il a découvert tardivement, notamment par l'affaire « BENALLA », la bande de malfrats qui a fait main basse sur le pouvoir, Élysée et Matignon, le trio Emmanuel MACRON, Édouard PHILIPPE et Alexis KOHLER.

Nous ne savons pas tout sur ce dossier, loin de là, et en tant que ministre de l'intérieur, il en savait bien davantage, et bien entendu, des informations qu'il ne pouvait révéler, comme, notamment, le chantage subi par Emmanuel MACRON par son ancien « proche », au titre des connaissances intimes de son homosexualité, une orientation bien connue dans les milieux idoines chics.

Peut-être aussi parce que ces éminences du pouvoir ont essayé de lui faire porter le chapeau dans cette étrange affaire, où la sécurité du pays est en jeu puisque ce petit agent du service de la sécurité du président, qui fait aussi partie de la gendarmerie(...), a en main des éléments si perturbateurs, qu'ils lui permettent, en toute impunité, de mentir au Sénat, et de continuer à exercer officieusement, avec, toujours en sa possession, des passeports diplomatiques, un téléphone crypté, et ce, sans passer par la case « Prison », sans être en détention préventive, libre de ses mouvements, sans même être importuné, ni par les autorités, ni par le gouvernement...

A la réception de ma missive, Gérard COLLOMB m'avait répondu le 15 mars 2018, par l'entremise de Jean-Marie GIRIER, qui m'informait qu'au titre de la séparation des pouvoirs, alors que ce corps d'armée est quand même sous son autorité et donc, sous sa responsabilité, qu'il la transmettait au ministère de la Justice, à la femme qui le porte si bien au regard de sa « personnalité spirituelle », au visage de sorcière, Nicole BELLOUBET, mais aussi, sans le nommer, au « Monsieur le général d'armée, directeur général de la gendarmerie nationale ».

Une autre manière de faire étouffer l'affaire, en envoyant la « patate chaude » en d'autres mains...

En l'occurrence, de celles de Richard LIZUREY, le général de la Gendarmerderie.

Et, rien n'a bougé.

Mais, au moins, il a eu le courage et la courtoisie de me répondre. Ce qui n'est pas le cas de l'asperge homosexuelle perverse et couarde, Édouard PHILIPPE.

Rien n'a été entrepris.

Notamment contre ceux que je dénonçais, autant les gendarmes en question, que les « magistrats », que les fraudeurs et crapules auxquels j'attribuais un lien de faveurs entre les premiers et les seconds avec les troisièmes...

Mais, depuis le départ de Gérard COLLOMB, un balourd a pris sa place en tant que ministre de l'Intérieur, le type idéal pour le trio dirigeant, de constitution morale de nature servile à l'extrême, le subalterne par excellence.

Et alors, depuis quelques mois, le risque politique devenait grandissant.

J'étais en pleine rédaction d'une missive à l'attention du Sénat, afin de le contraindre juridiquement, d'entreprendre ce qu'il était de leur devoir sans même que je n'eusse à leur signifier, une procédure de destitution d'Emmanuel MACRON de son poste de président de la République, ce, à l'appui d'informations encore plus sensibles, mettant en lumière les financements occultes de son parti et surtout de sa campagne présidentielle, liés à la complicité de certains politiques et représentants de l'État, et d'autres magistrats.

Une manigance dont la corruption avait, et a toujours pour conséquences une des pires pollutions de la mer Méditerranée, celle des Boues Rouges, avalisée et validée par les responsables passés et actuels des successifs gouvernements français, par l'entremise des préfets locaux, et pour laquelle j'avais déposé une plainte à la Cour Pénale Internationale à La Haye, pour Crime contre l'Humanité.

J'avais d'ailleurs été en contact, au printemps 2018, par l'intermédiaire de l'ONG « ANOTOW », et suite à sa demande par courriel, avec une prétendue étudiante journaliste qui s'intéressait à cette affaire. J'avais déjà trouvé son attitude médiocre, du type comme si tout lui était dû, informations et preuves, bref, tout le travail effectué par mes soins, sans qu'elle bouge son cul de son bureau, mais tout en en tirant le mérite et la gloire. Une attitude certes typique de la mentalité des journalistes, notamment français, mais aussi d'une manière péremptoire, comme celle des autorités, et des cons de militaires en faction auprès des civils...




J'ai compris six mois après, à mes dépens, sans son aveu, qu'il s'agissait d'une, ou plutôt de « la » gendarme... Mais, j'y reviendrai.

J'avais aussi pris contact, et ce, malgré ma piètre considération à son endroit et pour son penchant politique qui est une vérole morale pour toute noble société, avec Jean-Luc MÉLENCHON, afin de lui communiquer ces informations sensibles, comme la copie de ma missive au Sénat, à la suite de la multiple perquisition illégale qu'il avait subie, et qui avait fait les choux gras des médias débiles, qui n'ont rien compris de son légitime énervement.

Mais, j'ai appris tardivement qu'il était membre d'une sale secte...




Les journalistes sont des vendus, bien plus que leurs journaux.

Ils sont partiaux, faiblement « neuronés », et pour la plupart, moralement nauséabonds de supériorité. Tous les jours, ils se chargent eux-même de le démontrer par leurs propos de bas étage.

Il y a certes des exceptions parmi elles et eux, mais elles et ils sont souvent bridés par leur rédacteur en chef, ou leur propriétaire...




Je combattrai et dénoncerai toujours les salopards de représentants des institutions, corrompus, qui bafouent le Droit français, pour leurs seuls bénéfices personnels, ou sectaires...




Parallèlement, j'allais témoigner contre les services fiscaux français dans l'affaire UBS, dont le procès pénal à Paris, avait débuté le 08 octobre et s'achevait le 15 novembre 2018.

Une affaire politique plutôt, les suites d'un contentieux juridico-judiciaire entre la France et la Suisse, au sujet de prétendus « Lanceurs d'Alerte » dans lequel les autorités françaises, et même européennes, refusent de suivre la loi et les jugements helvétiques.

Sans compter les cas ENEDIS, AXA (H. De Castries), PIP, BILDEBERG, etc.




Et un petit mot sur la notion de corruption.

Le quidam pense généralement à une rétribution financière, ou à son équivalent par des avantages en nature.

Or, la corruption n'est malheureusement pas circonscrite à ce type de gain, d'échange matériel, car, sinon, elle serait facile à déceler, laissant toujours des preuves concrètes derrière elle.

La plus étendue est celle morale, qu'elle soit motivée par l'appartenance à un parti, à un syndicat, à une idéologie religieuse, à une secte.

Cette corruption, minimisée à l'extrême, n'est même pas appelée ainsi, mais juste, pudiquement, « Parti-pris », « Conflit d'intérêts ».

Or, c'est bien de cette corruption, la pire, dont nous parlerons puisque, quoi qu'il en soit, « Indépendance » ne veut pas dire « Intégrité ».

Bien au contraire...

Et la « justice française » en est bien le meilleur exemple.

Elle a toute latitude d'agir, impunément, commettant, délibérément, toujours plus de fraudes, de crapuleries, aux seuls bénéfices de certains frères et sœurs...




Préambule à retardement : La Mise au Point épistolaire en matière juridique

Pour information, mes missives, mes mises en demeure, mes plaintes, contiennent parfois des formules outrancières, voire d'apparence inappropriées, mais uniquement quand cela est bien nécessaire, n'ayant pour but que de susciter une réaction de la part de son destinataire, par leur provocation.

Elles n'y sont présentes que par le bilan négatif établi après de nombreuses années, d'avoir été confronté en permanence à des personnes, non seulement incompétentes et fainéantes, mais surtout malhonnêtes, assorties de mauvaise foi, et ce, au vu des précédentes correspondances et plaintes qui sont restées lettres mortes, ou simplement parce que les personnes officielles, procureurs, magistrats ou greffiers, en ont fait fi, sans doute trop gênantes pour leurs amis... Mais qui les ont précieusement conservées pour exercer pression, chantage, intimidation, menace, extorsion, pour leur propre compte...

La provocation n'est malheureusement bien nécessaire que par le constat permanent de faire face (paradoxe) à l'absence de réaction de la part des responsables, qu'ils soient les auteurs des crimes et délits, ou qu'ils soient ceux qui les protègent d'une manière délibérée, alors corrompue, ou par simple lâcheté, laxisme ou nonchalance morale et « vertuelle ».




La provocation est le seul moyen qui peut enfin engendrer une réaction au niveau « pacifique », avant la décision de passer à l'action, principalement par la violence.

Les « Gilets Jaunes » en savent quelque chose. Ils n'ont obtenu une attention et une considération qu'avec cette dernière.




La provocation est le moyen d'imposer, et même de mettre au jour, la vérité.

En effet, « Prêcher le faux pour déceler ou obtenir la vérité », est une forme de provocation.




Quoi qu'il en soit,

« La plus belle victoire du diable est bien celle lorsque l'homme de bien ne fait rien, le laissant faire ».

Et donc, tout Homme se doit d'agir en conséquences, à la mesure de ses moyens, pour dénoncer et combattre les sales actions des salauds.

Aussi, tout est acceptable pour accéder à cette noble quête.

De surcroît, il est évident que ces phrases, inscrites dans des courriers officiels, pouvant et ayant pour raison d'être, d'être produites en justice par ma part dans les procédures que j'entreprendrais, sont tant ridiculement exagérées, et même contre-productives sur un plan juridique basique, et même davantage, préjudiciables en en desservant le fond, qu'elles ne peuvent être prises au premier degré que par les sots, les médiocres, les béotiens, et les abrutis malhonnêtes qui les utiliseront comme prétextes, dans le seul but de détourner l'attention de leurs délits dénoncés.

La présente affaire « Gendarmerderie/ Caussin-Colombo-Romano » en est la parfaite démonstration. Qui a soulevé le point du détournement de mes 15.000 euros par le trio ???




Mais, parfois, cela peut aussi avoir un effet boomerang, une stratégie que j'appelle de « Double Tiroir », qui est fine et méticuleuse, et qui rapporte des fruits extraordinaires comme la preuve évidente de la complicité mise à l'index.

Mais, je dois l'avouer, rarement elle va jusqu'au bout, car, les adversaires utilisent une attitude commune en droit, celle d'ignorer, plutôt que d'y répondre.

Rarement, mais quand elle fonctionne, elle est d'une redoutable efficacité, et engloutit tout entier tous les protagonistes, et ceux satellites, complices, qu'ils soient directs ou indirects.




J'ai pu enfin en avoir la démonstration avec cette affaire, qui a fonctionné à merveille, et bien au-delà de ce à quoi je pouvais m'attendre. La preuve irréfutable d'un réseau de corruption dans le Var, et Toulon en particulier, mêlant non seulement la gendarmerderie locale, mais aussi « les » procureurs, « des magistrats », « les » préfets locaux, et un maire, mais aussi des « docteurs », un directeur d'hôpital, etc.




D'ailleurs, « fair-play », j'évoquais cette stratégie psychologique dans la mise en demeure adressée aux intéressés, auteurs de délits et qui m'avaient floué, que vous trouverez ci-après dans un autre chapitre (voir Mise en Demeure à CAUSSIN-COLOMBO-ROMANO).

« Je connais aussi des stratégies pour forcer l'enregistrement et la mise au jour de vos délits que vous chercheriez à étouffer. Par exemple, voici une double manœuvre à double tiroirs : une personne viendrait à votre garage (ou chez vous), ouvrirait la baie vitrée qui sert d'entrée, et jetterait une grenade offensive, prenant bien soin de ne blesser personne, du moins le chien. Alors, une enquête se dirigerait vers moi naturellement, et alors, je pourrais rendre compte officiellement de toutes vos magouilles en même temps que vos délits à mon encontre, à savoir ceux d'escroquerie, de tromperie, d'abus de confiance, de fraude comptable, de fraude fiscale, de détournement de fonds, de blanchiment, de faux et usage de faux, de tromperie sur conformité, de détournement de gérance, etc. ».




Mais, malgré cette mise en garde en filigrane, mais ouverte et claire, ils sont allés droit dans le piège « intellectuel ».

C'est pour dire s'ils sont bien cons, tous, bien plus que ce que je pensais, d'avoir agi de la sorte, ayant été pourtant prévenus.

Ou alors, s'ils l'ont fait consciemment, cela prouve bien leur certitude, leur confiance en leur réseau d'influences et de corruption, qui leur offre une absolue sale impunité, mais qui appuie encore davantage l'effet « Double Tiroir »...




Il est aussi amusant d'avoir pu constater que cette phrase, dans son premier degré, a été reprise par les personnes « intelligentes » de la gendarmerderie en charge de l'enquête contre moi, exclusivement contre moi, et jamais contre une des personnes que je dénonçais, éludant toute question du pourquoi et du comment, lors de mon audition !

Et bien entendu, la gendarmerderie, comme la police, ne fait rien sans ordre de l'éminence, à savoir procureur ou juge d'instruction.

Et en cette affaire, au moins, un des procureur(e)s.




Un mouton, deux moutons, trois moutons,...







Ce qu'aucun d'eux n'a compris, c'est pour dire la pauvreté neuronale de leur outil cérébral, autant celui des destinataires comme celui de leurs amis gendarmes, comme surtout celui des procureurs, et ce, même suite à ma réponse explicative au cours de mon audition, c'était bien la notion du « Second Tiroir ».




Pourtant, j'avais tenté de leur faire comprendre que le « système » de cette stratégie (en réalité, uniquement par le premier tiroir...) était de les contraindre à m'attaquer judiciairement sur de tels propos, ce qui ferait obliger le système judiciaire à s'interroger sur leurs délits par la cause de leur teneur outrancière, en me poussant à devoir les justifier, et donc, eux, à en faire de même.

C'est l'explication que je leur fournissais, en concluant, que ma stratégie avait bien fonctionné, puisque je me retrouvais devant eux !

Démonstration ainsi faite.

Mais, je ne pouvais pas, en cet instant, dans une telle situation coercitive et délicate où ma vie était en jeu d'une manière ou d'une autre, évoquer le « Second Tiroir ».

Je leur avais pourtant donné matière à réfléchir.

Mais, soit ! Ce sont des militaires, et la réflexion n'est ni de leur formation, ni de leur qualité pour avoir été enrôlé(e)s, ni même du critère et du mode de sélection et de qualification pour devenir enquêteur de police judiciaire, comme déjà l'apprentissage et la maîtrise du langage français, pour sa compréhension, multiple, subtile et non formatée...

Ce n'est pas pour rien qu'il y a des aides intellectuelles dénommées « profilers », qui ne sont en fait, que des personnes qui prêtent leur cerveau, puisque, en définitive, ce qu'ils remarquent ne sont que des choses évidentes que n'importe qui, un tant soit peu évolué et lucide, voit. Des choses parfois si ridicules de banalité... C'est pour dire le faible niveau intellectuel des enquêteurs, ceux du « FBI » inclus...




Le « Second Tiroir », et c'est bien le plus important, s'ouvre par le constat que, si aucune enquête n'était diligentée quant au fond de ma missive, malgré mes plaintes précédentes aux autorités, et si je n'étais même pas entendu sur ces points de raison de motivation et d'existence d'une telle attitude écrite, déjà au cours de cette prétendue enquête sur de tels propos extravagants, il naissait alors ipso facto, une preuve évidente de la corruption dénoncée, celle des autorités, en l'occurrence, la gendarmerderie, au moins locale, et celle du système judiciaire tout aussi local, procureurs et autres magistrats, tous prenant faits et causes pour les salauds, en fermant les yeux sur leurs plus graves délits.

Là aussi, la démonstration fut faite !

Et bien au-delà.

Cette aide malicieusement complice a même été portée par les prétendus docteurs lors de mon internement abusif, et particulièrement par un(e) qui a insisté pour me faire entendre la raison selon laquelle l'escroquerie dont j'avais été victime par le trio n'était que dans mon imagination, et que j'étais, par conséquent sous le coup de paranoïa, un constat justifiant ainsi, médicalement et judiciairement, mon incarcération détournée !

Son élan crapuleux et cliniquement immoral à mon encontre a été cisaillé lorsque je lui rétorquais que mon compte en banque amputé de 15.000 euros était pourtant bien réel...




J'ai alors aperçu qu'il y aurait même une sorte de « troisième tiroir », ou un double-fond au second.

Et je dois l'avouer, il m'est apparu ultérieurement dans cette affaire, et n'est point le fruit élaboré, voulu, dans mon originale stratégie.




Note d'information DEUX : Sur les utiles protagonistes, instigateurs de la procédure « paravent », prétexte officiel au niveau régional, et complices avec la gendarmerie varoise. La Mise en demeure à CAUSSIN, ROMANO et COLOMBO.

La motivation de ma lettre au Ministre de l'Intérieur et au Premier Ministre était la complicité de la gendarmerderie du village du Beausset (Var) avec une certaine Anne CAUSSIN, résidant dans les parages, et contre laquelle, et ses deux comparses, je tentais de recouvrer une somme de 15.000 euros qui m'avait été détournée via leur garage à Gémenos, à côté d'Aubagne, dans les Bouches-du-Rhône, « COLOMBO CHALLENGE ».




Voici la mise en demeure que je leur avais alors adressée, sachant que je ne connaissais toujours pas en ce 16 novembre 2018, le fait qu'elle faisait parti des deux courriers, avec le sus-nommé aux ministères, parmi lesquels des phrases m'étaient reprochées...

Comme quoi, j'avais raison.

La complicité entre Anne CAUSSIN, et en catimini Philippe COLOMBO et Laurent ROMANO, avec les gendarmes de la gendarmerderie du Beausset était étayée et prouvée.

Et même davantage, avec ceux de la gendarmerderie du Var !

En effet, comment ces derniers et les procureurs de Toulon, ont-ils pu associer judiciairement ces deux affaires, alors qu'elles sont bien distinctes par le motif et l'objet de ce qu'il m'était reproché, c'est-à-dire, la nature et la destination de deux courriers indépendants et distincts.

D'un cas et de l'autre, chacun des griefs à mon encontre porte sur des éléments différenciés.

Pour le premier, une double notification à deux ministères, de graves délits pénaux, à l'attention des responsables hiérarchiques administratifs de leurs auteurs, et pour le second, le courrier ci-après, adressé à des civils.

Et pourtant, la « double » enquête fut commune, conjointe et associée, tout comme les poursuites, tout comme les représailles, telles que les intimidations, les menaces, les extorsions, les spoliations, les mauvais traitements, les humiliations, les préjudices moraux et temporels, et l'internement abusif, jusqu'au procès qui fut fusionné même, sous la même juridiction, sous le même numéro de référence procédurière et de parquet, et à la même date !

Le stratagème du second tiroir avait fonctionné à merveille !




Sans compter que les motifs de la prétendue enquête, les chefs d'accusation relevés pour m'interpeller, pour me mettre en garde à vue, pour m'interner, pour m'inculper, pour me mettre sous contrôle judiciaire, pour me faire verser une caution, sont uniquement basés sur les faits, non pas que ces courriers aient été écrits, ou même qu'ils aient été adressés, mais qu'ils aient été publiés sur un site internet, que je rappelle indépendant, d'une ONG...

Tout la malhonnêteté de ces individus, gendarmes, préfets, magistrats, greffiers, procureurs, maires et docteurs, se précise (sic) dans l'aspect nébuleux, vague et navigant de ces fantaisistes accusations, et de leurs suites juridico-judiciaires, attablées tantôt au titre de leurs écrits, tantôt pour leur publication sur internet...







J'aurais pu vous épargner la lecture de cette missive déjà publiée dans le tome deux du triptyque, « 2018, France, Var,... », mais elle est indissociable du procès, comme celle à Édouard PHILIPPE, premier ministre, et à Gérard COLLOMB, alors ministre de l'Intérieur, et ce, afin de vous faire une idée de la vicieuse méprise intentionnelle de la compréhension des termes reprochés, dans le seul but bien celé, comme ces lâches de français-macons en ont l'habitude pour ne pas apparaître.

Le 26 Février 2018 R.A.R. Envoyé par le site de La Poste




MISE EN DEMEURE ET NOTIFICATION DE DEPOT DE PLAINTES PENALES

Adressée aux Co-Gérants

Anne Marie Madeleine CAUSSIN, née le 6 septembre 1955 à Marseille 1

970 Chemin du Grand Pin Le Mas des Chevrefeuilles 83330 LE CASTELLET

et Laurent ROMANO, né le 6 octobre 1968 à Marseille 1°

( LE BASTIDON ) Chemin du Pas de Vicaire, Route des Crêtes 13260 CASSIS




SARL COCOFISH

3478 QUARTIER LE VAISSEAU RN 8 13420 GÉMENOS

 492 336 771  R.C.S. MARSEILLE Capital de 461.250€ ???

Nom commercial : COLOMBO CHALLENGE




A l'attention EXCLUSIVE des Co-Gérants déclarés :

Anne Marie Madeleine CAUSSIN et Laurent ROMANO

Objets :

Mise en Demeure de délivrance de quittance comptable;

Mise en Demeure de Remboursement d'un montant total de 15.000 €;

Notification préalable de dépôts de plaintes pénales pour escroquerie, tromperie, abus de confiance, fraude comptable, fraude fiscale, détournement de fonds, blanchiment, faux et usage de faux, tromperie sur conformité, détournement de gérance, etc.




Madame et Monsieur les gérants,




j'étais plutôt occupé ces derniers mois, aussi, ne vous faites pas d'illusion, je ne vous ai pas oubliés, 3 mois après ma mise en demeure que je vous avais adressée au siège de votre société citée en référence, et à laquelle vous avez cru bon de ne pas répondre. Une attitude malhonnête en adéquation avec votre comparse Philippe COLOMBO.

Je reprends donc, son contenu :

Courant octobre 2016, étant déjà client, j'ai sollicité votre société, par l'intermédiaire de messieurs Philippe et Eric COLOMBO, pour commander d'abord une, puis ultérieurement (novembre) une seconde LOTUS 3-ELEVEN qui devaient être livrables au printemps 2017.

Pour se faire, je n'ai été en contact qu'avec Eric et Philippe COLOMBO, qui se présentaient alors comme les patrons du garage automobile dénommé commercialement “COLOMBO CHALLENGE”.

Je n'ai jamais su que vous étiez, vous Madame CAUSSIN et Monsieur ROMANO, les véritables gérants, et donc les véritables décisionnaires et responsables de la dite société.

D'ailleurs, je ne vous ai jamais rencontrés, dans le sens de m'avoir été présentés ainsi. J'ai certes vu des personnes dans ce garage que j'ai saluées, sans savoir ce et qui elles étaient.

C'est bien pour cela que j'ai eu la méprise, notamment au regard des problèmes, puis des litiges, puis des conflits qui m'opposent désormais à votre société et à vous personnellement (s'agissant de délits pénaux), de discuter avec votre employé subalterne, certes associé, peut-être gérant dissimulé, Philippe COLOMBO, qui, il l'avoue lui-même, n'y connaît rien, ni en juridique, ni en comptabilité, se présentant alors comme un simple vendeur d'automobiles. Et c'est bien là la montée en puissance de ce que je pourrais nommer, dès lors, de guerre ouverte.

J'ai donc découvert tardivement que celui-ci n'était pas grand chose dans ce garage, officiellement et administrativement parlant, à savoir un employé (et encore, est-il déclaré ???), et comme dans toute discussion grave et sérieuse, je ne m'attarde pas à perdre mon temps avec les sous-fifres, avec ceux qui n'ont ni les responsabilités civiles et pénales, ni les autorités en matière administrative, comptable et financière, je n'ai même pas voulu lire son dernier e-mail n'ayant, par principe de la loi, aucune valeur. De plus, j'ai appris qu'il était interdit d'exercice de gérance, après avoir constaté qu'il n'était pas de parole, et qu'il n'avait pas les moyens, ni financiers, ni officiels d'émettre de règlements financiers pour le compte de la société. D'autant que votre délicate situation financière m'a été certifiée à la lecture de vos bilans antérieurs, ce qui n'a fait que confirmer mes inquiétudes sur vos capacités à me rembourser, doutes nés alors, déjà quand vous n'étiez pas en mesure de faire des extra dépenses pour la location du circuit du Luc en ce mois d'octobre, prétextant qu'il n'était plus réservable par manque de disponibilité...

J'ai certes aussi compris dernièrement qu'il y avait là une imposture de gérance, et donc, que vous deux, serviez d'”hommes de paille”, et que, par conséquent, vous étiez complices des activités de blanchiment d'argent pour lesquelles votre garage (société) sert d'”écran”. Avant de commencer mon enquête ces derniers jours, j'avais déjà décelé il y a un an, les contours de cette activité, lors de mon observation de certains de vos clients rencontrés lors de votre repas de fin d'année. Même si ma fondation ONG “ANOTOW” dénonce et combat les “saloperies” (les phénomènes de corruption) en France et ailleurs, je me moquais bien, et de vos activités extra-mécanique, et de vos clients douteux. Je ne dénonce et combats que les enculés de grandes envergures. Mais, comme apparemment, vous voulez la guerre, je vais donc être obligé de déposer des plaintes pénales contre vous à de diverses autorités, et pour étayer la fraude dont je suis victime, pour démontrer l'ampleur et la récurrence de vos manières de faire, tout en prouvant et légitimant le fait que ce n'est pas une erreur comptable de votre part, ni une exceptionnelle maladresse, mais bel et bien une activité organisée, je vais donc être dans l'obligation d'exposer le périmètre de vos activités. Je sais que vous êtes “puissants”, et que vous vous croyez encore l'être davantage que la réalité, et qu'avec vos relations locales de tous types, vous pensez être à l'abri, mais, la vie m'a appris une chose : Les gens qui vous couvrent, ne le font que jusqu'au point où elles sont, ou risquent d'être éclaboussées”. Bref, vous allez perdre vos clients, et je pense même, que certains, vont facilement bavasser pour se payer une virginité.

Je connais aussi des stratégies pour forcer l'enregistrement et la mise au jour de vos délits que vous chercheriez à étouffer. Par exemple, voici une double manœuvre à double tiroirs : une personne viendrait à votre garage (ou chez vous), ouvrirait la baie vitrée qui sert d'entrée, et jetterait une grenade offensive, prenant bien soin de ne blesser personne, du moins le chien. Alors, une enquête se dirigerait vers moi naturellement, et alors, je pourrais rendre compte officiellement de toutes vos magouilles en même temps que vos délits à mon encontre, à savoir ceux d'escroquerie, de tromperie, d'abus de confiance, de fraude comptable, de fraude fiscale, de détournement de fonds, de blanchiment, de faux et usage de faux, de tromperie sur conformité, de détournement de gérance, etc.

Et le tour serait joué. Voulez-vous réellement jouer ?

Mais, revenons à l'historique de cette histoire, et précisons les points juridiques, administratifs, comptables, et fiscaux, à votre charge.




Au lieu de faire faire un bon de commande classique, Eric COLOMBO m'a fait signer par deux fois donc, des devis, des prétendus contrats/bon de commandes, directement avec l'usine LOTUS en Grande-Bretagne, qui d'une part, n'étaient pas et n'ont jamais été validés par les autres co-contractants ci-dessus, et pour lesquels je n'ai jamais eu de confirmation écrite et signée de leur acceptation. Il ressort que cette procédure extraordinaire de commande différente des autres modèles de LOTUS n'étaient pas du fait d'Eric COLOMBO (que j'estime bien), mais par la consigne obligatoire de l'usine, présentant cette manière illégale de commercialisation de ce type de véhicule, notamment par rapport au Droit français, parce que lesdits objets de vente n'étaient pas conformes en matière d'homologation sur le sol français.

Il s'avère aussi et surtout que ces pseudos contrats n'étaient pas en langue française, mais anglaise, que l'un portait la mention de la TVA, et l'autre pas, et par dessus tout, que les sommes stipulées n'étaient pas en €euros mais en Livres Sterling, et que les acomptes et paiements devaient se faire sur leur compte bancaire en Grande-Bretagne.

En bref, les responsables de chez LOTUS tentaient de contourner, et donc, fraudaient délibérément le Droit français, et à plus d'un titre...

Ainsi donc, ces pseudos contrats n'ayant pas été établis ni en langue française, ni en euro, mais en langue étrangère et en livre sterling, et ce, sur le sol français, qui plus est, au sein et par l'intermédiaire d'une société française qui est la vôtre, qui, encore plus, n'ont jamais été contresignés par eux, ces pseudos contrats donc, n'ont aucune valeur juridique, ni en France, ni même en Grande-Bretagne. Pire, ils sont illégaux et frauduleux.




Ces pseudos contrats sont donc à considérer justement, même s'ils sont caducs par le lieu de signature de ma personne et en l'absence de leur part de confirmation/entérination par leur signature, comme être entre l'usine LOTUS et moi. Point. De plus, ne leur ayant pas versé d'argent par moi, à eux directement comme stipulé dans lesdits prétendus contrats, ces derniers n'ont pas été entérinés !

Les responsables de LOTUS, malins et roublards, ont l'habitude de frauder, de détourner les lois des autres pays, pour arriver à leurs fins, non pas, seulement pour contourner les règles, les obligations et les contraintes de sécurité et de conformité des pays où ils veulent vendre, mais aussi pour économiser des frais d'homologation, voire des dédoublements douaniers et fiscaux. J'ai donc appris par la suite que les 3-Eleven concernées, n'étaient pas vendues neuves, mais d'occasion, déjà immatriculées en Grande-Bretagne, sous leur propre nom...

Face à ces précisions, Monsieur Philippe COLOMBO, qui, je rappelle de son propre aveu, est inapte à appréhender le fond et la forme juridique, décrète alors que lesdits contrats ont été établis avec lui, c'est-à-dire, avec la société “COLOMBO CHALLENGE”, société dont je n'avais aucune autre information à son sujet, si ce n'est que je pensais que c'était lui le patron. En fait, il n'est même pas gérant, du moins officiel, étant interdit de cette position, ce qui confère, avec son omniprésence au sein du garage, à une imposture de gérance avec vous comme prête-noms...

Monsieur Philippe COLOMBO a alors changé son interprétation des faits parce que je lui mettais en exergue le point délictueux de sa part comme quoi il avait reçu des fonds de ma part, les virements de 5000 € des 28 et 31 octobre, et 28 novembre 2016, soit il y a plus d'une année maintenant, au titre de contrats établis entre l'usine et moi, et que donc, il n'avait pas à détenir des fonds qui m'appartiennent, et qui plus est, n'avaient pas à avoir été reversés à l'usine sans mon accord, et ce, sans tomber sous le coup de blanchiment et détournement de fonds. Il a cru bon essayer, sans doute sous les conseils d'abrutis d'avocats (désolé pour le pléonasme), de faire valoir le contrat en votre société et moi, pour la faire apparaître du Droit français. Or, dans ce cas, qui est déjà faux et mensonger, son délit serait encore plus grave, car je n'ai jamais reçu quittances de ces versements, et que, même quand je les lui ai dernièrement demandés, il me confirmait qu'il allait me les transmettre immédiatement. Je vous avoue que j'étais autant curieux qu'amusé de voir comment il allait justifier une rentrée d'argent faite un an auparavant, et donc démontrant un retard comptable d'autant, et ce, d'un autre exercice fiscal, achevé et donc figé.

Comme homme qui n'a pas de parole, il ne m'a jamais fourni ces quittances, ce qui démontre qu'il sait bien qu'il a commis et commet des fraudes. Je comprends aisément le pourquoi de son interdiction de gérance...




Donc, si nous restons sur ce seul plan juridique, il n'y a que 2 manières de voir et de considérer les choses:

Les contrats sont établis soit, entre l'usine et moi (ce qui était l'origine et la réalité malgré leur caducité élémentaire), soit entre votre société et moi.

Si vous optez pour la première, il est caduc en de nombreux points déjà évoqués, et surtout, l'argent que je vous ai viré n'a rien à voir en votre comptabilité, n'a pas à être sur votre compte, et surtout, il n'a pas à être sur le compte bancaire de Lotus. Si vous avez fait l'erreur de verser l'équivalent de cette somme globale de 15.000 € (combien en Livres Sterling?....) qui ne correspond en rien avec les prétendus contrats, c'est votre problème, car mon argent est à considérer d'être exclusivement sur votre compte. Après, que vous soyez des pouilleux, des clochards qui n'ont pas 15.000 € en trésorerie pour me rembourser (cela ne m'étonne plus depuis que j'ai découvert vos comptes déficitaires des années précédentes...), cela n'a rien à voir avec les contrats britanniques en question.

Si vous optez pour la seconde, j'ai en mains ces pseudos contrats établis en anglais, en Livre Sterling, ce qui les rend caducs au vu du Droit français, code que Messieurs COLOMBO ne semblent pas connaître, ni le vouloir... Et même s'ils devaient être considérés comme conformes, il faudrait que les coordonnées complètes et exactes de votre société y soient inscrites (ce qui n'est pas le cas), et quoi qu'il en soit, toute fallacieuse interprétation juridique de conformité ne vous exempterait pas de vos délits de fraudes comptables et fiscales au regard de l'absence de délivrance de reçus correspondants aux versements.

Quelle que soit votre malsaine interprétation sur la forme, vous avez tort sur le fond.

Votre société, en sus d'une activité remarquable et officielle de garage, de très bonne qualité de travail et de services (et je le regretterai), est une couverture pour blanchir de l'argent sale, et ces activités vous ont tous habitués, vous trois associés, à croire que les vous pouvez tout vous permettre parce que certains de vos clients ont des choses à se reprocher, et qu'ils s'interdiront toute plainte, cependant, il en est tout autre avec moi. S'il faut aller au feu, cela ne me dérange pas. Bien au contraire.

La situation déconfite actuelle, surtout pour vous, car tous les torts, tous les délits sont sur votre dos à titre personnel, alors que moi, ce n'est que de 15.000 € en jeu, mais j'en fais désormais une affaire personnelle et d'honneur, la situation critique donc, ne provient que de la faute, de l'incompétence de Monsieur Philippe COLOMBO qui s'est montré d'une extrême veulerie, servilité, soumission à l'usine Lotus et aux bons vouloirs de leurs malhonnêtes responsables, comme si votre société en était une filiale. Or, vous n'êtes même pas concessionnaire exclusif de cette marque, donc, pourquoi ne défendez-vous pas plutôt vos clients ? C'est le monde à l'envers ! Ce sont nous, les clients qui vous faisons vivre pas eux, et LOTUS a besoin de vous, revendeurs, pas le contraire !

En fait, depuis plus d'un mois que cela traîne, après les mensonges de Monsieur Eric COLOMBO qui m'avait donné sa parole que tout était entendu, je me suis aperçu que Monsieur Philippe COLOMBO avait le beau jeu de m'embobiner depuis le temps pour ne pas me rembourser, et dernièrement, prétextant fallacieusement son obligation à prendre livraison desdits véhicules, qui chronologiquement, et bizarrement, étaient au status en septembre, de prochaine fabrication, puis après, de construites, et dernièrement, en cours de fabrication.

Maintenant que je découvre que vous êtes des escrocs, doublés de fraudeurs (blanchiment organisé d'argent), il est certain que je ne veux plus avoir à faire à vous. Je n'achèterai plus de LOTUS, du moins neuve, que cela soit chez vous ou ailleurs.

Donc, je vous mets en demeure une dernière fois, la première officiellement à vos personnes, Madame CASUSIN et Monsieur ROMANO, les co-gérants, de me rembourser les 15.000 € qui m'appartiennent, dans les 24 heures à réception de la présente, et de me fournir des reçus comptables tant en entrée qu'en sortie.




A défaut, vous pouvez essayer de faire valoir la bonne teneur d'un éventuel fallacieux et faux contrat, mais cela vous obligera à subir d'importantes sanctions de ma part, à payer davantage, des dommages et intérêts, car, pour cela, vous devrez mettre à ma disposition lesdits véhicules, c'est-à-dire les avoir réceptionnés de l'usine, et prouver leurs conformités intégrales, tant administrative que sécuritaire que fiscale que douanière que contractuelle (et là, j'ai des surprises pour vous...). Donc, dans ce cas, je vous mettrais en demeure de me les livrer dans la semaine qui suit.




Pour mettre un point final, je vous rappelle le Droit français, en ses termes basiques, puisque, apparemment, vous n'avez que des abrutis/enculés comme conseillers, qui ne pourront qu'utiliser quelques arcanes, mensonges, mauvaise foi, etc. bref de sales attitudes pour faire croire à ce qui n'est pas, manières qui seront sanctionnées, et doublement en ce qui les concernent, aussi, je vous recommande, s'il s'avérait que vous êtes véritablement malhonnêtes comme l'est Philippe COLOMBO, et que vous choisissiez la méthode procédurale juridique avec l'entremise d'avocat(s), de les prévenir de bien prendre garde à ce qu'ils écriraient ou diraient. Pour faire simple, le premier écart commis d'une des catégories décrites ci-dessus, entraînera les verdicts, les sanctions suivantes, au regard de la loi universelle et supranationale “ANOTOW” : un doigt coupé, le deuxième écart, ce sera une main tranchée, le troisième la langue, le quatrième, les yeux, etc. Il se pourrait même que le(s) salopard(s) soi(en)t inscrit(s) parmi la “Liste”, déjà bien étoffée depuis plusieurs années, qui servira de stock en tant que sources biologiques pour mes futures expériences scientifiques (à partir de courant 2018). Leur condamnation et inscription dans la « Liste » ne vous exemptera pas de la loi de complicité, de donneur d'ordre et de commanditaire, ce qui vous fera ipso facto condamner au moins aux mêmes sanctions/punitions.




Pour revenir à la base du Droit français, les principes :

Le doute bénéficie toujours à celui qui n'a pas rédigé le contrat (il y a beaucoup plus que des doutes...)

Un contrat ne peut-être convenu qu'avec un accord sur la chose et sur le prix. (la chose n'est pas décrite, et le prix non défini -dans le sens définitif puisqu'en devise étrangère à celle utilisée en France..., absence de TVA sur un d'eux, etc.).

Je garde pour moi les autres “détails” de ce dossier démontrant encore plus la caducité et l'escroquerie de la vente forcée de ces véhicules par vos soins.

Je vous informe que je suis aussi dans l'obligation de déposer une plainte pénale contre vous, puisque vous vous êtes présentés et reconnus comme les représentants en France de LOTUS, du moins, en cette pénible affaire, et contre le monsieur Eric MATHIOT, représentant des ventes en France, mais n'ayant aucun bureau ni représentation légale d'importateur en France, se présentant comme rattaché employé de LOTUS UK en Grande-Bretagne, alors que son travail l'oblige à être, au moins, la majorité de son temps en France, ce qui en fait un travailleur qui devrait être déclaré en France, travail pour lequel les charges sociales devraient être payées en France. Un représentant en France impossible à joindre pour obtenir son adresse officielle en France, lieu de son travail. Je vais donc déposer aussi un plainte aux services fiscaux, à la Répression des Fraudes et à la Brigade Financière.

J'ai été assez baladé depuis plus d'un an, et dernièrement depuis 1 mois par votre employé subalterne Philippe COLOMBO, pour obtenir le remboursement de sommes que vous n'avez ni à détenir, ni à avoir versées à LOTUS UK.

Je vous ai assez demandé leurs remboursements, aussi, je suis dans l'obligation de vous mettre en demeure de me les rembourser sous 24 heures à réception de la présente.

Par ailleurs, je vous rappelle que si LOTUS vous oblige à prendre ces véhicules, c'est illégal, et je vous ai suffisamment donné d'arguments pour les refuser, et pour les poursuivre. Si vous argumentiez du contraire, cela ne fera qu'une preuve supplémentaire à celle que je détiens déjà, au sujet du délit de complicité entre Eric MATHIOT et vous, une collusion qui fait porter toute cette affaire sous le sceau aggravant de “bande organisée ».

Je vous rappelle que si vous reconnaissiez un quelconque contrat entre vous et moi, il est nul et non avenu, ou alors, il faudra reconnaître celui originel, jamais entériné, et qui est caduc, celui entre LOTUS UK et moi, ce qui en ferait alors un cas de nullité entre vous et moi. Quoi qu'il en soit, si vous partez de cette fallacieuse interprétation de l'existence d'un contrat, qu'il fut entre vous et moi ou entre LOTUS UK et moi, il ressort que vous devrez recevoir ces autos, me les mettre à disposition, afin que les prétendus achats soit refusés de ma part. Il va de soit que lesdits véhicules devront respecter tous les termes des prétendues commandes, qu'ils respectent les homologations en France, qu'ils respectent les obligations fiscales, et surtout qu'ils ne présentent aucune ombre de possible interprétation de détournements des Droits français et Européens, tant en matière de véhicules, que fiscaux et douaniers.

Il y a déjà plus d'un écueil, déjà au niveau fiscal, douanier et sécurité des véhicules (à ce sujet, je n'ai jamais signé un quelconque document sur la description détaillée et technique des véhicules supputés commandés). Quoi qu'il en soit, je me refuse à participer à une quelconque fraude.

Donc, si je n'ai pas mes fonds dans les 24 heures, nous opterons pour les différentes plaintes évoquées, et par ailleurs, puisque vous devrez prétendre à l'exécution d'un contrat établi uniquement par LOTUS UK et moi-même ou par vous et moi, j'attendrais avec impatience leurs livraisons et mises à disposition pour calquer aux pseudos contrats.

Quoi qu'il en soit, si vous vouliez vous montrer honnêtes et de bonne foi, je vous recommanderais de déposer une plainte contre les responsables de LOTUS UK.




Un petit mot sur mes préjudices.

Hormis les intérêts que vous me devez sur mon argent que vous détenez depuis un an, sur d'autres points que je n'évoquerai pas ici, il ressort un fait essentiel et grave. Si jusqu'en septembre mes activités pouvaient facilement s'affranchir de souffrir de vos manigances, il apparaît que depuis lors, j'ai repris mes travaux de recherches sur de nouvelles inventions révolutionnaires que j'avais mises en suspens, et qui touchent, entre autres, la physique quantique, concernant principalement 3 orientations : un système vulgairement appelé « Anti-Gravitation », une arme de dissuasion (SIC) massive et la plus abominable arme jamais conçue (toutes 3 vont me demander des essais et des tests sur des organismes biologiques vivants, et comme il serait moralement abject et totalement injuste de les faire sur des animaux et/ou des personnes innocentes, CQFD la nécessité de la fameuse « Liste »). J'espère que vous avez plus de neurones que Monsieur Philippe COLOMBO qui n'a pas réussi à saisir la situation, et qu'ainsi vous pourrez aisément comprendre que ces travaux me demandent 100% de mes capacités cérébrales et mentales, tant en concentration qu'en réflexion, et que par conséquent, je ne puis tolérer aucune perturbation, et encore moins des bassesses telles que les vôtres, polluant par leur mauvais esprit, le mien. Vous pourrez aussi comprendre que 10.000 euros par jour, comme dédommagements, sont largement sous-évalués par rapport à la réalité des objectifs poursuivis, estimés à plusieurs milliards. Tout cela pour vous dire qu'à ce jour, vous trois, me devez déjà 150.000 €. Quant aux préjudices subis par mes sociétés pour les troubles causés par votre employé Monsieur Philippe COLOMBO, ils s'élèvent à plus d'un million d'euros. Par ailleurs, au vu de la position dans laquelle votre employé vous a engagés, je pense que votre garage sera fermé avant 2019.

Je vous demanderais de me répondre, vous deux personnellement, en me prouvant que vous êtes bien les auteurs de cet échange épistolaire, et non un simulacre par une imposture de Monsieur Philippe COLOMBO, ce, afin de me dispenser de vous envoyer à nouveau cette missive à vos adresses personnelles respectives, par courrier recommandé ou en mains propres par une ou deux personnes spécialement mandatées...

J'espère pour vous que vous êtes moins con que votre employé subalterne, en comprenant la délicate situation dans laquelle il vous a mis, et au regard des risques que vous encourrez, tant au niveau personnel qu'à celui de vos autres sociétés..., et que, par conséquent, vous me rembourserez immédiatement pour éviter toute autre hémorragie pénale, fiscale et financière...

Merci de me contacter par voie postale à mon adresse au XXX 75018 PARIS ou par e-mail à anotow@xxx.com.




Je constate que vous, du moins votre subalterne Philippe COLOMBO, êtes assez médiocres pour ne pas avoir vu, compris et cerné deux faits essentiels qui démontre ma sollicitude passée à votre égard, et ma munificente démarche, à savoir :

Que je vous donnais tous les éléments pour vous dédouaner des commandes auprès de la malhonnête usine LOTUS ;

Que je vous avais prévenu avant leur livraison par l'usine afin que vous puissiez vous en départir, alors que si j'avais été pervers et malhonnête comme vous, je ne vous aurais rien dit, et j'aurais attendu que vous les receviez pour les refuser tout autant, avec tous les arguments légaux et légitimes, notamment contre vous, et vous vous seriez « farci » ces autos.

Bref, au lieu de jouer mon jeu, celui de votre client, vous avez préféré jouer celui de l'usine LOTUS, ou plutôt le vôtre pour profiter de la situation et me voler la somme de 15.000 €.

Vous allez le payer très cher maintenant. J'ai le loisir et les moyens de m'occuper de votre futur triste sort.

Veuillez recevoir, Madame et Monsieur les co-gérants, aucune salutation.




Laurent GRANIER

Maître Philosophe, Inventeur, Théoricien

Fondateur de l'ONG “ANOTOW” qui combat la corruption

Au regard de mes propos outranciers, qui peuvent paraître inappropriés, et même choquants pour les basiques quidam et « hommes de loi », il ne faut pas perdre de vue la nature des personnes à qui je m'adresse, c'est-à-dire des personnes liées aux milieux du grand banditisme marseillais et toulonnais.

Et par conséquent, il est plus que déconseillé, voire dangereux, de se montrer faible, en « jouant petits bras ».

C'est bien une question de vie ou de mort, et à mon endroit !

Mais, ces cons de gendarmes (OPJ) et de procureurs, comme les autres magistrats de cet acabit, prennent garde de ne jamais prendre en compte ces facteurs de risques aggravés.

Ces lâches ne mettent jamais leur peau en jeu au nom de la justice, alors que c'est leur job, qu'ils en ont prêté serment, en tirent les honneurs et certains privilèges, et même un salaire avec des congés payés, jusqu'à une bonne et garantie retraite...




Je fais tout cela, bien plus qu'eux, sans gratification. Ni morale, ni sociale, ni financière. Ce serait plutôt le contraire, puisque cela me coûte tout du moins, temps, argent et énergie. À mes risques et périls. Matériels et corporels. Seul, ou presque.




Pour finir, comme preuve absolue de collusion régionale « française-maconne » à multiple niveaux, Anne CAUSSIN a commis une grave erreur.

Dans sa déclaration/plainte à la gendarmerderie du Beausset, elle a fait allusion à un fait sans rapport avec ce qui la concernait.

Elle y mentionnait un (prétendu) expert automobile, Thierry GOURMAUD, sis à La Ciotat (13- Bouches-du-Rhône), et le fait comme quoi j'avais eu un différent avec lui, à mon tort évidemment, un mal à propos dans le but de fabriquer de toutes pièces, une mauvaise réputation à mon endroit.

Or, ce prétendu expert, un titre qui ne peut ni confirmer ni garantir de sa probité, alors qu'il n'y eut jamais aucun lien dans aucune affaire commune, et encore moins de communication entre nous trois (Caussin-Gourmaud-Moi-même), apparaît sans raison dans ses allégations.

Sans raison apparente.

Il n'y a jamais eu de partage commun entre nous trois, et donc, aucune raison ni moyen que la CAUSSIN puisse connaître ce fait que j'ai eu maille à partir avec cet olibrius, qui m'avait pré-expertisé un an plus tôt, une auto de collection.

Pour l'anecdote, je m'étais alors séparé de ses « services », alors que je lui avais cependant versé une bonne partie de la somme du devis qu'il avait édité, somme pour laquelle je n'ai jamais obtenu ni de reçu comptable, ni de facture avec TVA...

Le « différent » portait sur le fait qu'il avait tenté une manœuvre de chantage à mon endroit, en essayant de me vendre sa « neutralité » !

Bref, un expert corrompu comme on en trouve fréquemment, voire généralement, et spécialement dans cette région.

Je dirais même qu'il est quasi impossible de trouver un expert intègre et compétent, toutes disciplines confondues, sachant que la gangrène maconnique racole dans ces milieux utiles que sont les expertises, puisque leur parole est d'« Évangile », et donc nécessaire pour certifier et justifier tout, et n'importe quoi, notamment auprès des tribunaux dont les juges sont déjà acquis à la « cause »...

Un propos qui ne peut être discuté pour façonner une nouvelle vérité...

Il est à préciser que « Pédale Hawaïenne », son surnom dans les milieux spécialisés de la fière sodomie, a les mœurs adéquates pour la secte maconnique qui y recrute à tours de bras, si j'ose dire. Cette activité contre-nature en est même un critère fondamental...

J'ajouterais que ce sieur expert m'avait diffamé auprès du couple malhonnête « CHAUMIER/ROUXEL », chez qui il savait qu'une de mes autos y était, celle de « son expertise ». Cette même auto que ces derniers détournèrent et volèrent en 2019, avec les grâces des autorités du cru. Une auto d'une valeur de 100.000 euros.

J'y reviendrai dans un chapitre suivant.




Par ailleurs, il est à noter que j'ai essayé de trouver une solution « pacifique » pour recouvrer mes fonds dérobés par le trio maléfique « COLOMBO-ROMANO-CAUSSIN », en l'entremise du médiatique avocat parisien, Éric De CAUMONT.

Il a été, en fait, effrayé par la tâche obscure de devoir s'opposer à des mafieux, qui plus est du sud de la France, réputée corrompue et criminelle, alors qu'il avait fait montre d'une attitude de fier-à-bras auparavant. Sans doute pour encaisser au préalable 1.200 euros...

Il m'a fait perdre du temps et m'a arnaqué d'une petite note de 300 euros, qu'il a prélevée sans mon consentement et abusivement sur la somme que je lui avais versée à titre d'avance, et pour laquelle son solde m'a été reversé très longtemps après...




Chapitre 1 : La vaine ridicule interpellation musclée et la Garde à Vue fantaisiste de la Gendarmerderie, constituant la crapuleuse nasse judiciaire varoise, ses manquements aux Droits des personnes, ses fraudes procédurales, son mépris pour la présomption d'innocence

Vendredi 16 novembre 2018, 9 heures du matin, au 26, allée de Dublin, Zone Industrielle de SIGNES, VAR. FRANCE !

Je sors de mon véhicule pour faire manœuvrer un camion porte-voiture que j'avais commandé pour enlever une auto de chez « Force Motorsport ».

Deux camionnettes de Gendarmerderie Française arrivent en trombe, bloquant la rue, et une huitaine d'hommes armés en sortent pour m'interpeller.

Ils me demandent si je m'appelle bien Laurent GRANIER, point !

Sans aucune autre forme d'identification.

Je reste surpris, n'ayant rien à me reprocher.

Bien au contraire, l'auto que je venais chercher était séquestrée par chantage par les tenanciers du garage dissimulé sous deux entités floues (« FORCE MOTORSPORT » et « FM Services »), à savoir le couple Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL, qui sont coutumiers des valses financières douteuses dans lesquelles ils avaient essayé de m'inscrire à mon insu, comme de la « cavalerie » d'une société à l'autre, des détournements de fonds sociaux, mais aussi, de son côté, fraudant les tenues sociales, comptables et fiscales, comme, par exemple, en n'émettant pas de reçu comptable, en émettant de fausses ou falsifiées factures, en facturant doublement au nom de chacune de ses deux sociétés (« ForceMotorsport » au RCS Aubagne 13, et « FM Services » au RCS Signes 83), en tenant une double comptabilité, en encaissant des chèques sur une autre société en falsifiant l'ordre, en déclarant de fausses adresses personnelles et même celle de leurs sièges sociaux sur ses K-Bis, en n'ayant même plus d'adresse officielle déclarée à la Chambre de Commerce de Marseille, en ne déposant pas ses comptes annuels, employant sans déclarer, ou faisant faire des pièces, du travail à ses sous-traitants, sans facture...

Eux, en revanche, ne sont pas inquiétés...

Ni par les gendarmes de la gendarmerderie, ni par les procureurs, ni par les Chambres de Commerce de Marseille et de Toulon, ni par les services fiscaux d'Aubagne et de Signes, ni par aucune autorité !

Bien au contraire, à la suite de mes mésaventures, ils prendront davantage leurs aises délictueuses, exerçant un chantage accru et inapproprié grâce à des menaces et une tentative d'intimidation écrite à destination de mon avocat d'alors !

Ainsi, le couple pouvait surfer sur la vague délictueuse, aidé et protégé par tous ces acteurs à la solde satano-maconnique.

Tout peut être manipulé contre moi, en toute impunité.

Et le Patrick CHAUMIER se vantait même d'avoir à sa botte des experts automobiles véreux (désolé pour le pléonasme), qui abonderont sans faille dans son sens, puisque nécessairement à mon encontre... Cela rappelle le cas de la « Pédale Hawaïenne »...

Sans compter le délit de prise d'images illégales par sa vidéosurveillance, qui est orientée vers la rue, domaine public.

J'apprendrais plus tard que cette paire de comparses avait participé passivement au piège qui m'avait été tendu par les gendarmes du Var, en leur communiquant l'heure de rendez-vous...

Cette curée sur mes biens par le duo de crapules CHAUMIER-ROUXEL se concrétisera au cours de l'année 2019, durant laquelle ils voleront mon auto, d'une part aidés des autorités locales, juges et huissiers, et d'autre part, protégés par les mêmes et d'autres administrations, pour qu'ils ne soient pas inquiétés judiciairement sur leurs malversations financières, entre autres délits.

J'y reviendrai dans un chapitre suivant consacré à ces sales personnes...

Par ailleurs, vous trouverez dans les autres ouvrages de la même collection « Français, Je n'ai Absolument AUCUNE Confiance en la Justice de Mon Pays - 2013 et 2018 », l'étalage d'autres crapuleries judiciaires toulonnaises perpétrées par des huissiers vé(a)reux (pléonasme), orchestrant des méfaits de spoliations abusives restés impunis, et bien cachés par les autorités locales.

D'ailleurs, toutes les représailles que je subis proviennent à l'origine, en partie, de ma dénonciation sur ces faits qui m'étaient étrangers...

Pour en revenir au traquenard gendarmesque, deux individus en civil, une femme, Aurélie THOULOUZE, et un homme, ZAMMIT, LA IACONNA ou DALL'OPPIO (car les doutes sur sa véritable identité restent sur celle déclarée dans les procès-verbaux ultérieurs...), me signifient ma garde à vue, font un inventaire sommaire de ce que j'ai sur moi.

Ils me forcent, sans succès, à signer d'abord une espèce de document, un torchon plutôt, rédigé sur une enveloppe, faisant état brièvement de mes effets, comme l'absence des espèces présentes dans mon porte-monnaie pour lesquelles ils ne font montre d'aucune rigueur, par facilité.

Ils veulent aussi me faire signer un document, tout aussi torchon, explicitant les faits qui me sont reprochés. Ils tiennent en 5 ou 6 points, énumérés par deux lignes chacun, stipulant l'adresse d'une page d'un site internet, avec pour finir mon nom, prénom et adresse sur Paris. Point !

Je ne mets pas au conditionnel, « qui me seraient reprochés », car, pour eux, la présomption d'innocence n'est même pas une notion juridique, encore moins française, car, nous sommes dans le Var, département véreux où les mafieux sont entremêlés avec les magistrats et les politiques, et la gendarmerderie.

Ils font et ont leur propre loi.

Le Var n'est en France qu'en matière de géographie.

Pas au niveau de la Loi, française s'entend.

Le Var est un État dans l'État.

Et la Française-Maconnerie y est régnante, comme dans toute la région PACA, et surtout par sa munificente Cour d'Appel régionale, à Aix-en-Provence, en laquelle, si vous n'avez pas un avocat appartenant à la secte, vous êtes sûr de perdre !

Et ce n'est point une vue de l'esprit, mais bien une réalité.

Des campagnes de chantages ont été entreprises en cette juridiction pour contraindre les avocats réticents, à adhérer, sous peine de perte de clients...




Je leur fais état, je clame haut et fort la corruption de la gendarmerderie du Beausset, et du Var, et que leur entreprise est bidonnée, n'ayant que pour seul but d'une intimidation à mon endroit.

Cela ne plaît pas aux Officiers de Police Judiciaire, le duo en civil, qui ne sont pas des flics, mais bien des gendarmes, c'est-à-dire, pour résumer, des militaires... Avec les tares que cela inspire.

Je dois donc approuver, acquiescer, obéir, sans question ni précision, et encore moins information, à ces compétents et intègres gendarmes en civil (sarcasmes), ce qui est écrit sur une demi-page qu'ils me présentent à la volée.

Je dois être à leurs ordres, étant au bas de l'échelle, un sous-humain, puisque civil, et n'appartenant pas à ce majestueux (sarcasme bis) corps d'armée s'occupant de la foutue paix ! .

Il y est donc mention de 5 ou 6 adresses internet, chacune relative à une page d'un site internet, commençant par « www.anotow.org/.... », mais, non complètes, abrégées, et l'énumération finissant par mon nom, prénom et adresse de Paris, relevés dans chacune desdites webpages. Point !

Chaque hyperlien est relatif à une infraction pénale relevée.

Point !

Je ne sais même pas ce qu'il m'arrive, mais je comprends surtout qu'un coup monté par la gendarmerderie varoise a bien été soigneusement orchestré, avec l'aide du procureur de Toulon, et de bien d'autres que je découvrirai au fur et à mesure du rétrécissement du traquenard...

En effet, mon adresse officielle est à Paris, adresse juridique donc, qu'ils ne peuvent ignorer puisque ce qu'il m'est reproché dans ces deux lignes mentionne bien celle-ci, et exclusivement celle-ci.

J'ai aussi une autre adresse dans les Bouches-du-Rhône.

Et voyageant beaucoup, et n'étant pas résident fiscal en France, toute procédure doit s'opérer en la capitale.

Ce sont des personnes liées à la Loi (française), et ils ne peuvent l'ignorer.

Bien au contraire, ils la connaissent que trop.

Et ils savent que si cette affaire, montée de toutes pièces, sortait de leur juridiction, même pour la prétendue enquête, et donc qu'elle était confiée à quelque autre qui ne serait pas de la combine, elle tomberait à l'eau.

Et cela leur coûterait cher, et juridiquement, et judiciairement.

Du moins, par son ridicule, à titre professionnel, engendré.

Aussi, ont-ils pris soin de ne jamais me contacter à aucune de ces deux adresses, ni par courrier, ni par le biais d'une autorité locale. Et pour cause, ils n'auraient plus eu la maîtrise de leur illégal et frauduleux stratagème, fallacieusement monté sous le sceau de la prétendue légalité, interprété à souhait avec une belle enquête à charge de six mois (je ne l'ai appris qu'ultérieurement...). Il aurait volé en éclat, et aurait pointé, à la fois, leur incompétence, leur bêtise, leur manque d'intégrité, leur parti-pris, leur volonté inaltérable de dissimuler tout ce qui serait préjudiciable à leur corps d'armée, même et surtout provenant de civils, bref, leur basse mentalité de militaires qu'ils veulent appliquer à tout le monde, et encore plus à ceux qui leur sont inférieurs, le quidam.

C'est ainsi qu'ils ont pris le soin de tout concentrer en ce qui me concerne, et donc de m'interpeller, dans le Var...

Bref, ces deux prétendus officiers me demandent si je veux un interprète, un médecin, un avocat.

Je réponds par l'affirmative aux trois options.

Et déjà, on continue à bafouer mes droits, après celui de la présomption d'innocence.

Tout d'abord, l'interprète m'est refusé. Alors que je le voulais, non pas pour moi, qui parle, écrit et comprends parfaitement la langue française dans un large éventail, mais pour cette dame et ce monsieur qui prétendent la maîtriser, et ce, suffisamment pour oser interpréter mes (prétendus) propos avec des préjugés sur mon compte, mon niveau intellectuel et celui de ma culture générale, avec l'aide de faciles « à priori » sémantiques de tout prendre au mot, basiquement, sans aucune subtilité ni réflexion qui pourrait m'être prêtée, bref, uniquement au premier degré.

La suite m'a donné raison, que ce soit à l'endroit de ces deux, et de leur chef planqué à la brigade, puis du duo qui a pris la suite, qu'à ceux des procureurs, magistrats, préfets locaux, et du maire de La Valette-du-Var...

Des béotiens de la pire espèce, celle des gueux mentaux qui se croient intelligents parce qu'érudits en la matière du Droit Français de leur propre époque contemporaine, pensant avec toute la plus grande certitude que ces deux facultés sont jumelles et inaliénables, et qui s'en gargarisent pour justifier leur nomination à un poste à haute responsabilité, qui ne pourrait l'avoir été par hasard, ni par favoritisme.

Quant au médecin et l'avocat, ils me sont accordés par ces grâces.

Le médecin, je ne le verrai jamais, alors que j'avais le bras en écharpe, l'épaule et le poignet endoloris.

Quant à l'avocat, commis d''office puisque je n'en connaissais pas, elle ne serait pas venue, il n'y aurait eu aucune différence, voire moins préjudiciable. Du moins, c'est ce que je croyais en ce temps. A la lecture de quelques documents de mon dossier, que le tribunal a bien pris soin de ne pas me communiquer, j'apprendrais plus tard que cette avocate traîtresse avait activement participé à mon internement !

Elle a délivré aux crapules de gendarmes cette attestation:

« Je, soussignée, Maître Emily LINOL-MANZO, Avocat au Barreau de TOULON, atteste m'être entretenue avec : MR GRANIER Laurent,

Observations : La teneur étrange des propos de Mr nécessite à mon sens une expertise psychiatrique » ! ».




Les événements suivants au cours de cette sale journée, auxquels j'ai été confronté, ont confirmé l'absence d'intelligence et de pertinence quant à la légalité de leurs actions, mais plus encore, une démonstration de leur intention délibérée de fraudes en ce qui concerne les prétendus enquêteurs.

Car, c'est bien leur non intelligence qui a été mise en lumière, autant pour ceux de ce jour-là, la femme, son chef (adjudant), et son « sur-chef » (adjudant-chef), que la paire de la seconde partie de ma garde à vue.

Inintelligence, inculture, mais surtout malhonnêteté absolue.

Encore aujourd'hui, je me pose toujours la question du comment ils et elles sont parvenu(e)s à de tels postes à responsabilités, de telles graves responsabilités qu'elles peuvent causer de graves et irrémédiables préjudices (et je le découvrirai à mes dépens...), et ce, avec si peu de culture générale, si peu d'intelligence, si peu de probité, si peu d'intégrité, si peu de connaissances en la langue française, notamment en sémantique (ce qui est le plus important quand on a à mettre en corrélation, à instruire et à gérer des textes, de la Loi, avec des écrits, objets des poursuites...), et surtout si peu de sens de l'authentique Honneur et du véritable Devoir, si peu de courage à assumer leurs propres erreurs...

Sans doute parce qu'elles n'en sont pas, des erreurs, puisque, pour certaines, délibérées...

Ma question trouve simplement sa réponse dans une seule évocation généraliste, omnipotente, omniforme : l'Armée !

Je suis certain du fait qu'ils n'auraient jamais obtenu cette position, sans un coup de pouce « intérieur », « militaro-copinage », s'ils avaient postulé au sein de la vraie police, celle qui fait des heures supplémentaires sans compter, celle qui « mouille le maillot » dans les endroits véritablement dangereux et glauques, celle des infiltrations, celle qui ne se satisfait pas toujours de la superficialité d'une enquête, celle qui se met en doute, celle qui ressent comme étrange les conclusions trop hâtives et trop faciles, celle qui a une expérience, et du terrain, et des mœurs des hommes, parce qu'ils en sont, eux.




Tout cela pour dire, et j'en reprendrai la conclusion de l'un d'entre eux, à la fin de sa mission d'enquête de 6 mois à mon endroit, après plus de 12 jours d'incarcérations, dont 11 en internement abusif, et une nuit passée en geôle pour faciliter la tâche de ceux-ci :

« Tout ça pour ça ! ».

Car, si cette bande, parce qu'ils ont eu besoin d'être au moins cinq, pendant six mois, avait bien fait son travail, et avait été honnête et intègre, et avait été en mesure d'utiliser un peu leurs cellules grises, cette affaire se serait soldée par un non-lieu, sans même m'auditionner, sans même que j'eusse appris que l'on enquêtait sur moi.

Mais voilà, l'un, ou plutôt l'une des instigateurs, était de mèche avec la gendarmerderie locale...

Et surtout, cette prodigue affaire permettait de servir de paravent, de faux prétexte pour me faire taire sur mes sensibles révélations judiciaires, financières et politiques au niveau national, en circonscrivant mon périmètre loin de Paris, loin des médias...

Quant au multi-face duo originel THOULOUZE/ ZAMMIT-LA IACONNA-DAL'OPPIO, leurs procès verbaux sont frauduleux.

Je ne le comprendrai que bien plus tard. Quand je me rappellerai que j'avais rencontré ultérieurement au cours de la procédure, après mon internement, toujours incarcéré en la gendarmerderie, le vrai ZAMMIT, en uniforme, s'occupant d'une autre affaire, toute aussi montée de fausses pièces, orchestrée par le préfet au sujet d'un permis de construire à mon bénéfice qui était conforme et légal mais contre lequel ils essayaient d'échafauder un vice, et ce, non pas pour m'emmerder davantage dans la situation où je me trouvais déjà, mais plutôt pour contrecarrer la mise en cause d'un permis obtenu par un voisin de la secte, un permis au caractère douteux.

Ils essayaient de me mettre à porte-à-faux pour me faire taire à ce sujet.

Je comprendrai ainsi que le second, apparemment second, qui manipulait et ordonnait l'Aurélie THOULOUZE, n'était autre que le fameux gendarme du Beausset, DALL'OPIO, ou assimilé.

Si l'interpellation commando avait été faite à Signes, et non au Beausset, c'est bien pour cette raison...

Il y eut donc une falsification d'identité des protagonistes, sur les procès verbaux, par une partie prenante...

L'intégrité de la gendarmerderie...

Le chef de la Maréchal des Logis-Chef THOULOUZE, adjudant, se nomme Franck LA IACONA, encore un nom à consonance italo-mafieuse...

Et il ne m'aime pas du tout...

Il m'en voulait, et sans doute davantage désormais, d'avoir évoqué la corruption dans la gendarmerderie, précisant essentiellement la honte qui en découlait sur lui par rapport à ses enfants.

En sus d'une attitude typiquement italienne, « filialo-égocentrique/égoïste », il faisait ainsi montre d'une véritable altération de son intégrité, en mettant en exergue la gêne personnelle d'une réputation dévoilée, révélée, en opposition à la vérité, qui doit, selon ses préceptes moraux, rester tue, essentiellement quand elle n'est pas brillante.

Un médiocre dogme de circonstance nécessaire quand on a de sales choses à se faire reprocher.

C'est aussi le laïus des lâches crapules qui se moquent de commettre des méfaits, qui vivent très bien avec sur leur prétendue espèce de conscience tant qu'ils sont celés, mais qui ragent s'ils sont divulgués et dénoncés publiquement.

En bref, ils se confortent d'une bonne réputation, même si elle est fausse, « mentie », usurpée, voire antagoniste avec la réalité.

Ils se complaisent dans le mensonge, dans l'hypocrisie, dans la fausseté,.. les mafieux.

Typiquement maconnique.

Le travestissement des actes dévalorisants et l'occultation des faits dérangeants, et ce, au lieu de s'abstenir de les perpétrer.

La réécriture des faits à leurs seuls avantages.

Une autre forme de négationnisme ou de révisionnisme, selon le cas.

D'ailleurs, chacune de ces deux attitudes n'est-elle point répréhensible par la Loi, française s'entend ?!

Pas nécessairement. Cela dépend de l'origine de la victime.

Privilège, privilèges.

Ce délit est réservé pour le bénéfice exclusif des juifs, et de leur petites histoires.

Je m'étais donc vu dans l'obligation de discuter avec des médiocres, intellectuellement, culturellement, et moralement.

Chapitre 2 : Les 3 chefs d'accusations retenus en définitive, tels qu'ils ont été rédigés, avec leurs fautes, par les procureurs du parquet du tribunal de Toulon

Après 12 jours de séquestration crapuleuse, modelée par un internement abusif assorti d'intimidation, de chantage, de menace, de « tests » médicaux à mon insu, de torture mentale, et ce, parce qu'ils ne pouvaient rien judiciairement, et face à une situation et des circonstances si ridicules qu'ils ne pouvaient en perdre la face, ils avaient tous la nécessité de justifier, même d'une manière illégale et irrecevable au nom de Droit français, leur sale entreprise à mon encontre.

Aussi, le « conglomérat » du ministère public toulonnais (sic), en la parole d'une de ses corrompues procureur(e)s, Carine CAUCHY, a édité ce fallacieux arrêté pour que je sois jugé le 26 avril 2019 des spécieux chefs d'accusation suivants:




D'avoir à LE BEAUSSET, du 27 février 2018 au 5 mars 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, commis un outrage par paroles, gestes ou menaces, de nature à porter atteinte à la dignité ou au respect dû à la fonction de Monsieur D'ALLOPIO Fabien, personne dépositaire de l'autorité publique, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions, en l'espèce en disant « il est bien connu que la mafia italienne est présente en région PACA et le nom de gendarme DALL'OPIO, à consonance italienne ne peut m'ôter de l'esprit de parti pris avec les vermines (NATINF 7886), faits prévus par ART.433-5 AL.2,AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.433-5 AL.2, ART.433-22 C.PENAL.

D'avoir à LE BEAUSSET, du 27 février 2018 au 05 mars 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, dénoncé à un officier de justice, en l'espèce en adressant une lettre au ministre de l 'intérieur intitulée « les gendarmes et la gendarmerie du Beausset impliqués dans des actions d'intimidation de complicité d 'extorsion de fraudes comptables de corruption criminelle mêlant trafic d'influence de drogues et de chantage », un fait de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires, en l'espèce, contre Monsieur COLLOMB Gérard, Monsieur PHILIPPE Edouard, en sachant que ce fait est totalement ou partiellement exact (NATINF 33), faits prévus par ART.226-10 AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.226-10 AL.1, ART.26-31 C.PENAL.




D'avoir à LE BEAUSSET, du 26 février 2018 au 16 novembre 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, par quelque moyen que ce soit mais avec l'ordre de remplir une condition menacé d'un crime contre des personnes au préjudice de Madame CAUSSIN Anne, en l'espèce en lui disant « si vous ne me restituez pas dans les 24 h00 à compter de la réception de cette lettre de l'argent que j'ai engagé pour l'achat de deux véhicules, ce sera doigt coupé, main tranché, langue tranchée » (NATINF 7893), faits prévus par ART.222-18 AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.222-18 AL.1, ART.222-44, ART.222-45 C.PENAL.




Voici l'énumération non exhaustive de la mise en évidence de LEURS délits pénaux au sein même de ces frauduleux et fallacieux chefs d'accusation basés sur des délibérées fausses déclarations de leur part.




Déjà, en préambule, au titre de l'emprisonnement préventif.

Comment peut-on soustraire de sa liberté, une personne non condamnée, en l'attente de son jugement, alors que cette privation ne pourra jamais être dédommagée, remboursée, annulée, et ce, au nom de si mineurs (supposés) délits en ce qui me concerne, de surcroît éthérés, non concrets, si tant est encore qu'ils soient incontestablement avérés, fait qui devrait être d'abord déterminé définitivement dès le début de l'audience du procès ???!!!!l

Cette question est légitime, et indubitablement importante pour toutes ces incarcérations au préalable d'un procès, dont leurs justifications arbitraires froissent, et même foulent le principe même de la présomption d'innocence, puisqu'elles partent du fait évident préjugé que la personne concernée sera, quoi qu'il en soit, condamnée !

Ce moyen de confiner les accusés à priori, pour les garder « sous la main », et épargner aux autorités de travailler à une possible, mais non probable, interpellation en cas d'une éventuelle contumace, ne doit concerner que les auteurs de graves crimes, dont la récidive, ou les moyens de pression sur les plaignants ou/et les témoins, est un risque réel.

Car, dans des cas « classiques », la technique permet, par exemple des bracelets électroniques, de garder à l’œil le prévenu, tout en évitant de commettre ce grave délit à l'encontre de la présomption d'innocence, si chère à cette justice et à cette république typiquement françaises.

Ce point crucial au niveau constitutionnel mérite une prioritaire (sic) « QPC ».







Ensuite, au titre des chefs d'accusation, fantaisistes à souhait.




En premier point, la désormais absente note relative au moyen et au lieu des infractions, c'est-à-dire, à la publication de ces courriers sur un site internet, pourtant objet principal et originel, initiateur des poursuites, de l'interpellation et de la garde à vue... Et de l'internement...

Et pour cause. Et d'une, ils auraient à poursuivre la fondation « ANOTOW », et non moi, et de deux, surtout, ils devraient répondre des manquements des prétendues victimes à leur obligation préalable avant toute poursuite, qui consiste de contacter ledit site éditeur de leur mécontentement, pour en faire supprimer le contenu ! C'est un point que j'avais évoqué dans mon audition...

Une notion juridique fondamentale que ces gendarmes officiers d'élite ne connaissaient pas, tout comme « Mon super Avocat », qui est un « vendu »... Mais, ils ont appris la leçon, et pour éviter les déboires d'un non-lieu ridicule en le tribunal, les gendarmes et les procureurs en question ont travesti les faits et prétendus délits !




En deuxième point, les dates sont incohérentes avec la chronologie matérielle et temporelle des faits au niveau terrestre, dont les contraintes physiques, normalement, empêchent de remonter le temps... Mais, je les ai déjà évoquées.

En troisième point, c'est le fait que les ministres en question, à qui j'ai seulement envoyé une note informative, sont déclarés par ces procureurs de pacotille, comme des victimes !

Un étrange statut erroné dont ils ne sont même pas au courant...




En troisième point bis et ter, « un fait de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires, en l'espèce, contre Monsieur COLLOMB Gérard, Monsieur PHILIPPE Edouard »! Or, ces notifications sont à l'encontre des personnes ayant commis les délits et adressées à leurs supérieurs hiérarchiques. Un non sens d'accusation doublé d'imprécision sur les reprochées phrases supposées. Lesquelles ???

De plus, si ce que je dénonçais était de nature à entraîner des sanctions, c'est bien qu'ils étaient avérés, et donc, il m'est reproché de rapporter des délits pénaux !




En quatrième point, ces pieds-nickelés procureurs mentionnent à l'attention de la fonction de Gérard COLLOMB, au jour de la rédaction de cette accusation, celle de « Ministre ».




En cinquième point, leurs formules pathétiques pour tenter d'englober au plus vaste le champ d'application des prétendus délits, en maniant des mots pour le rendre le plus exhaustif possible, et ce, tout en ayant extirpé désormais, la dérangeante, au niveau juridique, précision quant au support originel de la motivation des poursuites, la publication sur internet par un tiers.




Mais il est des points encore plus graves, de ceux qui devraient vous inquiéter sur la réelle situation du système de la « Justice » en France, et du respect des Droits fondamentaux de l'Homme.

Ces points encore plus noirs se portent sur la perverse mentalité de ces malhonnêtes procureurs de la République Française, mais pas dénués de stupidité, en constatant que leurs accusations sont toujours échafaudées dans un sens fallacieux, et même faux, (ab)usant même de tournures impropres à la réalité, à l'aide de mensonges, comme quand ils expriment : « commis un outrage par paroles, gestes ou menaces ». Or, ce sont des écrits, donc aucune parole, aucun geste, aucune menace !

Et d'ailleurs, quel rapport d'alternative logique entre une « menace » et une « parole » ou un « geste »...




Je rappelle que ce point concerne la lettre aux ministres, et non celle à la CAUSSIN. Il n'y avait point de menace dans cette double missive, et d'ailleurs, aucun texte n'a été relevé pour étayer cette accusation !




Ce qui devrait encore plus vous inquiéter, c'est de constater encore plus, que leurs accusations sont toujours plus fallacieuses par leur délibérée imprécision, pour les rendre les plus exhaustives possibles, à souhait d'interprétation ultérieure, dans le seul but d'écarter tout risque de future caducité : « par quelque moyen que ce soit » ! Alors que tout est basé sur un support écrit, et que l'origine des poursuites n'est liée qu'à leur publication sur le site internet de la fondation.




Ce qui devrait vous alerter sur leur corruption morale, c'est que leurs allégations accusatrices sont dénuées d'à-propos avec le contexte, comme, par exemple, celui d'« outrage », alors que ce mot a pour définition d'« affront », d'« injure grave ».

Ce qui n'est pas le cas en ce qui me concerne, sauf si, être témoin, être victime, déposer plainte, informer la justice de crime ou de délit, faire son devoir en prenant fait et cause pour mettre au jour la vérité, soient un « affront », ou une « injure grave »...

Quoi qu'il en soit, tout acte non neutre, tout acte de justice, porte « outrage » à quelqu'un !

De plus, un outrage est caractérisé essentiellement quand il est adressé directement à la personne concernée...

Sinon, c'est une diffamation !

Mais encore, faut-il connaître la définition des mots de la langue française...




Ce qui devrait vous rendre dubitatif quant à leur génie et leur honnêteté (sarcasmes), c'est le fait qu'ils osent déclamer :

« en sachant que ce fait est totalement ou partiellement exact » !

Ainsi donc, et quelle partie, de ce que je dénonce, est vraie ? « Totalement », et « partiellement »...

Une vérité partielle !!! Un non sens moral et juridique !

D'ailleurs, aucune enquête, aucune instruction n'a été cependant diligentée quant à cette primordiale « partie », qui fait de mon entreprise d'en les informer, non plus un délit, mais bel et bien un devoir, en tant qu'Homme véritable, et par obligation au vu de la Loi, française, s'entend !

De plus, le comble est atteint quand cela exprime aussi et surtout que les poursuites à mon encontre se réclament bien du fait que je dis la vérité sur des délits commis.




Ce qui devrait vous rendre encore plus dubitatif et inquiet quant à leur capacité morale, mentale et intellectuelle, tant au sujet des super gendarmes de la bassesse que des grands « ordoprocureurs » du vice, c'est que la charge la plus grave, la plus lourde, concerne le fait que j'aurais écrit la phrase suivante et adressée à la CAUSSIN :

« par quelque moyen que ce soit mais avec l'ordre de remplir une condition menacé d'un crime contre des personnes au préjudice de Madame CAUSSIN Anne, en l'espèce en lui disant « si vous ne me restituez pas dans les 24 h00 à compter de la réception de cette lettre de l'argent que j'ai engagé pour l'achat de deux véhicules, ce sera doigt coupé, main tranché, langue tranchée ».

Or, non seulement cette phrase n'existe pas, dans aucun de mes courriers, mais, en plus, en ce qui concerne les punitions auxquelles s'exposent les contrevenants, selon le courrier incriminé dont vous avez pu lire la teneur précédemment, elles ne sont qu'une mise en garde en cas d'action, et non une menace en cas d'inaction.

C'est fondamentalement différent.

Dans le second, c'est une menace d'obligation à faire, « remplir une condition », et dans le premier, la réalité de mes propos, il n'y a aucune condition, bien au contraire, l'avertissement consiste à une sanction en cas de méfait, puisqu'il ne faut pas commettre un acte, un délit, comme dans la Loi française !

Cette conseillée circonspection consiste à ne pas commettre de délits, déjà au regard de la Loi française, et donc de la respecter !

De plus, et pour finir sur leur médiocrité morale, mentale, intellectuelle et leur piètre culture générale (et spécialement leur connaissance de la langue française, d'où la nécessité de traducteurs déjà évoquée), il est à remarquer que ces mises en garde ne concernent pas CAUSSIN, ni ses acolytes, mais bel et bien, et spécifiquement, ses « enculés » d'avocats (désolé pour le pléonasme) qui vérolent le système judiciaire de la France !

«... et que vous choisissiez la méthode procédurale juridique avec l'entremise d'avocat(s), de les prévenir de bien prendre garde à ce qu'ils écriraient ou diraient. Pour faire simple, le premier écart commis d'une des catégories décrites ci-dessus, entraînera les verdicts, les sanctions suivantes, au regard de la loi universelle et supranationale “ANOTOW” : un doigt coupé, le deuxième écart, ce sera une main tranchée, le troisième la langue, le quatrième, les yeux, etc. ».

Ainsi, vous pouvez constater sans aucun doute, d'abord, et il est évident pour toute personne normalement constituée et éduquée, et donc connaissant le langage, la sémantique, les mots et leur définition, que cette précaution est à l'attention exclusivement des avocats véreux qui s'amuseraient à vouloir jouer à la magouille corruptive, notamment par le trafic d'influences françaises-maconniques. Et qu'ainsi donc, l'Anne CAUSSIN n'est nullement visée par ces hypothétiques sanctions !

Il y a donc une première « incohérence », qui ne peut porter à croire que c'est une menace. A moins d'être un con, un abruti, une merde, un béotien, un malhonnête, un de mauvaise foi, bref, un français-macon !

Ensuite et surtout, c'est une menace irréalisable, techniquement, et chronologiquement !

Cela en est même un non-sens.

En effet, supposons qu'il y ait un premier écart de conduite. Cela voudrait dire que le concerné serait « visité » ou enlevé, qu'il aurait un doigt coupé, puis serait relâché à ses occupations, qu'il continuerait ses abjections « professionnelles », et qu'ainsi, en commettant un nouvel écart, il aurait alors la main tranchée, etc.

Comme s'il était toujours à disposition, et que, pendant ce temps, les autorités ne feraient rien pour empêcher la suite ?!!!

Et qu'il aurait continué ses viles activités d'avocat comme si de rien n'était ?!

Et s'il était séquestré, il n'aurait pas l'occasion de commettre d'autres « erreurs » et d'en souffrir les affres consécutifs.

C'est absolument débile, et il n'y a qu'un débile pour prendre de tels propos au premier degré, et les considérer comme une menace réelle.

Pourtant, ces supers gendarmes d'élites (sarcasme), officiers de police judiciaire, THOULOUZE, LA IACONA, DALL'OPPIO, HOARAU, ZAMMIT, LECOUTOUR, ROTH, et ces procureurs de hauts rangs (sarcasme bis), MAZIERE, BATTLE, CAUCHY, et CHAFFAI en tête, ont bien pris cette tangente « interprétationnelle » vers la débilité...

Un parti-pris... pratique.

Et en effet.

Une motivation indubitable de malsaine revanche, de représailles tardives, car, il est à noter que j'ai redécouvert dernièrement, en puisant dans mes anciens dossiers, que j'avais déposé, déjà il y a plusieurs années, des plaintes pénales pour corruption contre certaines personnes de ce tribunal de Toulon, quand elles étaient alors en service en celui de Marseille...

C'est la France. Quand un magistrat corrompu est mis au jour, il est sanctionné par une mutation dans le département voisin !

C'est de même avec les huissiers, puisqu'une bande de véreux de la juridiction toulonnaise avait dû prendre bagages vers les Bouches-du-Rhône...




Mais c'est bien d'une seule personne, rédactrice, signataire et responsable de ces poursuites définitives assorties d'un placement sous contrôle judiciaire !

Et ce, pour de simples écrits confidentiels, je rappelle, et non pour de véritables crimes comme des vols, des cambriolages, des agressions, des viols, où leurs auteurs ne subissent pas autant de mauvais traitements de leur part, gendarmes et magistrats, pour leurs sordides méfaits !

C'est bien la substitut du procureur Carine CAUCHY qui est l'auteure de ce torchon juridique et moral !

Mais connaissant la légendaire usuelle lâcheté des français-macons, il est certain que le véritable rédacteur, le véritable responsable n'est point cette dame, et qu'il se tapit dans l'ombre que seule lui sied à merveille.

Mais, comme on dit pour se simplifier la tâche quand il est difficile de séparer le bon grain de l'ivraie:

« Tuez les tous, Dieu reconnaîtra les siens »...




Pour être honnête et neutre, toutes ces remarques, toutes ces analyses, toutes ces argumentations, toutes ces subtilités, même « Mon super Avocat », « JéSus », ne les avait pas relevées...

Bon, il est vrai que c'est un « vendu », qu'il est particulièrement incompétent en matière de véritable innocence, ne défendant que des salauds, et qu'il voulait profiter de l'aubaine pour me soutirer davantage d'argent et pour exercer une plus relative utile « pression » pour me faire taire.




D'ailleurs, ses conseils lorsque j'étais en garde à vue, étaient de tout avouer, d'agréer tout ce que ces éminents gendarmes déclamaient !

Il est à rappeler que, n'ayant jamais pu prendre connaissance durant toute la garde à vue, des documents prélevés sur internet qui m'étaient reprochés, je n'ai pu ni les confirmer, ni les contester.

Cependant, au vu de leurs gravissimes interprétations farfelues, j'évoquais même une possibilité de piratage de mon site, par lequel des malins mal intentionnés à mon endroit et à celui de l'ONG « ANOTOW », certes dérangeante, aient installé des fichiers compromettants.

Cela est fort possible, vu que j'avais reçu plusieurs courriels auparavant, m'indiquant que des hackers avaient piraté plusieurs de mes comptes et m'en demandaient une rançon.

J'ai conservé ces preuves que j'ai communiquées à « Mon super Avocat », qui n'en a pas pris la bonne mesure...

Côté « Pieds-Nickelés » gendarmesques et parquetiers, cette évidente précaution n'a pas été prise en compte...

Évidemment !

Pour revenir à cette initiative régionale, au vu des seuls éléments à ma connaissance, je peux déclarer haut et fort, avec l'appui de preuves incontestables fournies par elles-mêmes, que ces délits d'intimidations, de coercitions, de chantages, de menaces, de séquestration, de diffamations, de crimes à mon encontre, ont été perpétrés et organisés à leur origine, par les personnes suivantes.

Les autres qui ont participé ultérieurement, et/ou en amont, n'en sont pas pour autant dédouanées.




Le fait le plus grave, celui retenu de « MENACE DE CRIME CONTRE LES PERSONNES AVEC ORDRE DE REMPLIR UNE CONDITION – Période du 26/02/2018 à 15:39 au 27/02/2018 à 15:39 » a bien été originellement inventé, faussé et vicié par le gendarme Officier de Police Judiciaire, Adjudant-Chef Michel LECOUTOUR, avec la complicité de la substitut du procureur MAZIERE, puis de Mme CAUCHY (dont le prénom est toujours non mentionné - problème de légalité d'un tel procès-verbal...), et ce, pour le seul bénéfice d'Anne CAUSSIN, afin de m'intimider, me nuire, me contraindre à renoncer à des poursuites contre elle, pour recouvrer la somme qu'elle a détournée avec ses complices lascars, Philippe COLOMBO et Laurent ROMANO.

A ce titre, il est intéressant de noter que ledit super gendarme intègre (sarcasmes) qui l'a auditionnée pour sa plainte, n'a entrepris aucune enquête sur les graves délits que je dénonçais, se cantonnant aux seuls propos d'évangile de l'Anne CAUSSIN qui y répondait, par lesquels ce n'était qu'un conflit commercial !

Fi des détournements, fi des faux, fi des fraudes comptables, fi des fraudes fiscales, fi du blanchiment, etc.




C'est grâce à cette malversation collusive de tous ces individus peu scrupuleux, que tout a pu commencer à mon encontre, bien loin de la Capitale, de la France.

Je découvrirai aussi, à la lecture des documents, que celui qui a poussé cette frauduleuse et crapuleuse cabale, en interne, est le Capitaine Daniel ROTH, commandant en second de la compagnie de gendarmerderie de La Valette du Var...

Il est à remarquer le fait, aussi grave qu'étonnant, que ces gendarmes et cette procureure, qui prennent en compte au premier degré de prétendues graves menaces, et donc de leurs supposées dangerosités, n'aient agi à mon encontre que 9 mois et demi après...

C'est bien que la véritable motivation de cette officielle entreprise criminelle est toute autre que celle qu'elle paraît, c'est-à-dire, plutôt essentiellement politique, religieuse et dogmatique.

Si ces menaces avaient été réelles, j'aurais pu agir depuis longtemps... et surtout, qu'ils auraient dû y répondre d'autant plus tôt pour les entraver !

C'est donc bien qu'ils savaient pertinemment qu'elles n'en étaient pas !




Maintenant, que l'on me prouve que la gendarmerderie locale, et même certains gendarmes spécifiquement, et que certains procureurs et magistrats, ne sont pas liés, ni complices du maléfique trio de civils mafieux !

Parce que moi, j'ai bien les preuves du contraire !

Et pléthore, déjà, avec cette parodie de procédure.




Passons au procès-verbal rédigé par le duo HOARAU-ZAMMIT, pour la reprise de la garde à vue, horodaté du 27 novembre 2018 à 19 heures 15 minutes.

Déjà, le ZAMMIT n'est pas cité comme présent...




Ensuite, cette super Officier de Police Judiciaire, intègre représentant de l'État et de la gendarmerderie, reprend les mêmes bourdes que sa collègue, 11 jours plus tôt, au sujet des supposés crimes décrits ci-dessus, avec l'adresse du Beausset, si ce n'est qu'elle a bien pris soin de ne pas mentionner, par vice, les adresses du site internet, support des infractions.

Et pourquoi ?

Parce que depuis le début, je disais que ces supposées infractions concernaient une publication, et donc la fondation « ANOTOW ».

Ainsi, pour pallier à ce problème juridique qui leur serait, d'une part, préjudiciable pour la prétendue « intégrité » de l'enquête, et d'autre part, funeste pour leur entreprise crapuleuse de me nuire définitivement, ils devaient omettre ce « détail » gênant...

C'est aussi pour cela que la procureure Carine CAUCHY s'est bien abstenue de mentionner ce point juridique particulièrement embarrassant, qui faisait état des circonstances et du lieu des délits sur une localité immatérielle, « internet », dont elle ne peut avoir juridiction, ce qui aurait créé un contexte dangereux pour sa carrière.

Ils naviguent tous dans les eaux troubles de la qualification des délits, tantôt sur internet, ce qui fait que le coupable est un tiers, une fondation ONG, concernant une publication, et tantôt sur les courriers eux-mêmes !

D'ailleurs, vous mettrez en parallèle leur croissante volonté absolue d'être méticuleusement imprécis, avec une de mes réponses lors de mon audition, le 28 novembre, au sujet de la réglementation et des lois (françaises) pour l'environnement internet.

Un constat juridique qui les dérange particulièrement, et qu'ils veulent occulter coûte que coûte.

Cela concerne spécifiquement les publications qui font mention de l'identité d'une personne citée. Si cette dernière n'est pas contente d'un contenu à son propos, elle n'a qu'à manifester son désaccord par courriel au propriétaire du site, ou à son gérant technique (webmaster). Ce n'est qu'après les avoir informé, et ne pas avoir obtenu gain de cause, comme, par exemple, la suppression de tout ou partie du texte incriminé, que la personne s'estimant lésée peut entreprendre des poursuites, et déposer une plainte.




Je l'expliquais longuement, avec précision et pédagogie, sans doute le plus long des paragraphes de l'audition, aux prétendus gendarmes enquêteurs, qui ne connaissaient même pas cette législation, comme beaucoup d'autres lois, d'ailleurs...

Et je finissais mon exposé juridique par un fait concret de cette affaire, en déclarant, à l'attention aussi des procureurs, qu'aucune des supposées victimes n'a contacté, ni le webmaster, ni moi-même, auteur des courriers !

Les poursuites judiciaires à ce titre, étaient, ou devenaient nulles et non avenues.

C'est bien pour cela, qu'un grand flou judiciaire à tendance unilatérale à mon encontre, a été créé et entretenu par ces éminences en la matière juridique, ayant obtenu de tel poste à responsabilités dictatoriales, à la faveur de diplômes décernés après de nombreuses années d'étude du Droit français !... Mais pas de la langue française.

Cherchez l'erreur !!!

« Mon super Avocat », plus Judas que Jésus, lui ne voyait toujours rien d'utile pour mon affaire...




Pour finir, il est intéressant de remarquer deux documents conclusifs de l'« Enquête ».

Le dénommé « Procès-Verbal de Synthèse », daté du 28 novembre mais pas horodaté(...), rédigé par la très intelligente, très compétente, très honnête, très intègre (sarcasmes) Aurélie THOULOUZE, par lequel les raccourcis « intellectuels » à leur avantage sont légions. Les bourdes chronologiques aussi, et les faits eux-même aussi.

Mentant, cette gendarme d'élite (sarcasme) ose mentionner que tout a débuté, l'affaire, l'enquête le 05 mars 2018.

Elle écrit dans le récapitulatif de l'« Enquête » :

« Le 05 mars 2018, le Mdl/C DALLOPIO dépose plainte à l'encontre de Mr. Laurent GRANIER ».

« Poursuivant notre enquête, au mois de mai 2018, nous apprenons que le même écrit diffusé par Mr. Laurent GRANIER fait également l'objet d'une procédure (4555/00373/2018) ouverte pour des faits de menace de crime contre les personnes avec ordre de remplir une mission suite à une plainte de de Mme CAUSSIN... ».




Alors que tout a commencé par la venue les 27 et 28 février, de Anne CAUSSIN, en la gendarmerderie du Beausset.

Et que les notifications aux ministres, envoyées le 28 février et reçues le 02 mars, de mise en l'index à l'encontre de la gendarmerderie locale, sont la conséquence de leur venue, le 27 février, pour m'intimider suite à la prétendue plainte de Anne CAUSSIN...




Il y a aussi la multiple fusion, celle des deux courriers, pourtant bien distincts, celle des délits, pourtant bien distincts, et celle des victimes, pourtant bien distinctes, bref de deux affaires distinctes au sein même de cette même procédure, et ce, alors qu'ils prétendent tous le contraire, qu'il n'y a aucune complicité, aucune collusion, aucun copinage !

Un comble de la morale et de la probité !

Sans compter celui de l'illégalité et de l'irrecevabilité juridique !

De la pure perversion française-maconne, par une démonstration ostentatoire de son omnipotence en matière d'impunité et de perpétration de ses propres délibérés délits, au point de pouvoir structurer une aberrante fusion d'affaires hétéroclites qui mène à une confusion totale des (supposés) faits reprochés !




Pour information, quand j'exprimais mon questionnement affirmé de cet incohérent double à-propos juridique et judiciaire à « Mon super Avocat », il me répondait que leur unification était normale puisque le point central et commun c'était ma personne !

Mais, lorsque je lui rétorquais qu'à partir de cette étrange considération, alors, il n'y avait qu'à faire de ce procès, tous ceux possibles à mon encontre par toutes les personnes du Monde entier ayant un grief contre moi, il se tut...




Vous remarquerez donc les faciles et pratiques raccourcis « intellectuels » et les malversations factuelles de cette gendarme, et de ses chefs la supervisant toujours en catimini, ces derniers étant assez lâches pour se cacher et laisser aller au front, une femme !

Une femme ? Pas tout à fait...

C'est cependant elle, avec sa magnifique intelligence, son extraordinaire propension à la préhension de la finesse et de la subtilité de la sémantique de la langue française, dotée en juxtaposition de sa capacité cérébrale d'une haute teneur de connaissance et d'évaluation psychologique, le tout mené par une intégrité absolue, un sens profond de l'Honneur et du Devoir (sarcasmes à répétition), elle, qui en peaufine les chefs d'accusation suivants, faux, fallacieux, détournés, inventés, à la seule attention personnelle, bien ciblée, de l'adjoint ou substitut du procureur, en la « personne » de l'arabe Ahmed CHAFFAI, de sale valeur morale et intellectuelle identique ! Qui plus est, raciste !




Ses conclusions arrangeantes pour détourner l'attention de son enquête à charge, et surtout, médiocre, ridicule et pitoyable, mènent finalement à « ne relever que 3 chefs d'accusation », qui sont aussi repris dans l'autre rapport final, le « Bordereau d'envoi judiciaire », daté du 28 novembre à 12 heures 40 minutes, signé, mais dont l'identité de l'auteur, gendarme, n'est pas mentionnée... Encore une faute procédurale grave.

Ce document « anonyme », rapport des valeureux, compétents et intègres (sarcasmes) Officiers de Police Judiciaire, fait toujours état de la fausse adresse du Beausset, mais aussi, comporte les mêmes « erreurs » chronologiques antidatées, avec une page consacrée à l'énumération des victimes, toutes confondues dans une même procédure (!), et pour le futur même procès (!), à savoir Anne CAUSSIN, Gérard COLLOMB (Oui ! L'ex-ministre !), Fabien DALLOPIO !

Dans l'extrait de son identité, il y est fait mention de sa date de naissance, et de sa profession, « MINISTRE », en novembre 2018...




Une mascarade digne des Pieds-Nickelés, mais version Gendarmerderie (supposée) Française et Procureurs de la République prétendument Française !




Il y aura donc un seul et même procès mêlant l'Anne CAUSSIN et le gendarme sus-nommé que j'accusais de complicité, mais concernant des faits bien distincts, pour des chefs d'accusations bien distincts, et au titre de 2 courriers bien distincts !

D'ailleurs, cet offusqué gendarme avait déposé plainte contre moi pour le fait, retenu en définitive, que j'avais fait un amalgame d'appartenance homonymique avec une probable organisation criminelle de même origine, et non, sur le fait grave de sa complicité avec la malhonnête CAUSSIN.

Il est même intéressant de noter que cette accusation que je lui portais, n'a jamais été ni relevée, ni contestée, ni reprochée pénalement ou juridiquement, ni par ledit gendarme, ni par ses collègues, ni même par les procureurs... ni même par les ministres concernés... «...Totalement ou partiellement exact...»...

Sans compter la « nomination » de Gérard COLLOMB comme « victime », alors que, déjà, il n'était pas visé, mais qu'il était seulement le destinataire de ma « notification » en tant que responsable hiérarchique, et ensuite, contre qui je n'avais rien, et contre qui je n'avais déposé de plainte...




Et j'oubliais, tant ce document officiel est médiocre, comme son mystérieux auteur gendarme Officier de Police Judiciaire, qu'après la citation des 3 « victimes », il y a mon nom, en tant que « auteur des faits » (Merci pour la présomption d'innocence...), et il y a ensuite, une autre victime, Édouard PHILIPPE !

Qui est pourtant dans le même cas que celui de Gérard COLLOMB, c'est-à-dire, contre qui je n'avais pas déposé de plainte, mais plutôt à qui j'avais seulement porté l'information...




D'ailleurs, savent-ils qu'ils sont inscrits nommément dans une telle burlesque procédure pénale ?

Le PHILIPPE ? Sans doute, puisqu'il y a des relents politiques derrière, et qu'il en est l'un des commanditaires.

Mais, Gérard COLLOMB, il n'y a aucune raison. Surtout après avoir démissionné de son poste d'alors, pour certaines raisons d'incompatibilités morales...

Et encore plus, en tant que « victime » ?!

Savent-ils qu'ils ont subis et subissent toujours de présumés préjudices ???

Il ressort évidemment, que ce type de recours à de telles extrapolations juridico-judiciaires, mensongères, fallacieuses et détournées, de surcroît à l'insu des personnes citées comme telles, et non concernées, doit être sanctionné durement, et que de telles accusations doivent être invalidées par le Conseil Constitutionnel, et donc faire l'objet d'au moins, une « QPC », au titre de « victime imaginaire » !

En conclusion de cet authentique grotesque « torchon » procédural, rédigé et émis officiellement par des gendarmes, « Officiers de Police Judiciaire » de surcroît, à l'attention du parquet de Toulon, de ses procureurs, et spécifiquement d'un, l'Ahmed CHAFFAI, c'est dire son implication active dans cette manœuvre hautement délictueuse et crapuleuse, il y est exprimé sous l'intitulé « Manière d'opérer »  (Toujours fautes incluses...) :

« Le site internet www.anotow.org administré par Laurent GRANIER diffuse une lettre contenant des propos outrageant et calomnieux. Mr GRANIER se présente comme maître Philosophe, théoricien et fondateur de l'ONG ANOTOW implantée à Paris ou Londres,dénonçant la corruption en France et dans le monde. ».




On retrouve sur un des documents signés, la mention de l'auteur comme quoi ce rapport final est destiné au substitut du procureur, l'Ahmed CHAFFAI, afin de m'inculper coûte que coûte.

Ai-je déjà mentionné dans cet ouvrage que la mafia bougnoule tient la région PACA et spécialement Marseille et Toulon, prêtant aide, assistance et « mains fortes » à certains partis politiques comme celui socialiste, et certains syndicats... ?




Soit dit en passant, hormis les fallacieux raccourcis arrangeants comme quoi, par exemple, le site est « administré » par moi-même, la considération de « propos outrageant et calomnieux » bafoue la présomption d'innocence par le fait évident que ce prétendu gendarme fait état de son appréciation intellectuelle et juridique (!), alors que la caractérisation et la qualification de ce genre de « fait » pour y attribuer une interprétation quant à la réalité de l'intention, ne peut incomber qu'à un juge, et spécialement parce qu'en de telles circonstances, l'auteur peut se défendre et expliquer.

Le mystérieux (et pour cause...) gendarme en question s'octroie illégitimement et illégalement des droits qu'il n'a pas, et dont, même, il a l'interdiction de propager. Il doit se complaire dans le factuel, non dans l'expression hypothétique, et juridique.




Je sais à présent, en toute certitude, que leur intention était de me faire faire de la détention provisoire, l'autre moyen avec l'internement, d'emprisonner sans besoin de jugement, ni même de délit, quelqu'un !

L'auteure signataire et la complice active de cette machination, cette crapulerie judiciaire, est l'Aurélie THOULOUZE.

Sûr, qu'avec ses sales actes, obéissante servile servante (sic) au point de renier son serment aux valeurs originelles de la Gendarmerie, et sa conscience « pro-fess(ionnell)e », elle a dû obtenir une promotion dans cette sale armée, et dans la secte satanique des français-macons, une digne de celle « canapé ».

Et avec ce que je vais vous révéler maintenant, je pense que les véritables « Pieds-Nickelés » vont me faire un procès pour les avoir comparés à ces ridicules pompeux « Officiers de Police Judiciaire ».

En parcourant les quelques documents du dossier que j'ai eu fin janvier, je découvre que ces prétendus gendarmes d'élite ont fait des enquêtes sur mes « contacts » téléphoniques.

Déjà, en dehors de ma personne, cela porte à de l'illégalité pure quant aux personnes visées, par une atteinte à leur vie privée.

Ces « chères loques hommes » ont relevé quelques numéros, trois ou quatre, avec lesquels j'avais eu une correspondance téléphonique.

Ils ont alors émis des réquisitions auprès de leurs opérateurs respectifs !

C'est de la pure illégalité, de l'abus de pouvoir.

Mais, j'ai pire dans le pathétisme, la consternation.

L'un d'eux correspondait à celui d'un particulier qui vendait des phares de « Renault 5 », et qui avait, pour cela, passé une annonce sur « LeBonCoin » !

Un autre, était celui d'une personne à qui j'avais vendu une moto...

Quant aux deux ou trois autres numéros, je ne sais même pas à qui ils étaient attribués.

Sans doute d'autres anonymes, vendeurs ou acheteurs du site bien connu...

Vous parlez de fins limiers !




Mais ce n'est pas tout.

Il y a aussi le fait affligeant d'avoir émis des réquisitions simultanées sur mon numéro de téléphone, à deux opérateurs, « FREE » et « ORANGE » !

Les vrais « Pieds-Nickelés », eux, sont au moins, quelque peu, malins, ce qui en fait transpirer quelques notions d'intelligence...




Vous comprenez maintenant, comme moi, que les enquêtes criminelles de la Gendarmerderie Française sont une hérésie, qu'elles sont vouées à l'échec, et que, lorsqu'elles aboutissent à quelque chose de concret, d'authentique, liées à la vérité, ce n'est que par pur hasard, ou parce que le cas était évident de facilité, ou par aide providentielle, comme celle d'un témoin, et non, en aucune manière, par un véritable travail intellectuel et procédural.

Il est aussi compréhensible que de véritables personnes intègres et intelligentes présentes au sein de cette affligeante armée à l'encontre des civils, contrôlée par pléthore de « fantaisistes » moraux, soient malmenées, déconsidérées, méprisées, et appelées à démissionner, et même à se suicider...

J'en veux pour exemple, le véritable gendarme enquêteur, Christian JAMBERT, qui mérite tous les véritables honneurs, et qui avait été « écarté » de l'affaire des disparus de l'Yonne...

Ou celui, étrangement « suicidé » dans les jardins de Matignon, sous la dictature MACRON-PHILIPPE, passé sous silence...

Ou celui de Marc GRANIÉ, pourtant gendarme émérite et célèbre, qui a été interné plusieurs mois parce qu'il révélait des choses politiques dérangeantes...




Quoi qu'il en soit, il y a tant à mettre en exergue, qu'il est préférable de se reporter au précédent ouvrage de la trilogie, « 2018, France, Var, …. ».

Chapitre 3: Le Droit à un procès INÉQUITABLE, en 2019, en FRANCE, pays autoproclamé des « Droits de l'Homme », avec la grâce de mafieux magistrats et gendarmes français-macons, inventant des phrases pour façonner de fausses accusations et de faux motifs d'inculpation.

« Tout ça pour ça ! ».

La phrase du gendarme ayant mené l'audition de la seconde équipe, avait sonné tel un glas pour leur affaire criminelle, tout autant qu'un clairon sur leur ridicule prétendu professionnalisme.




D'une enquête de six mois sur moi, bien orientée, bien à charge, en ayant bien pris soin d'occulter les éléments qui leur seraient gênants, tout en exagérant, et même tirant des conclusions hâtives et raccourcies, ayant constitué un dossier de vingt centimètres d'épaisseur (oui, 20 !), portant à six supposés, injustifiés et illégitimes motifs de poursuites préalables, qui m'ont toujours été présentés comme des liens internet du site de la fondation « ANOTOW », il ressort une audition d'une page et demi !

Mais il leur fallait, d'une part, justifier de ces six mois d'enquête, qui se serait soldée par une impasse, et d'autre part, me contraindre à me taire, avec un ton de vengeance typiquement français-maconnique. Même s'ils ont tort, ils n'aiment pas être mis à l'index, et leur revanche a plutôt le goût des sales eaux des égouts.

J'ai donc été inculpé de trois chefs d'accusation, si graves que j'ai été transporté, toujours menotté, dans le seul but de m'humilier, au parquet de Toulon, pour m'être signifiés par le procureur, ou plutôt son substitut.

Une situation judiciaire associée à mon sort prochain, en l'attente du jugement « divin » (toulonnais...), se présentait sous deux mauvais auspices, celui d'un nouvel internement, ou celui d'un emprisonnement à titre préventif.

J'ai découvert et compris que cette seconde option était aussi un mépris pour le fameux sali droit fondamental de la présomption d'innocence...

Cette exposition pénale leur permettait aussi une autre faveur, celle de relever mes empreintes, digitales, palmaires et génétique (ADN), et même de prendre des photos de ma personne, ces dernières avec le mobile de l'Aurélie THOULOUZE...

Il paraît que, selon la Loi, tout sera effacé si je ne suis pas condamné.

Il paraît. Mais de leur parole, ou de leur respect de la loi, je n'en crois mot.

Au tribunal, j'ai eu la « chance » de tomber sur une substitut, pas trop injuste.

J'ai donc été placé sous contrôle judiciaire !...

Ils ne voulaient pas perdre la face.

Les conditions, aberrantes et outrancières, injustes et injustifiées, étaient celles-ci :

3000 euros de caution ;

Mise sous séquestre de tous mes biens (- très pratique pour informer officiellement les mafieux que je dénonçais, et qui sont de connivence avec la gendarmerie du Var et les magistrats locaux...-) ;

Obligation de répondre à toute demande ;

Mise sous soins psychiatriques !




Bref, la prison sans la prison, mais avec beaucoup de contraintes au delà des proportions des motifs d'inculpation.

La date du procès serait prévue pour le 26 avril 2019.

Mais, avant d'être libéré, j'avais à passer, encore, devant le « Juge des Libertés et de la Détention » (JLD) pour statuer de ces conditions.

J'ai attendu dans la sale geôle du tribunal, et j'ai été, à nouveau, après l'audience de la veille pour la suite à donner sur l'internement, devant la juge.

« Mon Avocat » faisant enfin son office, il a été entendu que la mise sous séquestre de tous mes biens était autant loufoque qu'extrêmement exagérée au regard des préjudices que j'aurais causés, et auxquels les présumées « victimes » pourraient prétendre.

Douée d'un certain sens de l'équité, de la mesure et de l'intégrité, cette juge a finalement décidé que j'avais à :

Verser avant le 10 janvier 2019, entre les mains du régisseur de recettes du tribunal, en espèces ou par chèque certifié et en un versement(s) la somme de cinq mille euros,

Ce cautionnement garantissant :

a. à concurrence de 600 euros la représentation à tous les actes de la procédure ainsi que l'exécution des autres obligations prévues dans la présente ordonnance ;

b. le paiement, dans l'ordre suivant, à concurrence de : 4400 euros de la réparation des dommages causés par l'infraction ;

répondre aux convocations de toute autorité, de toute association ou de toute personne qualifiée ;

ne pas se rendre dans les lieux ci-après déterminés : à la BT DU BEAUSSET (BT = gendarmerie).







Je suis au moins tombé sur une magistrate, femme qui plus est, assez douée de probité pour générer une décision, certes obligée par ses fonctions et sa hiérarchie, à une quelconque « bonne » apparente mesure.

Si ces textes qu'elle me reprochait n'avaient pas été déformés, ce qui m'étonne un peu, il ressortait qu'ils étaient mal interprétés, et surtout sortis de leurs contextes.

Déjà, elle ne comprenait pas que toute situation extrême, nécessite et justifie toute provocation, pour « secouer le cocotier ».

Cela fonctionne, la preuve !

Mais malheureusement, ceux qui reprennent ces propos outranciers sont peu intelligents, quand ils ne sont pas moralement malhonnêtes, et les prennent au premier degré par arrangement...

Ou alors, ne sont-ils que simplement des béotiens absolus, qui ne savent, ni ne peuvent, ni ne veulent comprendre qu'il puisse exister dans le monde un autre degré de lecture que le premier.

Une sorte de Monde à une dimension, intellectuelle.

Et ces gens-là, sans culture, sans intelligence, sans honnêteté, sans connaissance de la sémantique, ont des postes à responsabilités, qui plus est, de nature purement intellectuelle, où le langage, écrit et parlé, est la base de leur travail et de leur fonction !




Elle m'en voulait en réalité, sur le fait que j'avais mis en cause, via ANOTOW, l'intégrité des magistrats français, dans sa généralité, et aucunement au titre des prétendus textes retenus pour la procédure en question.

Elle avait lu des commentaires sur le site de ma fondation ONG.




Je ne lui en veux cependant pas.

Je pense même que c'est la seule personne honnête dans cette espèce de tribunal fallacieusement français.

Mais, si j'avais pu (lui) répondre, je lui aurais dit que si quelqu'un m'insulte, mais qu'il a raison, et que j'ai tort, que c'est vrai, même exagéré, je fermerais ma gueule.

Je lui aurais aussi dit qu'il faut bien appeler un chat, « un chat ».

Je lui aurais précisé que si je ne voulais pas être traité de la sorte, je n'avais qu'à ne pas agir de la sorte !

Je lui aurais aussi expliqué que c'est bien quand et parce que personne ne fait rien contre les ignominies, et surtout ceux qui sont payés pour entreprendre des mesures contre elles, les acteurs du système judiciaire, magistrats en premier lieu, qu'on est bien obligé d'être outrancier, provocateur, et ce, pour tenter de faire naître un sursaut de moralité, un électrochoc moral chez ceux-là, au point qu'ils renient enfin leur méprisable corporatisme de facilité mentale et morale.

Je lui aurais aussi dit qu'il n'y a rien de plus légitime de, au moins, dénoncer les travers, notamment de ceux qui sont censés les corriger et les sanctionner, et qui sont payés pour, alors que je fais cela gratuitement, de mes deniers même, de mon temps personnel, et même au péril de ma vie !

Et j'aurais fini par lui dire que si ces propos concernaient ce que je pensais ce pour quoi ils avaient été publiés, c'est une réponse au fait abject d'un juge qui avait relaxé un individu de 27 ans qui avait violé une fille de 11 ans, au titre que le prévenu avait déclaré qu'elle avait été consentante ! Si ce n'est pas de la complaisance...

Et ce, en sus, de faire fi déjà, du délit de « détournement de mineur » en vue de commettre un autre crime, plus grave.

La jeune fille est perturbée à vie, et doublement.

Déjà par l'atrocité qu'elle a subie, mais aussi et surtout par la découverte de la corruption, de l'injustice viciée de la magistrature française.

Sans compter le temps qu'elle a perdu à attendre que cette dernière daigne lui offrir de son temps pour un procès.

Car, ce n'est pas le fait d'une seule personne, ledit sale magistrat, mais plutôt surtout celui de ses pairs, de toute la magistrature française qui n'a mot dit (sic), qui ne s'est pas offusquée de cette impunité, voire d'une telle absolution d'un crime devenu alors inexistant, de pédophilie et de viol.

Une absence de réaction comme si cette méthode était usuelle chez certains magistrats. Comme si. Il n'y a pas de « Si »... Elle est bien connue, et partagée.

Donc, puisque ce juge qui a blanchi un « enculé » est par transitivité un « enculé » (au sens figuré), et je défie quiconque de me prouver le contraire, tous ceux qui ne l'ont pas mis à l'index, ni même sa décision, sont du même acabit.




Et quant à sa défense du pauvre gendarme, elle me sermonnait que les mots, en général, pouvaient être importants de gravité, par leurs suites sur le « ciblé ». Et qu'il fallait bien penser aux conséquences avant d'en prononcer ou d'en écrire.

Elle avait certes raison, mais elle flânait toujours au premier degré du langage, faisant fi même du pourquoi et du comment du propos, de la possible motivation délibérée, et de l'authenticité des faits que je pointais.

Elle défendait le « petit poulet », sans avoir d'éléments en mains pour déterminer sans l'ombre d'un doute leur fausseté, commettant un à priori facile, con-corporatiste.

A moins qu'elle ne connaissait pertinemment son innocence parce qu'elle savait que le véritable auteur de la « machination », le commanditaire, était en réalité un de ses supérieurs.

Ce qui est sans presque aucun doute, la plus probable possibilité, rappelant la systématique couardise des « français-macons » pour faire faire les sales besognes par des sous-fifres, non affranchis...

Et en protégeant le soldat envoyé au feu, cela permet à toute la tribu de continuer à occulter l'identité de(s) véritable(s) coupable(s), puisqu'il pourrait parler en cas de véritable interrogatoire par de véritables enquêteurs, c'est-à-dire, non gendarmes, non « français-macons », non corrompus...




Pour achever mon exposé à ce sujet, je lui aurais simplement demandé, à cette magistrate, si une enquête en bonne et due forme, c'est-à-dire non entreprise par la gendarmerderie elle-même (!), et un jugement en bonne et due forme aussi, c'est-à-dire par des magistrats non « français-macons », avaient établi l'innocence du gendarme dénoncé ?

Ou découvert le(s) « cerveau(x) » qui se cache(nt) derrière cette crapuleuse entreprise ?




Car, quoi qu'elle en dise sur la non culpabilité du gendarme dénoncé, cette cabale est bien réelle, et donc, une ou plusieurs personnes l'ont bien ourdie !




Et si, quid de sa culpabilité ? Alors, quid de mes préjudices qui ne peuvent être que supérieurs à ceux dudit quelconque et inutile militaire ???




Et quid de ce que je dénonçais originellement, c'est-à-dire le détournement de 15.000 euros par la bande CAUSSIN-COLOMBO-ROMANO ???

Pour finir, je tiens à expliquer pourquoi je ne citerai pas le nom de cette magistrate.

Non pas par gêne, ou par crainte, mais parce qu'elle est cependant « saine », surtout par rapport à ses con-frères/sœurs présent(e)s au sein de ce magistral (sic) cloaque toulonnais, et que, par mauvaise expérience passée, il est nécessaire de la protéger.

Il y a quelques années, j'ai nommé l'attitude honnête d'une « saine » magistrate, la seule au sein du sale tribunal d'Aix-en-Provence. Elle a été mutée ipso facto !

Je cite autant les salauds que les saines personnes.

Je dénonce les mauvais actes comme les bons.

Mais il faut rester prudent, afin que celles et ceux, assez rares, qui ont une attitude respectable, restent sains et saufs en leur situation professionnelle...




Et de l'importance de citer le nom des crapules, elle est nécessaire pour éviter toute méprise, tout quiproquo, qui proviendrait d'avoir laissé dans le brouillard le quidam n'ayant pas accès à toutes les informations pour identifier, sans l'ombre d'un doute, les véritables auteurs de crimes, et qui, par voie de conséquences, pourrait attribuer indûment et injustement les sales actions à une autre personne, innocente, mais d'apparente similarité par le seul fait qu'elle aurait la même fonction professionnelle, ou le même lieu d'habitat ou de travail, etc., que son auteur, que le coupable.




C'est un devoir de ne laisser aucun doute qui engendrerait une désastreuse méprise.







Être évasif devrait être puni par la Loi, au grand dam de celle abâtardie qui protège les salauds par de faux-semblants moraux de la prétendue « diffamation », fallacieusement et frauduleusement utilisée en abus de droit à répétition qui ne sont jamais sanctionnés, usée d'une manière systématique comme représailles, par les « enculés » (figuré) d'avocats (pléonasme), dans le seul but de détourner l'attention des crimes commis par leurs tout autant « enculés » (figuré) de clients.

Une forme de chantage officialisé qui bafoue la loi principale d'entrave à la manifestation de la Vérité.

Dans ces cas devenus communs au sein de certaines chambres des tribunaux, aucun « français-macon » n'a déposé une « QPC ».

Et pour cause...




Indépendance n'est pas synonyme d'Intégrité.

Bien au contraire.

De l'Indépendance naît la dictature, la perversion, la corruption.




Maintenant, que l'on me prouve que rien n'était prévu, que rien n'était prémédité, que ce n'était pas un coup monté, un traquenard !

Et qu'aucun gendarme n'est lié à la mafia locale, qu'aucun n'est l'auteur, ou l'acteur, ou le commanditaire, ou le complice de cette crapuleuse entreprise à mon encontre !

Et qu'aucun n'est corrompu !

Parce que, moi, en revanche, j'ai bien les preuves du contraire !







Chapitre 4 : QPCs et la Notification de fraudes à la Présidente du TGI de Toulon, Lucette BROUTECHOUX, ou la concrétisation et la démonstration du droit à un procès Inéquitable en France, en 2019, basé sur de fausses allégations inventées par certains gendarmes de la gendarmerderie varoise associés à certains magistrats toulonnais

Pour répondre légalement à cette illégale frauduleuse et crapuleuse mascarade judiciaire et juridique, j'ai émis et fait parvenir des « QPC ».

Deux légitimes « Questions Prioritaires de Constitutionnalité », voire une troisième plus généraliste, adressées au « CONSEIL CONSTITUTIONNEL » et à la Présidente de ce tribunal de pacotille de Toulon, Lucette BROUTECHOUX.




« QPC » qui sont restées lettres mortes, et qui ont même subis de « drôles » de parcours postaux, comme notamment, la notification de fraudes à Lucette BROUTECHOUX, en laquelle il était fait état de tous les nombreux points scabreux de cette situation irrégulière, illégale mais démonstratrice de ce que j'avais avancé et dénoncé, la collusion et la corruption de la gendarmerderie locale avec des mafieux, et notamment avec l'Anne CAUSSIN, bref, sur le mal fondé de ce procès qui devait être radié.




Parcours postaux étrangement cahoteux mais bénéfiques pour certains par leur retard de distribution, puisque j'avais envoyé ces missives par le site internet de la Poste, qui se charge de l'impression et de l'envoi des courriers, même recommandés avec accusé de réception.

L'utilisant fréquemment, ce service fonctionne particulièrement bien, et le courrier est normalement remis à son destinataire dans les quelques jours suivants, souvent dans les 2 ou 3, voire même, rarement, le lendemain.

Étrangement, pour ces notifications, les courriers se sont égarés.

Et par deux fois !

J'ai dépensé deux envois qui sont restés apparemment en vain.

Du moins leurs accusés de réception papier.

Je ne sais toujours pas ce qu'ils sont devenus, au grand bénéfice de leurs destinataires, et de la Poste qui a encaissé par deux fois, un double service non rendu.




Petit aparté sur la collusion de La Poste.

Ce service d'état n'échappe pas à l'infiltration par la gangrène maconnique.

En général, ce service en ligne d'envoi postal fonctionne bien, il est particulièrement efficace et bien effectué, même s'il présente quelques petites lacunes.

Mais, ce « phénomène » dérangeant de retard ou de perte m'est souvent arrivé, et en l'occurrence toujours pour des missives au contenu « sensible »...

Et jamais pour d'autres de moindre importance.

Il est évident que certaines personnes au sein de « La Poste », qui peuvent prendre connaissance du contenu de l'envoi puisque le service s'occupe de son impression et de sa mise sous pli, servent les intérêts de leurs « frères et sœurs », en « surveillant », et même en sabotant au besoin, au grand dam du sérieux de l'entreprise.

Cela concerne le cheminement « allongé » et la distribution « retardée », ce, au niveau temporel.

Quand le courrier n'est pas « égaré »...

Mais, il arrive aussi le phénomène récurrent de n'en jamais recevoir l'accusé de réception, même si le statut sur internet déclare que la distribution a bien été effectuée.

Il est à noter une petite magouille « involontaire », mais bien pratique, et contractuellement frauduleuse, de la part de la Poste, qui est toute au bénéfice des grandes entreprises qui ont des choses à se (faire) reprocher, et des administrations.

Ces dernières, recevant énormément de courriers, ce qui prendrait beaucoup de temps au facteur pour faire leur travail de faire signer les accusés de réception ipso facto, ont le privilège, encore est-il légal (?), de faire un tri à posteriori, c'est-à-dire que les plis postaux sont déposés pêle-mêle dans leur « boîte aux lettres », recommandés inclus.

A charge du destinataire de signer et de tamponner les accusés selon leur charge de travail, puis de les restituer au facteur, les jours suivants !

Et ce, après avoir pris connaissance de leur contenu...

Bien entendu, quand le courrier est « gênant », l'accusé de réception disparaît...

Un service payant de la Poste...

Un délit en fait.

J'ai observé, par ailleurs, les mêmes résultats de conséquences de « surveillance » et de « sabotage » collusifs à mon encontre dans les services de la « Banque Postale », se permettant des largesses juridiques frauduleuses...




Pour en revenir à notre affaire, je tiens à préciser que « mon Super avocat », « JéSus de Mattéi », qui s'était plutôt révélé par la suite comme « Judas de Franc-Mafia », avait refusé par la suite de me représenter, et ce, parce que je voulais faire de ce procès, un public, médiatique, pour exposer toutes les magouilles varoises.

J'ai découvert plus tard que son « patron » était un proche du salaud prétendu avocat Gilbert COLLARD, contre qui j'avais déposé une multiple plainte pénale des années auparavant, et qui l'avait protégé en étouffant ma plainte quand il était alors bâtonnier...




Voici donc ces trois légitimes « Questions Prioritaires de Constitutionnalité », et cette notification à la Présidente, envoyées le 19 avril 2019.




CONSEIL CONSTITUTIONNEL

2, rue de Montpensier, 75001 Paris

Mél : info@conseil-constitutionnel.fr




DEPÔTS de DEUX FONDAMENTALES

« QUESTIONS PRIORITAIRES DE CONSTITUTIONNALITÉ » (QPC),

ASSORTIES de NOTIFICATION d'AUTRES QPC portant sur

la CORRUPTION de la MAGISTRATURE et de PLUSIEURS AUTORITÉS, OFFICIELLEMENT TOULONNAISES,

MENANT aux DÉLITS d'ESCROQUERIES, de FRAUDES, d'EXTORSIONS, de FAUX et d'USAGES de FAUX, de SÉQUESTRATION, d'INTIMIDATIONS, de MENACES, de CHANTAGES etc.,

AVEC LE DOUBLE FACTEUR AGGRAVANT d'ASSOCIATION DE MALFAITEURS et de BANDE ORGANISÉE

OBJET des DEUX FONDAMENTALES « QUESTIONS PRIORITAIRES DE CONSTITUTIONNALITÉ » :

1° QPC : INCONSTITUIONNALITÉ de la procédure de dépôt d'une « QPC » au regard de son étude à échelon hiérarchique restreint portant à conflit d'intérêts et à corruption.

2° QPC : INCONSTITUIONNALITÉ de la procédure de dépôt d'une « QPC » au regard de son absence, de son impossibilité et de son interdiction absolue de recours, portant à corruption, et portant à une violation des droits fondamentaux des « DROITS de l'HOMME » de pouvoir faire appel à la plus haute autorité concernée, en sus de celui à un procès équitable.

AFFAIRE : PROCÈS POLITIQUE DÉTOURNÉ FALLACIEUSEMENT MENÉ DANS LA JURIDICTION DE TOULON, VAR, AU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE TOULON.

AFFAIRE DONT L'AUDIENCE EST AU 26 AVRIL 2019 /

Tribunal Correctionnel de Toulon/ Chambre Correctionnelle Collégiale

N° PARQUET : 18332000248

Poursuites avalisées, rédigées et entérinées sur de faux et fallacieux motifs par la vice-procureur Carine CAUCHY

Président du Tribunal de Grande Instance de Toulon (Var): Lucette BROUTECHOUX

ANNEXE JOINTE : Extrait en version écrite du livre témoignage :« Français, je n'ai Absolument AUCUNE Confiance en la Justice de Mon Pays / 2018, FRANCE, VAR : Internement Abusif, à Buts Politique, Religieux et Dogmatique/ Le Département du VAR, La Ville de TOULON, nid « Maconnique »/Témoignage: Le traquenard pour faire taire, en France, en 2018, en toute impunité, sans jugement, toute dénonciation de corruption, toute vérité contraire aux bonnes pensées de MACRON et de sa clique, de la FRANÇAISE-MACONNERIE, de ses MAFIAS, de la GENDARMERDERIE et de la MAGISTRATURE / Les Agréments délicieux de Toulon, du Département du VAR, grâce à la « Française-Maconnerie » Provençale, ses corrompus maires, préfets, procureurs, juges, magistrats, et sa gendarmerderie. Tous efficaces pour un seule noble cause,La Leur ! »

Mesdames, Messieurs,

ces deux Questions Prioritaires de Constitutionnalité vous concernent directement, et même si elles doivent être associées à une affaire en cours pour être recevables, ce qui est cependant le cas, cette dernière ne peut en être le destinataire premier par sa juridiction, puisqu'elles consistent en le défaut de constitutionnalité évident de la procédure elle-même.

Aussi, elles vous sont destinées principalement et exclusivement.

Je conçois que ces deux « QPC » puissent constituer une première, perturbant vos habitudes et vos méthodes procédurales, cependant elles nécessitent vos compétences du plus haut rang par leur particularité atypique intrinsèque.

Ainsi, leur étude « clinique » échoie aux véritables concernés, et donc à votre « Conseil » qui se trouve à l'échelon national. Ceci étant aussi nécessaire pour garantir une probité morale que vous êtes supposés défendre ardemment et par dessus tout, puisqu'il s'agit, en parallèle, d'affaires de corruptions de plusieurs sortes et à plusieurs niveaux, par les personnes et les institutions qui servent de support procédural initial. Ceci étant aussi, puisque ces deux « QPC » ne peuvent pas être circonscrites uniquement à « ma » seule affaire, ni à quelques unes, mais, bel et bien à toutes les « QPC », passées, présentes et futures. Espérant que cette dernière précision ne va pas vous effrayer et susciter en vous une coagulation de votre émoi moral par la tâche délicate et fastidieuse d'entreprendre une introspection législative, afin d'avoir enfin dans la Loi Française, un texte en adéquation avec le bon sens, la morale, les obligations extraterritoriales auxquelles la nation se doit de respecter, et la Constitution elle-même !

De surcroît, les deux questions sont si légitimes qu'elles leur en procurent une qualification de rhétorique quant à leurs tacites analyses, et tant, qu'elles doivent être considérées comme péremptoires, dans la mesure où elles n'ont même pas à être discutées, mais doivent directement faire l'objet d'une motivation primordiale en vos (pré)occupations, d'une modification des textes concernés quasiment ipso-facto.

Ne l'appelle-t-on pas « Prioritaire » ? Ne serait-ce alors que « poudre aux yeux » ?




Pour vous simplifier la pénible tâche de l'étude de cette affaire servant de support légal et légitime au niveau procédural à votre endroit, qui est somme toute, une affaire politique dissimulée, où les personnes actuelles de l'état français sont impliquées au plus haut et grave point, pour en être les commanditaires et les réels bénéficiaires de cette action coercitive et punitive pour me faire taire, je vous présente seulement 2 points névralgiques de problèmes de Constitutionnalité, parmi plusieurs que cette affaire révèle. Ceux-ci ont la particularité d'être fondamentaux, et vous aurez donc à les « résoudre » au plus vite.

Quant aux autres, 3 sont déposées auprès de Lucette BROUTECHOUX, présidente de ce tribunal « non français ». Sa commune réponse à toutes ces « QPC » sera certainement négative, et par conséquent, elle appuiera tout autant qu'elle fera démonstration de la nécessité du présent dépôt de ces 2 fondamentales « QPC ». Sans compter que j'aurais une preuve indiscutable de la corruption de ce tribunal jusqu'à son niveau le plus élevé.

Vous décèlerez aisément, par vous-mêmes, ces suppléments de défaillance constitutionnelle, non présentés officiellement auprès de votre juridiction, en parcourant mon récit, ci-joint, un extrait établi depuis le livre que j'ai publié relatant mes mésaventures.

Cependant, pour des raisons digestes de lecture à votre endroit, et pour m'épargner du temps précieux pour délivrer ces dénonciations et plaintes à d'autres administrations françaises, mais aussi et surtout internationales, au niveau européen et même au-delà (...), j'ai réduit mon « témoignage » à sa plus simple expression des « griefs ».

J'attire votre attention qu'il s'agit bien d'une grave affaire d'État à plusieurs étages, depuis la violation et la suppression de mes Droits relatifs aux « Droits de l'Homme », comme déjà le droit « offert » par la France à mon endroit, à un procès INÉQUITABLE (sic), au mépris des législations des juridictions supérieures, européennes, et même internationales, puisque la Communauté Européenne, et même l'ONU, sont désormais de la partie.




FAITS et ÉTATS DES LIEUX

Pour éviter tout malentendu, toute confusion, il serait moralement inacceptable de ne pas avoir une vision exhaustive de cette affaire « juridico-politico-magistra-mafieuse », complexe, et « multicanale », et de la restreindre à la lointaine localité toulonnaise, servant d'alibi juridictionnel.

Aussi, les faits et états des lieux ne peuvent se résumer en quelques lignes, et même en quelques pages, et ce paragraphe se doit d'être relié à un document annexe de plus d'une centaine de pages, que vous trouverez ci-joint, (en extrait en version papier envoyée par voie postale).

Plusieurs points de problèmes de Constitutionnalité apparaissent indiscutablement, au regard de cette affaire spécialement, par la violation systématique de mes Droits, français, s'entend, par les autorités locales, depuis les procureurs, aux gendarmes, en passant par les préfets et même un maire, un avocat, des médecins. Je mets au pluriel certaines de ces fonctions officiellement à une tête, car elles sont diligentées par des subalternes qui usent et abusent des mêmes droits ! Déjà un problème de Constitutionnalité...

Ainsi donc, ce dernier constat oriente les autres problèmes de Constitutionnalité au titre général.




Il me serait difficile de réduire ce dossier en supprimant certains points annexes qui ne vous concernent pas particulièrement, car il est cependant nécessaire que vous ne soyez pas ignorants des faisceaux parallèles pour comprendre les tenants et les aboutissants, les « pourquoi » et les « comment », et en saisir les raisons réelles, imbriquées, les unes aux autres.

Il est d'autant plus utile de ne rien vous celer, de ne rien vous épargner, que cette affaire est rendue publique et fait (et fera) l'objet de nombreuses poursuites, de plusieurs plaintes pénales et civiles par mes soins, en tant que victime, à d'autres niveaux bien plus élevés que le vôtre, déjà sur le territoire français, à ceux européens et internationaux.

D'autant plus que des poursuites seront aussi entreprises au titre financier de ma part, mais aussi de la part des sociétés et des personnes qui ont subis et subissent toujours, indirectement, des préjudices causés par mes mésaventures, puisque j'ai dû arrêter certaines de mes recherches scientifiques et technologiques depuis lors. Des projets de très grave importance et de très grandes envergures, sans compter toutes mes pertes personnelles, déjà matérielles, mais aussi morales, puisque je suis contraint à un exil de mon pays, afin de me garantir une sorte de sécurité, au regard des sérieux risques sur ma vie de la part des personnes que je dénonce, les organisations criminelles locales, mais aussi de la part des autorités locales, ces dernières complices des premières, qui ont fait montre de leurs exactions sur ma personne, certaines d'être impunies, puisque l'une est protégée par l'autre, et réciproquement, selon les moyens employés, légaux et officiels, ou non...

J'ai certes encore bien plus d'informations puisque cela m'avait valu une violente agression à mon domicile, à Saint Cyr sur Mer, en mars 2013, définie par un saucissonnage, un tabassage, vols pécuniaire et matériel, une rançon de 50.000 euros, des menaces de mort, plusieurs tentatives d'extorsion, tous ces délits « couverts » par les autorités locales, gendarmerie en premier...

En ce qui concerne la présente affaire, pour des raisons techniques et logistiques, je ne peux vous transmettre qu'un total de 60 pages, le présent document inclus. Celui en annexe en comportant originellement près de 150. Aussi, vous ne trouverez ci-joint de l'envoi postal en version papier, en recommandé avec accusé de réception, qu'un extrait dudit document, réduit à sa plus simple expression de mise en page, et d'une taille de police certes petite. Cependant, vous trouverez l'entièreté du document, qui reste toutefois non exhaustif, au sein de l'envoi en parallèle par courriel.

Je me trouve dans l'obligation d'utiliser les services de la Poste en ligne pour envoyer ces notifications et dépôts de plainte, déjà parce qu'ils attestent de leur contenu, mais aussi et surtout, parce que je me suis exilé, vu que la « France », pompeusement auto-proclamée « Pays des Droits de l'Homme » (sans doute pour mieux les violer), est dangereuse pour les personnes qui dénoncent la « Vérité », les crimes, pour ma vie. Et je ne parle pas uniquement des risques encourus de la part des mafieux mafieux (sic) que je combats et dénonce, mais bel et bien de certaines autorités étatiques, prétendues républicaines, qui sont animées par des pratiques mafieuses de par leur moralité et leur moyens d'action... Et ce service de la Poste restreint les envois à 60 pages. Quoi qu'il en soit, nous sommes au moins dans un procès politique.

Je ne vais même pas me rendre fastidieuse la présente procédure, puisque les auteurs et les accusés qui sont motifs des présentes « QPC » déposées auprès de votre juridiction, sont des magistrats du tribunal de Toulon, qui ne respectent ni les règles de procédures, ni la Loi, française s'entend, et de 2018/2019 itou.

Aussi, voici quelques autres points noirs :

Non respect du lieu de juridiction du défendeur menant à circonscrire les poursuites dans un lieu vérolé par la corruption et dont tous les protagonistes officiels sont du cru et y exercent pouvoir;

Non respect de transmission du dossier, et rétention de document et d'information menant à une impossibilité de défense;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, menée par des gendarmes pour des gendarmes, au sein de la gendarmerie, dont le principal plaignant est un gendarme mis en cause, menant à parti-pris, à charge, au surplus d'une manifeste entrave à la manifestation de la vérité en occultant et même détournant l'attention de la corruption dudit gendarme et de la gendarmerderie;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en ne me donnant aucun moyen de défense, d'explication et de justification puisque je n'ai eu aucune possibilité physique et matérielle de prendre connaissance des documents reprochés, objets des poursuites, et aucune possibilité physique et matérielle d'en présenter les contre-preuves, en me séquestrant;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en joignant deux affaires distinctes, pour des motifs distincts, au titre de documents mis en cause distincts, et donc non corrélées officiellement, celle DALL'OPIO et COLLOMB/PHILIPPE et celle CAUSSIN. Or, la double première concerne la dénonciation de la corruption de la gendarmerderie locale avec CAUSSIN, et la seconde concerne CAUSSIN. L'association de ces deux affaires distinctes au sein de l'enquête, de l'instruction et même des poursuites et du procès, démontrent et avèrent ce que je dénonce, et pourtant ce que l'on me reproche comme être faux ou diffamatoire, à savoir la corruption des premiers avec les seconds;

Sans compter les menaces, les intimidations, les exactions physiques et morales en vu d'extorsion de faux aveu, d'informations confidentielles, de secret d'affaires et de sociétés, et surtout de non appel à l'exercice de mes droits;

Sans compter le faux et l'usage de faux rédigé et utilisé par les procureurs locaux;

Sans compter l'absence de précision et de circonscription des prétendus délits, s'ils sont sous mode numérique, ou papier, par voie postale, ou internet, ou par publication, etc.




DÉMONSTRATION de la RECEVABILITÉ de la « Question Prioritaire de Constitutionnalité » (QPC) au titre de :

l'INCONSTITUIONNALITÉ de la procédure de dépôt d'une « QPC » au regard de son étude à échelon hiérarchique restreint portant à conflit d'intérêts et à corruption.

Une « QPC » doit démontrer que sont réunies trois conditions :




1 - L'applicabilité de la loi au litige :

La présente « QPC » porte sur sa propre modalité procédurale qui porte à une contrainte hiérarchique, l'étude, la décision et la suite à donner, ou l'absence de suite donnée. Ses propres règles procédurales obligent pour l'obtention de ce droit de pouvoir entreprendre une « QPC » relevée, de se trouver uniquement au cours d'une action juridique et/ou judiciaire. C'est le cas. Cependant, ces mêmes règles procédurales contraignent aussi à déposer une « QPC » uniquement à l'autorité en charge de l'affaire, et donc, auprès de celle mise en doute, de celle mise en défaut.

Ceci caractérise sans aucun doute et indiscutablement un conflit d'intérêt évident. C'est déjà un point d'inconstitutionnalité.

Ce point porte à la mise en lumière d'une évidente niche de corruption morale qui ferait « négliger » l'instruction de la « QPC » des personnes visées, concernées par elles-mêmes, ou par leurs « proches ».

Sans compter le facteur supplémentaire de se juger soi-même d'un délit, un fait qui est anticonstitutionnel, aggravé par le fait qu'il est entrepris par des magistrats qui sont censés montrer l'exemple de vertu et de probité.

L'applicabilité est entière vu que l'affaire qui sert de support légitime à cette « QPC » fait preuve indiscutable, non pas d'une corruption, non pas d'une simple corruption, non pas d'une corruption localisée, mais bel et bien d'une foultitude de corruptions à tous les niveaux, dans tous les rouages du système judiciaire, constituant sans conteste un réseau de trafic d'influences, un réseau généralisé et omnipotent de corruption. Et il n'y a aucun moyen d'y échapper.




2 - L'absence de déclaration préalable de conformité :

La disposition législative en cause est une atteinte aux droits fondamentaux de toute personne et en quelques circonstances tant elle défie entendement, logique, morale et équité. Elle défie même les lois supranationales des « Droits de l'Homme », de la Communauté Européenne, et même de l'ONU, reconnues et appliquées par de nombreux pays.

La FRANCE, l'état français, et tous ceux qui l'ont représentée ont reconnu ces Droits.

Toute institution française se doit de respecter ces droits, ces lois.

Ainsi, tout Homme a le droit à un procès équitable, et pour cela, toutes les circonstances doivent être mesurées d'une intensité remarquable d'absolue probité et d'équité, et sans faille aucune, déjà à sa base, depuis l'instruction, jusqu'au procès, ce dernier devant être légitimé de la même qualité de non doute.

Et cette disposition juridique indérogeable doit être d'autant plus indéfectible lorsqu'il s'agit de poursuites pénales, sanctionnées et même punies au niveau physique, corporel et mental, privant de liberté tout autant qu'entachant l'honneur et la réputation de la personne.

Aussi, tant que l'outil législatif certificateur de certitude absolue quant à son parfait respect n'a pas été déclaré comme conforme lui-même, aux lois supranationales auxquelles la France et ses institutions ne peuvent en aucun cas, en aucune manière, s'y déroger, il ressort un vice législatif intrinsèque portant à une aberration juridique et morale.

L'absence de déclaration préalable de conformité en l'espèce est avérée, car, si une précédente étude et analyse avait été menée, c'est-à-dire, d'une manière judicieuse, probe et respectueuse de tous les droits auxquels la France et ses institutions se doivent de respecter, alors, cette procédure aurait été modifiée pour présenter et offrir une honorabilité sans faille. Force est de constater que l'aberration intellectuelle, morale, juridique et contractuelle est toujours présente et en vigueur.

Il se présente ainsi une absolue absence de déclaration, d'aucune autorité, tant au niveau national que local, quant à la conformité constitutionnelle de cette procédure elle-même, aux lois nationales et supranationales, telles celles européennes, telles celles internationales, et telles celles universelles.

Si une déclaration de conformité en l'état actuel des choses était déjà présente, ou se présentait, elle ne serait que la conséquence que d'une corruption morale, du moins, d'une déficience intellectuelle menant à une incapacité de compréhension et de préhension de la langue française dans son exhaustivité.




3 - Le caractère sérieux ou nouveau de la question :

La question a autant un caractère sérieux que nouveau.

Le qualité de « Sérieux » porte sur l'absence et l'impossibilité absolue de voie alternative juridique pour éviter toute possibilité de partialité, de corruption, aggravée par l'absence totale de voie de recours, caractérisant une violation manifeste des droits fondamentaux des « DROITS de l'HOMME » que la FRANCE, l'état français, et tous ceux qui l'ont représentée ont reconnu, et en l'espèce, celui de pouvoir faire appel à la plus haute autorité concernée, en vu d'avoir accès à un procès équitable, à défaut d'une légitimité intègre de subir un procès sans fondement juridique.

Sans compter la porte ouverte à des probables évidentes opportunités de corruption morale et éthique, déjà à portée personnelle.

Quant à la qualité de « Nouveau », elle n'a jamais été abordée, sinon elle aurait déjà évidemment porté ses fruits en la refonte de la procédure dénoncée, tant elle est pathétiquement irrespectueuse, inconvenante, et ridiculement médiocre, et même vicieuse. Et ce, tant à l'encontre au niveau moral de valeur universelle, que républicaine, française, démocratique, européenne, et des « Droits de l'Homme ».

DÉMONSTRATION DE NON CONSTITUTIONNALITÉ

Elle porte sur la procédure elle-même démontrant une défaillance de conformité et de légalité au regard de la notion de constitutionnalité, d'une « Constitution » qui procure droits mais aussi obligations, décrétés d'une part, d'une manière interne, intrinsèque à et par la nation, mais aussi, d'autre part, d'une manière externe par des textes législatifs internationaux, voire supranationaux, approuvés par La FRANCE, l'état français et tous ceux qui l'ont représentée.

Textes permissifs et coercitifs. Parmi eux, sont ceux, en matière juridique et judiciaire, du « Droit à la Défense », et du « Droit à un Procès Équitable ».

La nature procédurale mise en cause de la procédure elle-même de certification de conformité constitutionnelle défie la « Constitution », et même les lois universelles des « Droits de l'Homme », reconnues par de nombreux pays civilisés, celles de la Communauté Européenne, et celles de l'ONU. Et même au-delà, puisque cette ignominie législative défie entendement, logique, morale et équité.

Il ressort de surcroît l'existence de certaines lois européennes qui ont un pouvoir supranational absolu, et leurs applications sont à exécuter sans délai, ni objection, ni obstruction, par les pays membres, et même la France, et même ses institutions. Des textes qui doivent être suivis, respectés « à la lettre », et qui prennent le pas sur les articles élémentaires de la Loi française.

En appliquant une telle pratique procédurale, d'une aberration juridique et morale digne d'un cercle vicieux parfait, contraire à la nature inaliénable de l'Homme et à ses droits fondamentaux, et ce, dans le seul but spécieux d'ôter tout droit à toute personne d'obtenir une garantie du respect de ces lois suprêmes, mais aussi de ces lois par le système juridique et judiciaire lui-même comme non impropre constitutionnellement, et ce, par ses propres moyens personnels en son nom, et ce, directement auprès de l'autorité en charge de leur révision, à savoir le Conseil Constitutionnel, les protagonistes, subalternes locaux, sous serment, représentants officiels de la France, état et nation, membre de la communauté Européenne, auto-proclamé pays des « Droits de l'Homme », et membre prioritaire à l'ONU, ne lui font pas respecter ses engagements moraux et ses obligations contractuelles et juridiques. Pire, d'une manière occulte, dissimulée, et même frauduleuse et crapuleuse, par ce droit de veto dictatorial, ils peuvent bafouer allégrement les lois universelles auxquelles la France et ses institutions se doivent de suivre sans défaillance, ce qui induit, par preuves d'évidences juridiques et morales, inévitablement et indubitablement au constat que la procédure de la loi invoquée ne peut rester ainsi sans avoir été corrigée.

D'autant que de tels dépôts transmis à un niveau suprême par les seules autorités locales mises en cause, comme le permet exclusivement la procédure, seraient un aveu de la part de ceux qui ont décidé de s'en remettre à leur hiérarchie, de fautes commises qui engendreraient des sanctions à leur encontre.

Le triple point crucial causant une indubitable atteinte constitutionnelle sur ce facteur, est asséné, premièrement; par l'unique moyen de déposer une « QPC », à savoir obligatoirement par une seule et unique étape, deuxièmement, par l'absence absolue de possibilité de recours de la part du plaignant/dénonciateur si la décision, par le « mis en cause », étape obligatoire procédurale, est un classement sans suite, de non approbation du défaut de Constitutionnalité, et troisièmement, par le fait qu'une juridiction basique locale ne peut se targuer de valoir en compétences, territoriales (nationales), intellectuelles, morales et de responsabilités, mais aussi en érudition en la matière, celles d'une institution créée pour traiter de tels « problèmes » qui concernent un niveau national, et qui se doit d'en être la garante, morale et républicaine. Et ce, au nom de la fameuse sacro-sainte revendication républicaine française de la séparation des pouvoirs !

Aucun juge, aucun magistrat, aucun tribunal, prétendument indépendant du domaine législatif, ne peut prétendre étudier et rendre une estimation, pire, un jugement sur un problème d'ordre Constitutionnel, qui plus est lorsqu'il est impliqué.

Seul le Conseil Constitutionnel en a le Droit, français, s'entend.

D'ailleurs, il est à relever l'autre point aberrant paradoxal de cette délégation de pouvoirs à des subalternes, qui consiste au fait que ce dernier est un « Conseil », c'est-à-dire que les études et les appréciations sont menées d'une manière collégiale, alors que la première phase est menée individuellement, pouvant subir les affres d'une corruption, du moins, d'une défaillance intellectuelle, de capacité et/ou d'érudition en la matière supérieure. Si chacun de ces magistrats en avaient les qualités, ils ne seraient pas restés à ce niveau hiérarchique de bas étage.

Quoi qu'il en soit il n'y a aucun moyen de recours, aucun moyen d'appel à des instances plus élevées, plus évoluées, plus érudites en la matière, plus concernées exclusivement.

Et nous arrivons au sublime, ce n'est point aux mis en cause, même s'ils sont juges, de déterminer et de juger une Loi, mais bien aux seuls législateurs, députés et sénateurs, et incidemment, vous, Conseil Constitutionnel !

Ceci constitue un premier point anticonstitutionnel de la procédure d'une « QPC » elle-même, puisque ses contraintes et ses interdictions sont un affront et une entorse au titre du Droit Français, et de ceux « étrangers » comme ceux européens, que la France doit respecter.

DÉMONSTRATION de la RECEVABILITÉ de la « Question Prioritaire de Constitutionnalité » (QPC) au titre de :

l'INCONSTITUIONNALITÉ de la procédure de dépôt d'une « QPC » au regard de son absence et son impossibilité absolue de recours, portant à corruption, et portant à une violation des droits fondamentaux des « DROITS de l'HOMME » de pouvoir faire appel à la plus haute autorité concernée, en sus de celui à un procès équitable.




Une « QPC » doit démontrer que sont réunies trois conditions :




1 - L'applicabilité de la loi au litige :

La présente « QPC » porte sur sa propre modalité procédurale qui décrète une exclusion à requérir à une certification hiérarchique supérieure, l'étude, la décision et la suite à donner, ou l'absence de suite donnée. Ses propres règles procédurales obligent pour l'obtention de ce droit de pouvoir entreprendre une « QPC » relevée, de se trouver uniquement au cours d'une action juridique et/ou judiciaire. C'est le cas. Cependant, ces mêmes règles procédurales contraignent aussi à déposer une « QPC » uniquement à l'autorité en charge de l'affaire, et donc, auprès de celle mise en doute, de celle mise en défaut. Ceci caractérise sans aucun doute et indiscutablement un conflit d'intérêt évident. C'est déjà un point d'inconstitutionnalité.

Ce point porte à la mise en lumière d'une évidente niche de corruption morale qui ferait « négliger » l'instruction de la « QPC » des personnes visées, concernées par elles-mêmes, ou par leurs « proches ».

L'applicabilité est entière vu que l'affaire qui sert de support légitime à cette « QPC » fait preuve indiscutable, non pas d'une corruption, non pas d'une simple corruption, non pas d'une corruption localisée, mais bel et bien d'une foultitude de corruptions à tous les niveaux, dans tous les rouages du système judiciaire, constituant sans conteste un réseau de trafic d'influences, un réseau généralisé et omnipotent de corruption.

Et il n'y a aucun moyen d'y échapper, puisque l'objet de cette « QPC » porte sur l'absence de possibilité d'appel à une décision subalterne, et même sur l'interdiction d'en référer à une instance supérieure, qui en a la charge ultime, suprême et principale. Une impossibilité de recours.




2 - L'absence de déclaration préalable de conformité :

La disposition législative en cause est une atteinte aux droits fondamentaux de toute personne et en quelques circonstances tant elle défie entendement, logique, morale et équité. Elle défie même les lois supranationales des « Droits de l'Homme », de la Communauté Européenne, et même de l'ONU, reconnues et appliquées par de nombreux pays.

La FRANCE, l'état français, et tous ceux qui l'ont représentée ont reconnu ces Droits.

Toute institution française se doit de respecter ces droits, ces lois.

Ainsi, tout Homme a le droit à un procès équitable, et pour cela, toutes les circonstances doivent être mesurées d'une intensité remarquable d'absolue probité et d'équité, et sans faille aucune, déjà à sa base, depuis l'instruction, jusqu'au procès, ce dernier devant être légitimé de la même qualité de non doute. Et cette disposition juridique indérogeable doit être d'autant plus indéfectible lorsqu'il s'agit de poursuites pénales, sanctionnées et même punies au niveau physique, corporel et mental, privant de liberté tout autant qu'entachant l'honneur et la réputation de la personne.

Aussi, tant que l'outil législatif certificateur de certitude absolue quant à son parfait respect n'a pas été déclaré comme conforme lui-même, aux lois supranationales auxquelles la France et ses institutions ne peuvent en aucun cas, en aucune manière, s'y déroger, il ressort un vice législatif intrinsèque portant à une aberration juridique et morale.

L'absence de déclaration préalable de conformité en l'espèce est avérée, car, si une précédente étude et analyse avait été menée, c'est-à-dire, d'une manière judicieuse, probe et respectueuse de tous les droits auxquels la France et ses institutions se doivent de respecter, alors, cette procédure aurait été modifiée pour présenter et offrir une honorabilité sans faille. Force est de constater que l'aberration intellectuelle, morale, juridique et contractuelle est toujours présente et en vigueur.

Si une déclaration de conformité était déjà présente, ou se présentait en l'état actuel des choses, elle ne serait que la conséquence que d'une corruption morale, du moins, d'une déficience intellectuelle menant à une incapacité de compréhension et de préhension de la langue française dans son exhaustivité.




3 - Le caractère sérieux ou nouveau de la question :

La question a autant un caractère sérieux que nouveau.

Le qualité de « Sérieux » porte sur l'absence et l'impossibilité absolue de voie alternative juridique pour éviter toute possibilité de partialité, de corruption, par l'absence totale de voie de recours, caractérisant une violation manifeste des droits fondamentaux des « DROITS de l'HOMME » que la FRANCE, l'état français, et tous ceux qui l'ont représentée ont reconnu, et en l'espèce, celui de pouvoir faire appel à la plus haute autorité concernée, en vu d'avoir accès à un procès équitable, à défaut d'une légitimité intègre de subir un procès sans fondement juridique.

Quant à la qualité de « Nouveau », elle n'a jamais été abordée, sinon elle aurait déjà évidemment porté ses fruits en la refonte de la procédure dénoncée, tant elle est pathétiquement irrespectueuse, inconvenante, et ridiculement médiocre, et même vicieuse. Et ce, tant à l'encontre au niveau moral de valeur universelle, que républicaine, française, démocratique, européenne, et des « Droits de l'Homme ».




DÉMONSTRATION DE NON CONSTITUTIONNALITÉ

Elle porte sur la procédure elle-même démontrant une défaillance de conformité et de légalité au regard de la notion de constitutionnalité, d'une « Constitution » qui procure droits mais aussi obligations, décrétés d'une part, d'une manière interne, intrinsèque à et par la nation, mais aussi, d'autre part, d'une manière externe par des textes législatifs internationaux, voire supranationaux, approuvés par La FRANCE, l'état français et tous ceux qui l'ont représentée.

Textes permissifs et coercitifs. Parmi eux, sont ceux, en matière juridique et judiciaire, du « Droit à la Défense », et du « Droit à un Procès Équitable ».

La nature procédurale mise en cause de la procédure elle-même de certification de conformité constitutionnelle défie la « Constitution », et même les lois universelles des « Droits de l'Homme », reconnues par de nombreux pays civilisés, celles de la Communauté Européenne, et celles de l'ONU. Et même au-delà, puisque cette ignominie législative défie entendement, logique, morale et équité.

Il ressort de surcroît l'existence de certaines lois européennes qui ont un pouvoir supranational absolu, et leurs applications sont à exécuter sans délai, ni objection, ni obstruction, par les pays membres, et même la France, et même ses institutions.

Des textes qui doivent être suivis, respectés « à la lettre », et qui prennent le pas sur les articles élémentaires de la Loi française.

En appliquant une telle pratique procédurale, d'une aberration juridique et morale digne d'un cercle vicieux parfait, contraire à la nature inaliénable de l'Homme et à ses droits fondamentaux, et ce, dans le seul but spécieux d'ôter tout droit à toute personne d'obtenir une garantie du respect de ces lois suprêmes, mais aussi de ces lois par le système juridique et judiciaire lui-même comme non impropre constitutionnellement, et ce, par ses propres moyens personnels en son nom, et ce, directement auprès de l'autorité en charge de leur révision, à savoir le Conseil Constitutionnel, les protagonistes, subalternes locaux, sous serment, représentants officiels de la France, état et nation, membre de la communauté Européenne, auto-proclamé pays des « Droits de l'Homme », et membre prioritaire à l'ONU, ne lui font pas respecter ses engagements moraux et ses obligations contractuelles et juridiques. Pire, d'une manière occulte, dissimulée, et même frauduleuse et crapuleuse, par ce droit de veto dictatorial, ils peuvent bafouer allégrement les lois universelles auxquelles la France et ses institutions se doivent de suivre sans défaillance, ce qui induit, par preuves d'évidences juridiques et morales, inévitablement et indubitablement au constat que la procédure de la loi invoquée ne peut rester ainsi sans avoir été corrigée.

D'autant que de tels dépôts transmis à un niveau suprême par les seules autorités locales mises en cause, comme le permet exclusivement la procédure, seraient un aveu de la part de ceux qui ont décidé de s'en remettre à leur hiérarchie, de fautes commises qui engendreraient des sanctions à leur encontre.

Le triple point crucial causant une indubitable atteinte constitutionnelle sur ce facteur, est asséné, premièrement; par l'unique moyen de déposer une « QPC », à savoir obligatoirement par une seule et unique étape, deuxièmement, par l'absence absolue de possibilité de recours de la part du plaignant/dénonciateur si la décision, par le « mis en cause », étape obligatoire procédurale, est un classement sans suite, de non approbation du défaut de Constitutionnalité, et troisièmement, par le fait qu'une juridiction basique locale ne peut se targuer de valoir en compétences, territoriales (nationales), intellectuelles, morales et de responsabilités, mais aussi en érudition en la matière, celles d'une institution créée pour traiter de tels « problèmes » qui concernent un niveau national, et qui se doit d'en être la garante, morale et républicaine. Et ce, au nom de la fameuse sacro-sainte revendication républicaine française de la séparation des pouvoirs !

Aucun juge, aucun magistrat, aucun tribunal, prétendument indépendant du domaine législatif, ne peut prétendre étudier et rendre une estimation, pire, un jugement sur un problème d'ordre Constitutionnel, qui plus est lorsqu'il est impliqué.

Seul le Conseil Constitutionnel en a le Droit, français, s'entend.

D'ailleurs, il est à relever l'autre point aberrant paradoxal de cette délégation de pouvoirs à des subalternes, qui consiste au fait que ce dernier est un « Conseil », c'est-à-dire que les études et les appréciations sont menées d'une manière collégiale, alors que la première phase est menée individuellement, pouvant subir les affres d'une corruption, du moins, d'une défaillance intellectuelle, de capacité et/ou d'érudition en la matière supérieure. Si chacun de ces magistrats en avaient les qualités, ils ne seraient pas restés à ce niveau hiérarchique de bas étage.

Quoi qu'il en soit il n'y a aucun moyen de recours, aucun moyen d'appel à des instances plus élevées, plus évoluées, plus érudites en la matière, plus concernées exclusivement.

Et nous arrivons au sublime, ce n'est point aux mis en cause, même s'ils sont juges, de déterminer et de juger une Loi, mais bien aux seuls législateurs, députés et sénateurs, et incidemment, vous, Conseil Constitutionnel !

Ceci constitue un second point anticonstitutionnel de la procédure d'une « QPC » elle-même, puisque le fait d'offrir une unique voie d'accès, sans moyen de discussion aucune, assortie d'une décision péremptoire définitive, d'autant sans besoin aucun d'avoir été motivée légitimement et honnêtement, est un affront et une entorse au titre du Droit Français, et de ceux « étrangers » comme ceux européens, que la France doit respecter.

CONCLUSIONS COMMUNES AUX DEUX FONDAMENTALES « QPC ».

Continuer et persister à appliquer aveuglément une telle loi en l'état, d'autant plus importante qu'elle est la plus importante (sic), puisqu'elle consiste en une capacité de pouvoir sur toutes les autres lois, en une autorité menant à une recherche de perfection morale en le juridique, serait une offense à la République de France, et à l'Europe.

Une double vergogne nationale car elle démontrerait que la République française n'a pas de conscience éthique et morale, et encore moins de parole, et d'Honneur.

Conserver cet artifice de respect constitutionnel en l'espèce, de manquement aux fondamentaux des « Droits de l'Homme », ceux de pouvoir se défendre avec tous les outils appropriés nécessaires, de pouvoir mettre en cause une législation déficiente, obsolète, et même antagoniste, de pouvoir faire appel d'une décision dictatoriale subalterne qui s'y rapporte, est le pilier central d'un fait grave, qui fera s'écrouler, tôt ou tard, tout son édifice bâti sur la fausseté, et jeter un doute, non plus sur toutes les « QPC » précédentes stoppées à leur stade fœtal qu'est l'exclusif local, mais aussi sur toutes les futures.

Cette paire liée de « QPC » est incontestablement une FONDAMENTALE « QUESTION PRIORITAIRE DE CONSTITUTIONNALITÉ » de premier ordre, et qui doit respecter sa qualification, de « Prioritaire », et même à un degré des plus élevés possibles.

Cette paire de « QPC » ne peut être étudiée et définie, vu sa non conformité intrinsèque, qu'uniquement par le Conseil Constitutionnel.

Ces mêmes représentants de la Justice et de l'État, qui, par ailleurs, dévoilent et démontrent un autre pan de la mascarade constitutionnelle d'une prétendue séparation des pouvoirs, bafouent allégrement ces droits fondamentaux universels qui dépassent les petites mesquineries étatiques, politiques, juridiques et judiciaires. Ils osent, sans vergogne, mettre en exergue leur mépris, en les utilisant comme étendard moral, pour masquer et dissimuler leurs sales forfaits.

Il n'en demeure pas moins que ces droits existent, et qu'ils sont à être respectés par décret constitutionnel.

Et si des articles de la loi française sont encore épargnés de leur révision, la présente procédure permet de rétablir un véritable rétablissement de l'Ordre. Et cet outil législatif primordial ne peut souffrir lui-même d'aucune ombre d'un doute.

Il est inadmissible de laisser encore et toujours se ridiculiser la France au niveau européen et international, par ses successives condamnations pour non respect par ses prétendus républicains ordonnés.




Il ressort quoi qu'il en soit, que Tout Homme a le droit à un procès équitable.




Et proposer fallacieusement, vicieusement une prétendue honorabilité à un environnement juridique qui permet de juger, et même de condamner au nom de textes dont leur certification d'adéquation avec d'autres obligations supranationales n'est en aucun cas garantie, déjà par un moyen exhaustif de défense, n'offre en rien un procès équitable. Bien au contraire.




Cette étude révèle aussi un grave problème qui doit porter une « QPC » d'un grade supérieur.

En effet, cette affaire, et cette « QPC », autant que les deux autres déposées concomitamment, permettent de déceler un vice global du système judiciaire français, et des lois que ses représentants et acteurs sont censés suivre, respecter et appliquer, et ce, dans un environnement de raison neutre. Or, il ressort que la juxtaposition de chacun de ces textes de lois, au prétendu délit, n'exprime qu'un seul consternant fait, celui de la déficience de ces personnes concernées, à savoir gendarmes, procureurs et magistrats, utilisatrices de cet outil de communication, en la connaissance de langue française, et principalement en sa sémantique, et même en la définition de ses mots. Lorsqu'il s'agit de définir, de caractériser, d'identifier un acte, cela est de leur capacité intellectuelle, car ils utilisent leur propres vocabulaires. En revanche, lorsqu'il s'agit de lire, d'analyser, d'étudier et de comprendre, des textes et/ou des propos, et pour finir, les déterminer, les caractériser et les juger, en les corrélant à des textes législatifs, pour les appliquer à des lois, pour, in fine, les cerner et les considérer comme un délit approprié à l'article prétendument idoine, alors il y a un phénomène fondamental d'incompétence absolue de l'ordre du béotien.




Et ce, sans compter l'autre point névralgique de défaillance constitutionnelle, systématiquement « oublié » par ces éminences, celui de la « contrebalance », c'est-à-dire, celui qui les oblige à ne pas ignorer et à considérer aussi les articles de loi qui « protègent » le nouvellement défini « criminel », par ces et ses autres droits.

Il y a bien des traducteurs pour les langues étrangères, aussi, il est naturellement besoin d'un « traducteur » pour ceux-là qui ne saisissent pas intellectuellement celle de France.




Laurent GRANIER

Adresse en France (Non résident) 75018 PARIS

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE TOULON

Place Gabriel PERI 83000 TOULON




A l'attention de Mme La présidente du Tribunal de Toulon Lucette BROUTECHOUX

OBJETS:

DÉPÔTS DE TROIS « QUESTIONS PRIORITAIRES DE CONSTITUTIONNALITÉ » (QPC),

NOTIFICATIONS de DÉLITS, de FRAUDES, de MANQUEMENTS au DROIT FRANÇAIS,

NOTIFICATIONS de DEPÔTS de PLAINTES PÉNALES et CIVILES CONTRE L'ÉTAT FRANÇAIS, AU NIVEAU NATIONAL et EUROPÉEN,

INJONCTION DE NON RECEVABILITÉ DE TOUTE LA PROCÉDURE, DE TOUTE AUDIENCE ET DE TOUT PROCÈS

AFFAIRE DONT L'AUDIENCE EST AU 26 AVRIL 2019 / TRIBUNAL CORRECTIONNEL DE TOULON/ CHAMBRE CORRECTIONNELLE COLLÉGIALE

N° PARQUET : 18332000248

Poursuites avalisées, rédigées et entérinées sur de faux et fallacieux motifs par la vice-procureur Carine CAUCHY

Président du Tribunal de Grande Instance de Toulon (Var): Lucette BROUTECHOUX

DOCUMENTS JOINTS : TROIS QUESTIONS PRIORITAIRES DE CONSTITUTIONNALITÉ » (QPC)




Madame La Présidente du Tribunal de Toulon,

au vu de votre fonction suprême en cet antre juridico/judiciaire, vous ne devriez pas être sans savoir ce qu'il s'y passe.

Cependant, au vu de la future audience qui va entériner l'officialisation de cette cabale criminelle à mon encontre, qui m'a coûté de très graves préjudices, à ma personne, mais aussi à d'autres, personnes et sociétés, et même si j'ai alerté les autorités françaises au niveau national à son sujet, et surtout celles européennes, je me vois dans l'obligation de vous informer, de vous alerter officiellement sur le contenu frauduleux, crapuleux et donc illégal, qui fait de cette périlleuse « affaire », d'une absolue et définitive irrecevabilité.

Je parle au nom du Droit et des Lois françaises, et non de celles toulonnaises, ou varoises ou françaises-maconniques !

Je ne reconnais que les premiers. Et je pense que l'Europe et l'ONU en font de même.




Tout d'abord, j'attire votre attention sur les graves violations du Droit, Français, s'entend.

En bref, et d'une liste non exhaustive de délits procéduraux :quant à cette affaire :

INCOMPETENCE DE JURIDICTION : Non respect du lieu de juridiction. Mon adresse officielle en France étant à Paris, et n'étant pas résident français, et ne l'étant pas au moment des faits, la juridiction concernant tout défendeur « étranger », est celle de Paris. Toute poursuite et tout procès doit s'entreprendre à Paris. Je l'ai répété de maintes fois aux malhonnêtes gendarmes.

IRRECEVABILITÉ : Non respect de transmission du dossier, et rétention du dossier. En tant que défendeur, toute personne a le droit à avoir le dossier complet, avec tous les éléments dans le but de pouvoir se défendre et d'avoir accès un procès équitable. Je n'ai rien, aucun document.

IRRECEVABILITÉ : Non respect d'information quant à l'identité et aux prétentions des parties adverses. En tant que défendeur, toute personne a le droit à avoir connaissance de l'identité et des prétentions des parties adverses, avec tous les éléments adéquats, dans le but de pouvoir se défendre et d'avoir accès un procès équitable. Je n'ai aucun document, aucune information.

CORRUPTION et CONFLIT d'INTÉRÊTS : Les auditions et les procédures entreprises par les gendarmes en question, et les procureurs successifs ont été entreprises sous menaces coercitives exercées et subies, intimidations, chantages, et même exactions physiques, menant à extorsion, avec le facteur aggravant d'en bande organisée sous couvert de corruption, en vue d'entrave à la manifestation de la Vérité. Pour information, du moins rappel, tous ceux-ci sont bien des délits pénaux au sens du Droit Français (et même en 2018/2019 !). Sans compter le faux et l'usage de faux rédigé et utilisé par les procureurs.







Vous trouverez ci-joint TROIS Questions Prioritaires de Constitutionnalité (QPC), sachant qu'il y en a bien d'autres.

Et si vous les retoquez, ce que je me doute, non pas par leur irrecevabilité, mais par intérêts locaux de ne pas transmettre d'éléments compromettants aux autorités nationales, et en l'espèce, au Conseil Constitutionnel, ce n'est point grave, vu que celles-ci en sont préalablement informées, et qu'il y a bien d'autres points pour rendre irrecevable les présentes « poursuites » qui font l'objet de l'audience du 26 avril prochain.

Je suis même déjà préparé pour la Cour de Cassation, ignorant la phase intermédiaire d'appel, connaissant pertinemment la légendaire corruption de la Cour d'Aix-en-Provence...

J'ai certes constitué un dossier de plus de 150 pages, faisant étai pour les procédures contre l'état Français et ses responsables, qui serait utile pour la présente affaire, mais qui serait superfétatoire tant les « simples » et « visibles » délits, indiscutables, commis par les diverses autorités sont pléthores et suffisants pour faire démonstration, déjà de l'irrecevabilité basique de celle-ci. D'autant que je préfère le consacrer pour des niveaux plus élevés de poursuites, puisque ce qui nous concerne est d'un niveau intellectuel, moral et même culturel (pathétique préhension de la sémantique de la langue française) d'un caniveau, et donc, indigne pour assimiler sa teneur de haute volée.

Je ne vais même pas me rendre fastidieuse la présente procédure, puisque les auteurs et les accusés qui sont motifs des plaintes déposées au niveau national et européen sont des magistrats du tribunal de Toulon, des magistrats de la région toulonnaise, préfets, un maire, et la gendarmerie qui ne respectent ni les règles de procédures, ni la Loi, française s'entend, et de 2018/2019 itou.

Aussi, voici quelques autres points

Non respect du lieu de juridiction du défendeur menant à circonscrire les poursuites dans un lieu vérolé par la corruption et dont tous les protagonistes officiels sont du cru et y exercent pouvoir

Non respect de transmission du dossier, et rétention de document et d'information menant à une impossibilité de défense

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, menée par des gendarmes pour des gendarmes, au sein de la gendarmerie, dont le principal plaignant est un gendarme mis en cause, menant à parti-pris, à charge, au surplus d'une manifeste entrave à la manifestation de la vérité en occultant et même détournant l'attention de la corruption dudit gendarme et de la gendarmerderie

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en ne me donnant aucun moyen de défense, d'explication et de justification puisque je n'ai eu aucune possibilité physique et matérielle de prendre connaissance des documents reprochés, objets des poursuites, et aucune possibilité physique et matérielle d'en présenter les contre-preuves, en me séquestrant

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en joignant deux affaires distinctes, pour des motifs distincts, au titre de documents mis en cause distincts, et donc non corrélées officiellement, celle DALL'OPIO et COLLOMB/PHILIPPE et celle CAUSSIN. Or, la double première concerne la dénonciation de la corruption de la gendarmerderie locale avec CAUSSIN, et la seconde concerne CAUSSIN. L'association de ces deux affaires distinctes au sein de l'enquête, de l'instruction et même des poursuites et du procès, démontrent et avèrent ce que je dénonce, et pourtant ce que l'on me reproche comme être faux ou diffamatoire, à savoir la corruption des premiers avec les seconds.

Sans compter les menaces, les intimidations, les exactions physiques et morales en vu d'extorsion de faux aveu, d'informations confidentielles, de secret d'affaires et de sociétés, et surtout de non appel à l'exercice de mes droits

Sans compter le faux et l'usage de faux rédigé et utilisé par les procureurs locaux

Sans compter l'absence de précision et de circonscription des prétendus délits, s'ils sont sous mode numérique, ou papier, par voie postale, ou internet, ou par publication, etc.




En supplément, et par amusement intellectuel, nous allons aborder une défense stricte, sans compter les nombreux manquements procéduraux, fraudes, et mépris de la Loi, Française, s'entend.







Allons droit au but, vous laissant l'opportunité de déceler tous, ou presque, les détails annexes qui aggravent cette affaire, à l'encontre des pré-supposées victimes/plaignants, qui en causent fallacieusement une inversion des rôles, car, quoi qu'il en soit, pour tout homme « normalement » constitué, moralement, s'entend, la seule victime, est bien ma personne.




Les 3 chefs d'accusations retenus en définitive, tels qu'ils ont été rédigés, avec leurs fautes, grammaticales et pénales, par les procureurs du parquet du tribunal de Toulon

D'avoir à LE BEAUSSET, du 27 février 2018 au 5 mars 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, commis un outrage par paroles, gestes ou menaces, de nature à porter atteinte à la dignité ou au respect dû à la fonction de Monsieur D'ALLOPIO Fabien, personne dépositaire de l'autorité publique, dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de ses fonctions, en l'espèce en disant « il est bien connu que la mafia italienne est présente en région PACA et le nom de gendarme DALL'OPIO, à consonance italienne ne peut m'ôter de l'esprit de parti pris avec les vermines (NATINF 7886), faits prévus par ART.433-5 AL.2,AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.433-5 AL.2, ART.433-22 C.PENAL.

D'avoir à LE BEAUSSET, du 27 février 2018 au 05 mars 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, dénoncé à un officier de justice, en l'espèce en adressant une lettre au ministre de l 'intérieur intitulée « les gendarmes et la gendarmerie du Beausset impliqués dans des actions d'intimidation de complicité d 'extorsion de fraudes comptables de corruption criminelle mêlant trafic d'influence de drogues et de chantage »,, un fait de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires, en l'espèce, contre Monsieur COLLOMB Gérard, Monsieur PHILIPPE Edouard, en sachant que ce fait est totalement ou partiellement exact (NATINF 33), faits prévus par ART.226-10 AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.226-10 AL.1, ART.26-31 C.PENAL.

D'avoir à LE BEAUSSET, du 26 février 2018 au 16 novembre 2018, en tout cas sur le territoire national et depuis temps non couvert par la prescription, par quelque moyen que ce soit mais avec l'ordre de remplir une condition menacé d'un crime contre des personnes au préjudice de Madame CAUSSIN Anne, en l'espèce en lui disant « si vous ne me restituez pas dans les 24 h00 à compter de la réception de cette lettre de l'argent que j'ai engagé pour l'achat de deux véhicules, ce sera doigt coupé, main tranché, langue tranchée » (NATINF 7893), faits prévus par ART.222-18 AL.1 C.PENAL, et réprimés par ART.222-18 AL.1, ART.222-44, ART.222-45 C.PENAL.




Quant au Premier chef d'accusation:

Il relève d'un courrier de plainte adressé aux autorités supérieures. Déjà, tant qu'il n'a pas fait l'objet d'une totale instruction et d'une manière neutre quant au fond, (pas par les gendarmes eux-mêmes, et encore moins du cru), rien ne peut causer une plainte.

Ainsi, c'est un écrit, et non des « paroles, gestes ou menaces ». Ce chef d'accusation n'a aucune valeur.

De plus, le texte relevé ne caractérise en rien « une atteinte à la dignité ou au respect », mais est seulement une évocation, la retranscription de ce qu'il me venait à l'esprit, par raisonnement logique basique, et donc, d'une manière automatique. Ce n'est en aucun cas une accusation, mais une supputation confessionnelle. Le Droit Français n'interdit pas de penser, et encore moins d'user du mode conditionnel.

Il est à ajouter la confusion sur le support du propos reproché. Il n'est point stipulé s'il s'agit du courrier en lui-même, la version papier officielle adressée, ou celle publiée sur un site internet. C'est un point fondamental. La procédure initiale fait état d'une publication sur internet, et les chefs d'accusations finaux ne portent sur rien ! Il est juste supposé que ce serait la version papier. Ce point juridique est fondamental et crucial car les lois applicables sont différentes au regard du support utilisé, ou mis à l'index !

En pré-conclusion, il est évident que les personnes concernées, et leurs proches, gendarmes, militaires, tout comme leurs amis du parquet, procureurs, n'ont aucune notion de la sémantique de la langue française, et encore moins par sa subtilité. Il ressort aussi que tous ceux-là n'ont pas non plus une érudition en matière de Droit et de Lois, Françaises, s'entend, pour leurs violations systématiques et répétées à mon encontre, tout en me privant des miens. A moins, que leurs délits soient intentionnels...

En effet, pour ma part, seul le Droit Français, et les Lois Françaises doivent être appliquées, même en PACA, même dans le VAR, même à TOULON. A moins, qu'un de ceux-là prouve que cette juridiction Toulonnaise/Varoise est Hors de France, et territorialement, et administrativement. Et même hors d'Europe, vu que les lois de cette dernière s'appliquent de plus en plus sur les territoires nationaux des pays membres.

La « chose » désignée faisant l'objet et la cause des poursuites n'étant pas spécifiquement et parfaitement précisée et circonscrite, d'autant plus confuse et/ou portant à confusion, et/ou étant erronée et/ou fausse et/ou falsifiée, portant à une erreur notable de compréhension, d'interprétation et de jugement, les articles de loi y étant relatifs pour déterminer les présumés délits poursuivis en sont par conséquences, inappropriés et inapplicables.

Aussi, et pour tous les autres « manquements » juridiques, ce chef d'accusation est donc irrecevable.

Et toute sentence défavorable à mon égard, exprimerait non plus un sérieux doute, mais bel et bien une preuve de corruption, non seulement des personnes pré-citées, gendarmes et procureurs, mais aussi des magistrats juges de ce tribunal de Toulon qui est supposé être en France, et donc obéir aux Lois de ce même pays.




Quant au Deuxième chef d'accusation:

Celui-ci est encore plus risible de ridicule que le premier.

Il relève d'un courrier de plainte adressé aux autorités supérieures. Déjà, tant qu'il n'a pas fait l'objet d'une totale instruction et d'une manière neutre quant au fond (pas par les gendarmes eux-mêmes, et encore moins du cru), rien ne peut causer une plainte. Ensuite, le contenu ne concerne que les destinataires.

Ainsi, il est écrit « un fait de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires, en l'espèce, contre Monsieur COLLOMB Gérard, Monsieur PHILIPPE Edouard, en sachant que ce fait est totalement ou partiellement exact ». Ce chef d'accusation n'a aucune valeur.

Déjà, je n'ai vu dans le peu d'éléments que j'ai du dossier, non obtenus officiellement, aucune plainte de la part de MM COLLOMB ou PHILIPPE. Mais aussi et surtout, pour toute personne normalement constituée, cérébralement, s'entend, ne portant pas gênes de trisomie, ou de débilité (terme médical), il relève bien que mes deux courriers clones ne sont pas contre ces personnes, mais une « notification plaignante » d'information à l'endroit de leurs subalternes qui sont sous leur responsabilité.

Je ne vois pas non plus dans ce chef d'accusation la citation du texte, ou le propos, qui caractérise exactement la motivation des poursuites, qui restent sur des suppositions fallacieuses, et fausses. Le chef d'accusation ne porte sur aucun texte précis que j'aurais écrit. Ceci constitue un autre point d'irrecevabilité de ce point.

J'ajouterai le semi-aveu des autorités, et même des procureurs, comme quoi ma double notification était légitime et exprimait la Vérité, et donc, et de sa nécessité et de sa raison d'être, par «...en sachant que ce fait est totalement ou partiellement exact » , exprimant que j'avais raison, ce qui fait de ce chef d'accusation, comme du premier, un non-sens, ou pire, une tentative de me réduire au silence…

De plus, au regard du Droit, Français, s'entend, il est d'un devoir, et même d'une obligation pénale de dénoncer tout délit, tout crime. Ne pas l'avoir fait aurait été un délit de ma part, et me poursuivre pour l'avoir fait, et vouloir me condamner pour l'avoir fait, est bien plus qu'une aberration juridique portant à une sérieuse QPC, c'est un délit multiple de la part de tous les protagonistes, à savoir, liste non exhaustive, d'entraves à la manifestation de la vérité, de menaces coercitives exercées et subies, de chantages, corruption, etc.

Il est à ajouter la confusion sur le support du propos reproché. Il n'est point stipulé s'il s'agit du courrier en lui-même, la version papier officielle adressée, ou celle publiée sur un site internet. C'est un point fondamental. La procédure initiale fait état d'une publication sur internet, et les chefs d'accusations finaux ne portent sur rien ! Il est juste supposé que ce serait la version papier. Ce point juridique est fondamental et crucial car les lois applicables sont différentes au regard du support utilisé, ou mis à l'index !

En pré-conclusion, il est évident que les personnes concernées, et leurs proches, gendarmes, militaires, tout comme leurs amis du parquet, procureurs, n'ont aucune notion de la sémantique de la langue française, et encore moins par sa subtilité. Il ressort aussi que tous ceux-là n'ont pas non plus une érudition en matière de Droit et de Lois, Françaises, s'entend, pour leurs violations systématiques et répétées à mon encontre, tout en me privant des miens. A moins, que leurs délits soient intentionnels...

En effet, pour ma part, seul le Droit Français, et les Lois Françaises doivent être appliquées, même en PACA, même dans le VAR, même à TOULON. A moins, qu'un de ceux-là prouve que cette juridiction Toulonnaise/Varoise est Hors de France, et territorialement, et administrativement. Et même hors d'Europe, vu que les lois de cette dernière s'appliquent de plus en plus sur les territoires nationaux des pays membres.

La « chose » désignée faisant l'objet et la cause des poursuites n'étant pas spécifiquement et parfaitement précisée et circonscrite, d'autant plus confuse et/ou portant à confusion, et/ou étant erronée et/ou fausse et/ou falsifiée, portant à une erreur notable de compréhension, d'interprétation et de jugement, les articles de loi y étant relatifs pour déterminer les présumés délits poursuivis en sont par conséquences, inappropriés et inapplicables.

Aussi, et pour tous les autres « manquements » juridiques, ce chef d'accusation est donc irrecevable.

Et toute sentence défavorable à mon égard, exprimerait non plus un sérieux doute, mais bel et bien une preuve de corruption, non seulement des personnes pré-citées, gendarmes et procureurs, mais aussi des magistrats juges de ce tribunal de Toulon qui est supposé être en France, et donc obéir aux Lois de ce même pays.

Quant au Troisième et dernier chef d'accusation:

Celui-ci est encore plus consternant au niveau juridique, au regard du Droit, français, s'entend.

Il atteint au sublime de la fraude, de la crapulerie, de la corruption.

La preuve accablante et indiscutable: Le Faux et l'Usage de Faux par une personne détenant l'Autorité.

Il relève d'un courrier de mise en demeure, dont le fond, sa raison d'être, n'a fait l'objet d'aucune suite juridique et judiciaire par aucune autorité, et ce, malgré les graves faits de fraudes comptables te fiscales, de détournements, de faux et d'usage de faux. Et ce, alors que désormais, ces mêmes autorités ne peuvent en prétendre l'ignorance...

Ainsi, il est relevé « avec l'ordre de remplir une condition menacé d'un crime contre des personnes au préjudice de Madame CAUSSIN Anne, en l'espèce en lui disant « si vous ne me restituez pas dans les 24 h00 à compter de la réception de cette lettre de l'argent que j'ai engagé pour l'achat de deux véhicules, ce sera doigt coupé, main tranché, langue tranchée » ».

Ce chef d'accusation n'a aucune valeur.

Le faux caractérisé : La phrase mise à l'index, qui sert de support au chef d'accusation, que j'aurais écrite: « si vous ne me restituez pas dans les 24 h00 à compter de la réception de cette lettre de l'argent que j'ai engagé pour l'achat de deux véhicules, ce sera doigt coupé, main tranché, langue tranchée », elle n'existe pas ! Vous pouvez chercher dans tout mon courrier mis en cause, elle n'existe pas. Si vous la voyez, c'est alors que c'est un faux présenté par Mme CAUSSIN. Et j'ai la preuve de mon envoi car je l'ai fait via le site de La Poste qui certifie son contenu...

Ainsi donc, les procureurs, et en l'espèce, Mme Carine CAUCHY a commis un faux en me prêtant des écrits que je n'ai pas rédigés.

Et l'usage de faux, de celui-ci, est caractérisé par la présente poursuite.

Pour achever la démonstration de l'absurde de ce chef d'accusation, si vous lisez bien ma mise en demeure, la seule partie qui exprime le « doigt coupé », etc., vous comprendrez, si tant est que vous saisissiez la sémantique de la langue française, que ces supposées « menaces » ne sont pas à l'endroit de l'An(n)e CAUSSIN.

Je rappelle aussi que les trois de la bande à CAUSSIN, COLOMBO et ROMANO inclus, me doivent toujours la somme de 15.000 euros, somme que je leur avais versée, et donc qui n'est pas débitrice de leurs propres avoirs. A différencier des dommages qu'ils m'ont causés, qui sortiront de leurs comptes.

Il est à ajouter la confusion sur le support du propos reproché. Il n'est point stipulé s'il s'agit du courrier en lui-même, la version papier officielle adressée, ou celle publiée sur un site internet. C'est un point fondamental. La procédure initiale fait état d'une publication sur internet, et les chefs d'accusations finaux ne portent sur rien ! Il est juste supposé que ce serait la version papier. Ce point juridique est fondamental et crucial car les lois applicables sont différentes au regard du support utilisé, ou mis à l'index !

En pré-conclusion, il est évident que les personnes concernées, et leurs proches, gendarmes, militaires, tout comme leurs amis du parquet, procureurs, n'ont aucune notion de la sémantique de la langue française, et encore moins par sa subtilité. Il ressort aussi que tous ceux-là n'ont pas non plus une érudition en matière de Droit et de Lois, Françaises, s'entend, pour leurs violations systématiques et répétées à mon encontre, tout en me privant des miens. A moins, que leurs délits soient intentionnels...

En effet, pour ma part, seul le Droit Français, et les Lois Françaises doivent être appliquées, même en PACA, même dans le VAR, même à TOULON. A moins, qu'un de ceux-là prouve que cette juridiction Toulonnaise/Varoise est Hors de France, et territorialement, et administrativement. Et même hors d'Europe, vu que les lois de cette dernière s'appliquent de plus en plus sur les territoires nationaux des pays membres.

La « chose » désignée faisant l'objet et la cause des poursuites n'étant pas spécifiquement et parfaitement précisée et circonscrite, d'autant plus confuse et/ou portant à confusion, et/ou étant erronée et/ou fausse et/ou falsifiée, portant à une erreur notable de compréhension, d'interprétation et de jugement, les articles de loi y étant relatifs pour déterminer les présumés délits poursuivis en sont par conséquences, inappropriés et inapplicables.

Aussi, et pour tous les autres « manquements » juridiques, ce chef d'accusation est donc irrecevable.

Et toute sentence défavorable à mon égard, exprimerait non plus un sérieux doute, mais bel et bien une preuve de corruption, non seulement des personnes pré-citées, gendarmes et procureurs, mais aussi des magistrats juges de ce tribunal de Toulon qui est supposé être en France, et donc obéir aux Lois de ce même pays.







Pour achever la présente missive, ce qui m'a valu tant d'exactions physiques, tant de la part de malfaiteurs, en 2013, que des autorités, gendarmes en premier, et procureurs, et préfets, et maire, depuis le 15 novembre 2018, la sécurité sur ma vie ne peut être garantie, et même pire, elle est certainement à très haut risque sur ce territoire national, amplifiée par certaines personnes usant de leurs fonctions.

Aussi, je ne peux me permettre aucun déplacement pour une audience qui, somme toute, est superfétatoire, qui n'a aucune raison d'être que celle de démontrer une nouvelle fois la corruption de certains.




Ma précédente démonstration, ci-dessus, prouve l'inopportunité de ma présence, qui reste quoi qu'il en soit inutile puisque tout ce que je démontre et prouve au sein de la présente, devrait être, ou aurait dû être décelé et remarqué par des personnes dont la fonction est d'étudier et de statuer sur des affaires juridico/judiciaires, et notamment, en premier lieu, leur validité et leur recevabilité...

Inopportunité vitale, sans laquelle je serais une cible physique facile pour ceux que je dénonce.

Sans compter le fait que je ne suis plus résident français depuis des années, vivant à l'étranger, et que je n'ai pas à supporter des frais pour vous faire entendre raison sur l'existence et l'application exclusive de la Loi Française, à Toulon, dans le Var, en PACA, pour un procès qui n'a aucune raison d'être au niveau juridico/judiciaire, aucun délit ne pouvant être caractérisé, à mon encontre, s'entend, et au regard de la Loi, Française, s'entend.




Il ressort aussi indubitablement qu'il est certain que j'aurais droit à un procès INÉQUITABLE, et déjà inique, à charge, et qui, il faut soulever l'authentique point, qui n'est qu'une mascarade officielle pour détourner l'authentique à-propos, un procès détourné, dont le filigrane est d'ordre politique, religieux et dogmatique, personnellement contre ma personne (sic), pour être le fondateur d'« ANOTOW », une ONG internationale qui dénonce et combat la corruption, et notamment la plus sale, celle des institutions, et pour avoir déposé des plaintes pénales à l'échelon national et même international contre des éminences de ce pays, des politiques, des magistrats, des officiers ministériels.




Quoi qu'il en soit, ce procès toulonnais ne peut être tenu, car cette affaire toulonnaise, cette procédure toulonnaise, cette audience toulonnaise, entachées de caducité à leur racine commune, puisque les « accusateurs » officiels, décideurs et décisionnaires des suites données, et rédacteurs, et persistants acteurs, à savoir les personnes du parquet en les personnes des procureurs (volontairement mis au pluriel puisque des sous-fifres sont pourvus des mêmes pouvoirs que le nommé, et agissent en conséquences, et doivent en supporter les responsabilités et les conséquences) font désormais l'objet d'une plainte pénale pour ces faits, entre autres de faux et d'usage de faux, au niveau national et européen, actes qui sont la base de « vos » poursuites à mon encontre.




Je vous laisse libre de votre choix, celui de persister lâchement et servilement dans la voie des crapules que vous êtes bien obligée de côtoyer, ou celui de marquer l'Histoire, de marquer de votre sceau une empreinte noble, courageuse et respectueuse des Lois Françaises, de la République, et d'une élégance de légitimité et d'équité, à l'instar de votre consœur auparavant, que je ne peux nommer ici pour des raisons de (sa) sécurité.




Enfin, pour finir la présente, je vous demande officiellement de me restituer, sans délai, la rançon (sic) de 5000 euros reçue par votre régisseur des « Recettes », au titre d'une clause du prétendu statut de « Mise sous Contrôle Judiciaire », mode abusif qui reste humiliant, coercitif et menaçant de chantage pour tout innocent. J'ajoute que mon dépôt de rançon (sic) a été fait dans les délais, mais que la personne en charge de vos « Recettes » a fait une grave bourde en ne mentionnant pas la bonne référence sur le reçu délivré. Et malgré le fait qu'il en a délivré un autre, conforme, par la suite, je ne sais toujours pas si ce versement avait été bien noté sous la bonne référence en ses registres, et en sa bonne date... Je vous demanderais donc de tirer ceci au clair, et de m'en informer. Je n'ai pas l'intention de déposer une plainte à ce sujet contre le responsable, si toutefois aucun préjudice ne me soit à supporter, sachant très bien que toute personne peut faire une erreur.




En l'attente d'obtenir une preuve ou non de votre corruption par cette affaire, par la suite qui sera donnée par vos soins, ou vos pairs, j'opte pour la résolution du bénéfice du doute, de la présomption d'innocence, qui me fait en toute bonne conscience et respect, vous présenter, Madame La Présidente du Tribunal de Toulon, mes sincères salutations.




Laurent GRANIER




Adresse en France (Non résident) : 75018 PARIS

Chapitre 5 : Le frauduleux abusif procès Inéquitable du 26 avril 2019

Cela fut relativement simple.

Je n'étais plus en France depuis fin décembre 2018 pour d'évidentes raisons de sécurité, je n'avais pas d'avocat, ne me risquant même plus à un désigné ou payé par l'administration à laquelle il ou elle aurait été « vendu(e) », et ne pouvant en prendre un pour des raisons financières et surtout pour des raisons d'inutilité puisque je ne pouvais accéder à aucune garantie, même pas de partialité à mon endroit, mais simplement de neutralité, et ayant averti et alerté officiellement autant la présidente de ce tribunal que le Conseil Constitutionnel de l'illégalité et de l'irrecevabilité d'une telle audience basée sur des assertions fallacieuses et mensongères, et n'ayant point encore de retour des QPC, je n'avais pas à venir.

Au pire, le procès ne pouvait qu'être reporté.

Sachant d'autant plus, que si je n'obtempérais pas, si j'osais exposer les nombreuses et variées délibérées dissemblances de la procédure et de ses chefs d'accusation, tout autant que la malhonnêteté des protagonistes dont leurs amis avaient la charge de me juger, je m'exposais sans l'ombre d'un doute à des représailles de toutes sortes.

Aussi, j'avais tout intérêt à m'abstenir, d'autant que je savais que c'était joué, pipé d'avance.




Pour information, j'avais cependant contacté auparavant la « grande Gueule Rien Dans Le Slip », le sieur « Ducon-Moriarty » (sic), au faciès «  Gros Porcin », ou « Acquit' à torT » (sic), qui a botté en touche, étant déjà en connivence avec mon ex avocat « JéSus », avec qui il avait plaidé, main dans la main, lors du procès médiatiquement dénommé « Air Cocaïne », et durant lequel des arrangements de faveurs avaient été orchestrés pour les deux caïds.

Les véritables mafieux dans l'affaire varoise ont été blanchis...







« Il y a l'avocat qui connaît la Loi, et l'avocat qui connaît le juge » disait justement Coluche.




Certes, vous aurez reconnu son véritable nom, Dupond-Moretti.

N''est-on pas davantage floué pour une même attitude, par une personne en qui on pouvait avoir confiance, parce qu'elle faisait étalage à grand coup de gueule médiatique, de sa supposée intégrité et de son prétendu noble combat contre l'« Injustice », avec une majuscule ?

En fait, le propos de cet individu machiavélique, à la sale mentalité entachée de duplicité, est en réalité sans équivoque, pour celui qui y prêtera attention avec distance, en le mettant en parallèle avec ses affaires.

Il a principalement défendu des ordures, des crapules, et c'est bien pour ceux-là, qu'il donnait voix, vociférant à qui veut l'entendre que « cette » affaire, comme toutes celles qu'il « défend », est modelée de cette iniquité qu'il abhorrerait au plus haut point !

Au point de s'en charger gracieusement ?

Évidemment pas, car son attitude et son propos ne sont qu'une stratégie commerciale et de marketing d'inscription dans un marché, pour une clientèle bien spécifique.

Une désormais classique attitude de circonstance, assistée d'un alibi « moral », dans le seul but de semer le doute dans une affaire accusant un coupable, un salaud, mais point utile pour un innocent, puisque, déjà, il n'en défend guère, et qu'une telle personne n'a pas à créer cette perplexité bénéfique, mais seulement à étaler des affirmations étayées justement, basées sur des faits sans équivoque, pour le blanchir, lui suffisant.

S'il n'est point nécessaire d'être pauvre pour être honnête, il n'est point non plus nécessaire de semer le trouble pour le prouver.

Bien au contraire.




Quant à mon affaire, cas d'école exceptionnel d'injustice sur plusieurs niveaux, à plusieurs stades de corruption, bref, plus qu'idoine à ses prétendus combats moraux, le sieur « DUCON-MORIARTY » l'a déclinée, exprimant après de nombreuses sollicitations, une sentence laconique comme quoi son agenda était trop complet pour s'en occuper...

Il y trouve cependant une large fenêtre de temps disponible lorsque surgit une affaire pour défendre un terroriste...




Il est certain qu'auprès d'un tel individu, il profitera de l'aubaine financière provenant des fonds du cru, le portant sous le grave délit de participation à un réseau financier terroriste.

Mais, lui, comme la justice française, ne s'en incommode.

La lâcheté n'a pas de prix. Sauf celui de la moralité.







Le verdict ?

Je ne sais pas.

Je n'en ai jamais été avisé.

Je n'ai rien reçu en ce sens à mon adresse à Paris.

Et en ce mois de janvier 2020, soit 9 mois après, je ne sais toujours pas.

Ni même du devenir des 5.000 euros versés en « caution ».




Le seul écho que j'en eus en son temps, c'était que certaines personnes de ce sale tribunal cherchaient à me joindre, oralement évidemment, pour m'en signifier la sentence, et qu'elles se refusaient de le faire par écrit et à mon adresse de Paris...

Piqûres de rappel sur certaines fraudes et crapuleries de la bande satanique Français-MacRon, sur les protagonistes instigateurs et sur leurs motivations au niveau national et politique

J'avais évoqué dans les tomes précédents, « 2013 » et « 2018 », les fraudes et autres crapuleries officielles, entreprises en toute impunité, depuis des lustres par cette secte à plusieurs faces.

Plusieurs, car elles se présentent sous diverses entités, différents prétendus courants.

Mais leur but est commun, il se trouve dans la spoliation, l'appropriation de tous les biens d'autrui, d'autant de ceux récalcitrant à rejoindre leur troupeau.

Et bien sûr, cela commence par ceux nationaux, de l'état, qu'ils pillent, détournent, ou volent allégrement.

Et maintenant, ils s'en prennent à ceux de l'Europe.







Le pillage industriel français.




Il en est d'« AREVA », et son étrange bénéfique (sic) aventure déficitaire;




Il en est aussi et surtout des concessions d'autoroutes, d'aéroports et de parkings, allouées à « VINCI », des « propriétés » bien utiles pour garder l’œil sur les mouvements des personnes...;




Il y a « EDF/ENGIE » avec ses fuites financières à répétition avec la grâce providentielle de défauts de fabrications, bien utiles pour détourner davantage de fonds que le projet lui-même générerait s'il était en fonctionnement, et pratiques aussi pour retarder l'issue fatale qui démontrera que ce projet de réacteurs nucléaires est déjà obsolète après avoir été ridicule;




Et sa filiale « ENEDIS », qui utilise à mes dépens ma propriété intellectuelle au titre du compteur dit « intelligent » nommé « LINKY », commettant un délit international de contrefaçon jusqu'aux USA, toujours dans le seul but d'espionner les gens, ce qui n'était pas le but originel de mon invention...;

Mais aussi, « RENAULT », dont la marque, le nom et l'usine avaient été « proprement » volés à la fin de la guerre à son propriétaire par les bâtards de gauchistes (pléonasme) d'alors, au nom de raisons fallacieuses de prétendus « collaboration », alors que les propriétaires de certaines marques allemandes comme « MERCEDES » et « BMW » n'ont pas été inquiétés...;

Cet exemple est intéressant puisque la légitimité de l'état français en tant que « propriétaire », et donc en tant manager principal et dictatorial, étant toujours aux manettes même en position minoritaire d'actions, est à mettre en doute au titre de son origine de propriété frauduleuse et crapuleuse...;







En aparté, il en est à venir au cas Carlos GHOSN.

La bande d'avides crapules maconniques, menée ostentatoirement et officiellement par le couple sodomite MACRON-PHILIPPE, voulait faire main basse sur « RENAULT-NISSAN ».

Or, Carlos GHOSN était indéboulonnable.

Pour parvenir à leurs fins, ils ont utilisé ce que j'avais mis à jour au sujet de « YAMAHA Europe », à savoir sa fraude à l'homologation au niveau européen, qui ferait plus de ramdam que le « Dieselgate » de Volkswagen (Voir « 2018... »).

Déjà, au début de mes révélations, un français avait utilisé mon affaire et mon dépôt de plainte pour faire chanter les japonais, et prendre la place du nippon à la tête de « YAMAHA Europe », en échange d'étouffer mon affaire. Mais ils ont été plus gourmands.

Par la suite, la bande de crapules a négocié avec certains de certains pouvoirs au Japon, pour mettre en place un complot-piège, avec l'aide d'un juge corrompu, pour étêter le groupe convoité, sous de ridicules arguments, et à l'aide d'une abusive procédure coercitive bafouant les Droits de l'Homme. D'ailleurs, il est à noter que personne, aucun média n'a relevé ce point de violation de ces droits fondamentaux par l'ignoble système juridique et judiciaire nippon, alors que ces mêmes journalistes ne se privent pas de dénoncer de telles infractions, souvent moins graves, commises dans d'autres pays. Deux poids, deux mesures de considération...

De plus, avec une tel stratagème connu à l'avance, il est certain qu'ils en ont même tiré de forts bénéfices, déjà au niveau financier via la bourse, mais aussi et surtout, par l'achat d'actions à bas prix, pour obtenir davantage de pouvoir au sein de la briguée société internationale...

Il est triste d'avoir vu sa femme, naïvement perdue, demander l'aide de MACRON, alors que ce dernier était l'instigateur et le bénéficiaire de la chute de son mari...




Dans la même veine de crapuleries officielles, il y a aussi les nombreuses et multiples fraudes et escroqueries commises en toute impunité par certains de la secte « ma(fia)con-satanique », par l'entremise de banques comme la « Société Générale », le « LCL-CRÉDIT LYONNAIS », le « CRÉDIT MUTUEL ». Cette dernière étant actuellement à la mode, une véritable usine à blanchir les fraudes administratives, comptables et fiscales (Voir par exemple, le cas « CHAUMIER-ROUXEL »)...







En sus de ces modes de pillages, de spoliations, de détournements et de vols, il y a aussi leurs programmes de chantages et d'extorsions.

Cela, bien évidemment, à l'aide d'administrations, usant et abusant des manières officielles, avec le système judiciaire, et le système fiscal.




J'avais aussi déjà évoqué le cas « UBS » qui se retrouvait en guerre contre les méandres tortueux d'un certain service fiscal, la « DNEF ».

J'en parlais en 2019.

Je n'avais pas encore rencontré certains responsables de cette banque à Zurich.

A l'aide de mes informations, ils ont négocié un arrangement secret en payant, d'une manière occulte, les membres de cette administration, membre de la secte.

« UBS », à l'instar de « HSBC Suisse » auparavant, a donc commis un délit international de corruption, certes contrainte, mais aussi celui, indirect, au niveau boursier. Certes, les responsables de cette banque n'en étaient pas à leur premier délit dans cette sphère financière, puisqu'ils avaient déjà joué faussement avant ledit procès, pour retirer des bénéfices sur les fluctuations boursières subies par leur situation officielle et leurs fallacieux médiatiques discours. En clair, ils savaient pertinemment qu'ils allaient perdre, mais ils claironnaient le contraire. Quand la sentence est tombée, la chute de leurs valeurs avaient été déjà anticipée au sein du groupe.

Un moyen de se faire de l'argent, même au point de pouvoir payer la condamnation, mais aussi un moyen pratique pour racheter des actions à vil prix, et d'asseoir davantage le pouvoir interne...

Bien sûr, les personnes du fameux Parquet National Financier (PNF) protègent ses « frères et sœurs » en détournant les yeux des délits commis, laissant les graves malversations portant à l'international, et même au niveau boursier, continuer à se perpétrer.




J'avais aussi évoqué précédemment le sujet des organisations de prétendues surveillances des institutions telles que les banques et assurances, pompeusement établies comme des pourfendeurs de malfaisants, comme en l'« Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution », un organisme censé « réguler », contrôler » et « sanctionner » les contrevenants à la Loi.

Pour rappel anecdotique, Henri DE CASTRIES a été PDG d'« AXA » jusqu'en août 2016, juste après ma mise en demeure à son attention comme quoi j'avais mis au jour leurs fraudes administratives, sociales, comptables, fiscales, et même boursières.

Il est aussi le président du Groupe BILDERBERG, auquel MACRON et PHILIPPE appartiennent...




Dans cet éventail de mains mises sur les pouvoirs étatiques, il y a aussi celui de la DACS, la « Direction de l'Affaire Civile et du Sceau », qui est le département du ministère de la « Justice » en charge des officiers ministériels, que sont les notaires et les huissiers.

Il est très important car ces derniers représentent l'autorité de l'État.

Le personnel de ce service ministériel s'occupe de la nomination, mais aussi du contrôle quant à leur rigoureuse et scrupuleuse fonction, et par conséquent, des éventuelles poursuites et sanctions en cas de latitudes peu légales de leur part.

J'ai informé plusieurs fois ces éminences de délits pénaux commis par des notaires et des huissiers.

Preuves à l'appui.

Aucune réponse, aucune sanction.

Et en tant que victime, je suis resté floué de plusieurs dizaines de milliers d'euros, montant cumulé par toutes les magouilles confondues, par ces notaires et ces huissiers.

Les parallèles officielles escroqueries morales mais bien financières.

La taxe carbone est censée protéger l'environnement.

Elle est, pour les états, un moyen officiel, moralement acceptable par les citoyens au nom de la sacro-sainte Écologie, de faire payer un impôt supplémentaire qu'il serait mal vu de dénigrer, et ainsi, de récolter de très importantes sommes d'argent pour rien, sans, presque, aucune contrepartie.

En effet, vous pouvez mettre un million, dix millions d'euros en espèces sur une palette, l'air environnant n'en sera pas plus pur...

Tout l'argent du Monde taxé aux entreprises comme une punition, au nom de ce fallacieux prétexte, prétendument pour la « bonne cause », n'a aucune utilité directe et réelle sur le problème concret, et ne fonde aucune solution constructible et viable à la hauteur équivalente aux sommes rançonnées.

Seuls les moyens et les actions bâtis avec ces montants financiers peuvent avoir un impact et un résultant probant sur l'environnement.

Et ce, sans compter que le marché « Green » est une véritable industrie florissante par elle-même, n'ayant point besoin de subventions.

Les responsables politiques de tous poils le savent pertinemment, aussi ils utilisent cet argent pour d'autres opérations, plus personnelles.

Et les « états » par leurs gouvernements successifs, se servent de ce pseudo alibi de cas de conscience et de responsabilité, en les infligeant, non pas à eux-mêmes, véritables responsables décideurs, mais aux citoyens qui les ont mis en place.

Ce, avec la précieuse et incontournable aide des diverses « vertes » associations, fondations et ONG, naïves complices, qui sont en réalité si stupides qu'elles ont fourni à leurs ennemis les moyens et les justifications légales pour ponctionner davantage fiscalement.

Et ce, tout en leur donnant l'occasion d'élaborer le subterfuge, prétendument légitimement moral et « technique » comme seule solution aux problèmes de pollution, la taxation.

Et par conséquent, d'en retirer des bénéfices, via la sanction financière à l'encontre des usines polluantes, ces dernières préférant payer une « pénalité » que de se donner les moyens technologiques de rendre plus propre leurs outils de production.

Tous deux, états et compagnies privées, sont gagnants.

La pollution industrielle ?

Une aubaine pour les états, mais aussi pour les associations qui obtiennent des subventions !

Et toutes ces sommes d'argent partent dans les méandres des services redistributeurs fiscaux, sans circonscrire leur utilisation à l'objet pour lequel elles ont été imposées !







Les « annexes », comme le financement occulte et crapuleux du parti LREM et de la campagne électorale présidentielle de E. MACRON, par extorsion et par délivrance payante de passe-droits criminels.




« Partenariat » de « HSBC » via les Services Fiscaux.

Pour être bref, la « DNEF », les services secrets fiscaux français, s'occupant aussi et surtout des grands comptes et de la cuisine interne « Bœuf-Carottes » (équivalent de la Police des Police), avait formé un litige fiscal et pénal contre « HSBC ».

C'était en 2014-2015, et un arrangement à l'amiable était convenu. Une pénalité, une sanction financière à payer au FISC français, et toute poursuite était annulée, effacée, oubliée.

Évidemment, les pénalités étaient extrêmement plus faibles que la somme d'une condamnation. Une aubaine pour « HSBC ».

Les responsables des services fiscaux avaient accepté une officielle somme minorée de plusieurs centaines de millions à celle qu'ils auraient pu faire encaisser à l'état, parce que la (presque) différence allait dans d'autres « poches »...

Et « ils » ne risquent ni contrôle fiscal, ni redressement, ni sanction, ni poursuite judiciaire.

Au surplus, « ils » connaissent bien les rouages pour blanchir l'argent mal acquis... Ils font déjà cela, en regardant ailleurs, ou en occultant les procédés trop ostentatoires de fraudes administratives, comptables, sociales, fiscales commis depuis des lustres par leurs frères et sœurs de la « Française Maconnerie ».

Entre le temps de cet accord à l'amiable bien généreux, et la clôture du dossier, il s'est passé deux années.

Deux longues années durant lesquelles une élection présidentielle a eu lieu...

Le deal de ces responsables véreux et corrompus avec « HSBC » était une réduction conséquente de la pénalité et un abandon de toute poursuite judiciaire, même celle dont les délits pénaux n'incombent ni ne concernent les services fiscaux, avec la contre-partie de financer le parti et la campagne électorale de leur « poulain », mais patron d'alors, E. MACRON...

Bien entendu, même si un deal était convenu, même si ces responsables des services coercitifs des services fiscaux pouvaient entreprendre toute représaille officielle en cas de non respect de cet accord, ils ont joué la prudence, et attendu l'élection présidentielle pour solder le compte. De toute évidence, cela aurait été trop « visible » de l'entériner juste après, alors, ils ont fait cela en catimini, 6 mois après...

Et qui était à Bercy, à cette période ?!




ALTÉO/Frédéric RAMÉ, Manuel VALLS, Stéphane BOUILLON.

Avec cette affaire, le système de financement crapuleux et frauduleux est différent.

En bref, en 2015, la société « ALTÉO » à GARDANNE (13), dont le directeur général est Frédéric Ramé, devait renouveler son autorisation à polluer en toute légalité la Méditerranée, et notamment le Parc Naturel des Calanques à Marseille, avec ses déchets, appelés « Boues Rouges ».

Le préfet, Stéphane BOUILLON, a donné son accord, sous le commandement de Manuel VALLS alors ministre, et bon ami du bien introduit dans le gouvernement d'alors, E. MACRON...

Cette crapuleuse autorisation a donné lieu a un grave cas de « Crime contre l'Humanité », pour lequel j'avais déposé en 2016, une plainte contre ses auteurs, à la Cour Pénale Internationale.

L'affaire fut étouffée, bien entendu.

Quel lien y aurait-il entre S. BOUILLON et E. MACRON, direz-vous ? Fadaises, élucubrations, complotisme...

Mais, à l'été 2017, E. MACRON, élu fraîchement Président de la République de France, prit ses vacances, non pas au Fort de Brégançon, non pas en une propriété de l'État, mais en la villa hollywoodienne d'un préfet... A Marseille... Chez S. BOUILLON...




Petit mémo au sujet du Stéphane BOUILLON :

Depuis 2001, il a été préfet de l'Aube, de la Sarthe, de la Loire, et de la Corse du Sud...

En 2011, il devient le directeur de cabinet du ministre de l'intérieur, Claude GUEANT.

En 2013, il redevient préfet, de l'Alsace et du Bas-Rhin.

En juillet 2015, des Bouches-du-Rhône.

En 2017, du Rhône.

Entre temps, le 15 mai 2015, Stéphane BOUILLON est condamné pour diffamation. Mais, deux mois après, il est promu officier à la Légion d'Honneur...

Puis, condamné à nouveau le 13 avril 2017 pour faute, au sujet de permis de construire illégaux, procès dû à des associations corses de protection de l'environnement...

C'est bien la preuve qu'il se moque de l'écologie, d'autant si elle lui permet d'en retirer des bénéfices personnels...

Malgré ses condamnations, il reste en poste à de hautes fonctions de la République de France, la représentant même officiellement, et y est même renommé, tout en conservant ses décorations d'Officier de la Légion d'Honneur, et d'Officier de l'Ordre National du Mérite !...

Et vive la République, vive la Démocratie, vive la France !

En clair, déjà, une personne doublement condamnée est incorporée dans le gouvernement MACRON !

Bien loin de ses résolutions de constituer des ministères « propres », uniquement avec des personnes irréprochables, dont une méticuleuse attention pour chacun d'eux, est entreprise au prix d'une enquête préliminaire minutieuse avant toute nomination.




Le 16 octobre 2018, soit juste un mois auparavant le traquenard qu'ils m'ont tendu, Stéphane BOUILLON était nommé Directeur de Cabinet du nouveau Ministre de l'Intérieur, le gros porc servile en la personne de Christophe CASTANER !

Et la boucle est bouclée en ce qui concerne la démonstration de l'explication de mes mésaventures...




D'environnement, le seul qui intéresse MACRON et sa clique de Français-Macons, c'est le leur.

Et après tout cela, il y a des naïfs qui s'étonnent du manque d'action dudit président de la République de France, en matière d'écologie et de protection de l'environnement, jouant sans cesse la montre, le flou, et se défaussant toujours.

Ce n'est pas pour rien que le MACRON avait pris le HULOT.

Il lui servait de caution morale politique, puis il l'a ensuite muselé par chantage interposé, avec de fausses accusations de viol, suspensives comme l'épée du sieur Damoclès, dès lors que ce dernier avait voulu aller à son encontre, en tentant d'instaurer de véritables, mais dérangeantes, mesures environnementales...

Cette bande salopards de LREM en retirent des bénéfices personnels juteux, en allant à l'encontre du bon sens, du devoir, et de leurs prodigieuses promesses électorales.

Une interdiction crée une hausse du marché et des tarifs.

Toute grande entreprise est désormais sous le chantage de l'environnement, un motif, un alibi écologique bien utile pour favoriser la campagne et le parti des responsables corrompus...

Les préfets comme les procureurs, jouent aux jeu des « chaises musicales », mais à celui de particulier où il y autant de sièges que de séants !

Ils restent en poste quelques années, puis, changent de juridiction. Mais pas de fonction. C'est un entre-soi, un turn-over professionnel consanguin, faisant de leurs liens à tous, un agglomérat protectionnel et dogmatique, nécessairement vicié.

Le milieu idéal pour faire fleurir, éclore et semer à nouveau, la perversion morale.

Il est dit que ce récurrent changement géographique a pour but d'éviter un phénomène de copinage, de corruption amicale...

La raison est toute autre.

C'est uniquement pour exercer leur corruption dans une autre contrée, où, vierge, le nouvel arrivant pourra établir de nouvelles donnes, instaurer de nouvelles exigences, faisant table rase de celles de son prédécesseur qui avait épuisé ses ressources, ne pouvant plus requérir de nouvelles rétributions pour un service déjà donné, et ce, sans compter le fait que la mutation efface tacitement toute ardoise, tels que de possibles services encore en compte, à rendre.

Et puis, cette rotation permanente leur permet d'échapper aux poursuites ultérieures...

Le BOUILLON était préfet en Corse auparavant, distillant alors des permis de construire arrangeants...







Maintenant, que l'on me prouve que l'affaire que je subis n'est pas un coup monté à but politique, au niveau national, pour me réduire au silence.

Parce que moi, j'ai bien les preuves du contraire, par la démonstration du faisceau de circonstances avérées et de la connexion entre tous les protagonistes, de leurs mobiles, pour leurs bénéfices mutuels...







L'aparté de luxe. BILDERBERG.




Le crime d''État Ultime, celui de Haute Trahison, est caractérisé en ce qui concerne autant E. MACRON que E. PHILIPPE, en la connivence avec une ou plusieurs puissances étrangères.

Cet extrême délit a été commis avant et après son élection, et donc sous sa fonction présidentielle, et est toujours d'actualité.




En 2015, E. MACRON a rejoint officiellement le « Groupe ».

En 2016, son acolyte, occulté alors, et futur premier ministre, et donc tout aussi coupable de crime d'État de Haute Trahison, l'Édouard PHILIPPE, rejoint officiellement le même groupe de trafiquants d'influences.

Anecdotiquement, en 2018, E. MACRON au DANEMARK, encense le peuple « Nord Européen », tout autant qu'il critique, fustige et méprise le peuple français, son propre peuple pour et par lequel il a été élu.




Et n'oublions, le troisième acolyte, celui de l'ombre, Alexis KOHLER.




Pour information, les seuls membres permanents de ce groupe de décideurs à proprement parler, sont ceux du comité directeur, dont le président actuel, depuis 2012, est Henri DE CASTRIES, PDG d'AXA jusqu'en août 2016...







Et nouveauté 2019, le cas Facebook.




MACRON et sa clique malfaisante, faisant face aux gilets jaunes qui puisaient leur force par un moyen de communication, et donc de réunion et d'organisations des manifestations, devaient endiguer, du moins anticiper les manœuvres révolutionnaires du peuple mécontent.

Ce gênant outil était « FACEBOOK ».

Mais comment le maîtriser, le censurer ?

Par l'infiltration, mais (semi)officielle celle-là.

Ils ont joué du principe que j'ai déjà expliqué.

Le chantage fiscal.

« FACEBOOK » était sous la menace de sanctions financières de plusieurs dizaines, voire de centaines de millions d'euros par le fisc français.

C'était en suspens.

Le MACRON a convoqué (sic) le ZUCKERBERG, qui a obtempéré ipso facto, et est même venu à plat ventre.

Et pour cause, il y avait de l'argent en jeu.

Et quand il s'agit d'argent, américain et juif, il était doublement à l'écoute, notamment si cette monnaie allait sortir de sa poche.

Le deal était simple.

Il donnait les clés de « FACEBOOK France ».

Ce fut fait immédiatement, et la filiale française a été jointe à une cellule policière, à la fois pour identifier les opposants, mais aussi pour connaître leurs objectifs hebdomadaires, leurs connexions, et au besoin les réduire au silence, du moins médiatique et sur les réseaux sociaux.

N'ayant jamais été inquiété par une quelconque censure auparavant quant au compte de mon ONG « ANOTOW », je me suis alors retrouvé plusieurs fois systématiquement bloqué, banni d'accès pour quelques jours, du moins de publication, sous de fallacieux indéfinis et abscons prétextes, par une sanction, une punition, un jugement arbitraire rendu par on ne sait qui, et contre lequel il est absolument impossible de faire appel.

Il faut subir. Point.

Et étrangement, cela s'est toujours passé à des moments cruciaux, comme avant l'élection européenne, ou quand j'ai voulu lancer une manifestation contre des nazis français...

Il est intéressant de noter que la malhonnêteté n'ayant pas de limite, autant chez « FACEBOOK » (en général) que chez ceux de la secte, ils se sont permis une escroquerie.

J'étais alors sous une sanction d'interdiction d'accès, mais auparavant, j'avais lancé une campagne médiatique payante pour une manifestation à « CAEN ENCHERES » contre ces nazis.

Je ne pouvais rien faire sur ce réseau social, « FACEBOOK France » supprimant systématiquement mes « posts » dits « litigieux », et la campagne avait été censurée de multiple fois, sans raison, si ce n'est qu'elle comportait le mot « nazi », mais les gens de « FACEBOOK France » ont quand même prélevé l'argent pour ladite campagne, pourtant annulée.

Abusivement, évidemment, portant à une escroquerie !




Leur fourberie se perpétrait parfois par un barrage spécifique. Mon texte publié n'était visible que de moi, même pas de mes « followers ».

Et évidemment, une telle communication est soumise à une date finale, celle de l'événement.

Mon compte a été débloqué juste après la date fatidique.




La secte de MAC(R)ON s'est acheté « FACEBOOK France » avec l'argent de l'état, avec celui des contribuables, des citoyens.




Chapitre 6 : Aparté sur les pratiques lâches et vicieuses des acteurs de la Française-Maconnerie face à des ennemis d'opinion, de religion et de dogme.

Pour ceux, et vous êtes nombreux, et parmi vous il y a même des adeptes, qui ne connaissent pas les véritables rouages de cette secte, car elle en est bien une, sinon, pourquoi emploierait-elle exactement les mêmes mécanismes psychologiques de racolage, d'enrôlement et de maintien en son sein, et pour ceux, naïfs, qui croient qu'elle est un “bienfait pour l'Humanité en l'éclairant”, il est important de leur apporter des précisions réelles sur les méthodes et les stratégies employées telles un dogme, dont le point commun est la duplicité, dans laquelle sont animés, entremêlés, la couardise, le mensonge, le travestissement de la vérité, cette dernière en subissant les outrages, soit en présentant fallacieusement sous un bon éclairage de prétendus actes bénéfiques qu'ils s'approprient, soit en occultant bien, ceux peu glorieux, dont ils en sont l'origine.




Il faut bien y distinguer la basse-cour et les saigneurs (sic).

Les premiers sont utilisés par les derniers, souvent à leur insu, ne sachant même pas quel dessein ils servent.

C'est dire s'ils sont bien cons.




Ces « saigneurs » ne sont intéressés que par le pouvoir absolu, et ne sont motivés que par l'avidité de détenir toutes les propriétés matérielles et intellectuelles, mais sans les contre-coups, sans les néfastes responsabilités, sans les risques encourus pour les obtenir, puisqu'ils sont accaparés par ruse, par extorsion, par expropriation, par détournement, par vol.

Et ils sont obsédés par une sorte de nécessité d'associer leurs sales forfaits à une belle, bonne et bienveillante image.

Ils ont à travestir la vérité puisque cette dernière les montre sous leur vrai visage.




La réalité est qu'ils sont exactement l'opposé de ce qu'ils prétendent être, de ce qu'ils clament moralement appartenir.

« Le goût exclusif et à l'extrême du lucre » devrait être leur devise.




Leur méthode de racolage est de faire du prosélytisme dissimulé, en infiltrant tous les milieux, souvent à posteriori.

Pour ce faire, ils démarchent les nouveaux venus, les derniers arrivants à un poste, nommés ou élus. Comme, par exemple, celui de maire dans un village, comme, par exemple, dans le département du Var, comme, par exemple, au Beausset...




Leur stratégie générale est l'action en catimini, à l'insu.




Pour cela, ils utilisent toujours des pare-feux, c'est-à-dire, des stratagèmes basiques qui ne pourront relier factuellement, et le commanditaire, et le mobile réel, et ce, par l'usage systématique du « bouc émissaire », du fusible humain, et du paravent, afin de continuer à détourner l'attention de leur véritable dessein.

Et le tout, pour toujours passer pour l'innocent, la victime, la « blanche colombe ».

Du reste, pour contrecarrer ceux qui les dénoncent, ils ne contre-argumentent pas. C'est trop dangereux, et très difficile puisque leurs détracteurs disent la vérité.

Aussi, ils optent pour la dérision, la moquerie, le quolibet, par l'affirmation ironique appuyée et exagérée.

C'est la même technique pour se défausser, qu'utilisent ces « bons penseurs » qui dénoncent la fameuse et à la mode, idée, sous forme généraliste, fourre-tout mental, de « complotisme ».

Ils bannissent toute pensée rebelle à toute version officielle, même si cette dernière n'est qu'une hypothèse, une théorie, une probabilité, basée sur de mêmes qualités de fondements incertains que celles vilipendées.

Le mensonge et le reniement absolu, revendiqués comme « maître étalon » (sic).




Leur but est de lisser.

Toute personne doit avoir un caractère policé, sans humeur, sans avis autre que le leur, bref, toute personne doit être un robot obéissant et uniforme.

Éditer une « histoire » leur fait croire qu'elle est factuellement authentique, par la croyance en elle qui est répandue dans les esprits. Mais il leur faut une apparence noble.

Pour cela, ils entretiennent le mystère sur leurs desseins, faisant étalage de cette absolue nécessité de discrétion pour ne pas être attaqués par leurs ennemis, évidemment nombreux, et mauvais.

Aussi, tel un « parrain » qui fait don de charité pour s'habiller d'une urbaine image de notable, ceux-là de la secte infiltrent, et même créent des organismes censés débusquer les vices.

Par exemple, les associations à but non lucratif, prétendument « anti-corruption », ou prétendument « Pour la protection de la Nature, de l'environnement », ou « Interpol », police semi-privée, financée par de grandes entreprises, mais officialisée on ne sait trop comment, comme sa douteuse légitimité et légalité...

Ils maîtrisent ainsi la communication, et sont en première ligne pour apprendre ce qu'il se trame contre leurs intérêts, pour anticiper tout dérapage judiciaire, et pour allumer éventuellement un contre-feu à ce qu'il leur serait défavorable, en émettant une déclaration médiatique.




Il y est 3 principes fondamentaux pour s'attaquer à ses ennemis, c'est-à-dire, ceux qui lui feraient concurrence, ceux qui dénoncent ses crimes, ceux qui n'abondent pas dans leur sens immoraux et profitables, ceux qui refusent d'y adhérer et de devenir leur disciple après de nombreuses tentatives de racolage, dès lors que vous avez obtenu un poste important à responsabilité.

Le premier pan de leur stratégie est de ne pas relier le commanditaire à l'action menée, et ce, à double raison, celle qui risquerait de démontrer la réelle motivation et le but à atteindre, et celle de mettre en cause ceux-ci en cas de riposte judiciaire, de mise au jour du traquenard.

Pour ce faire, rien de plus facile que d'utiliser des subalternes qui feront la sale besogne officielle, tout guillerets de participer à une entreprise dans laquelle ils se sentent être investis d'une noble mission, tout étant, vanité oblige, regonflé à bloc d'une telle confiance de la part de leur petit supérieur.

Des sous-fifres, il y en a pléthore, comme des sous-préfets, des substituts de procureurs, des gendarmes novices, des sous-officiers, ou simplement adjudants, des greffiers, des clercs d'huissier, etc.

Le deuxième est de ne pas dévoiler le véritable motif, mais plutôt de mettre en exergue autre chose, un autre grief, afin, toujours à double effet, de ne pas donner un moyen précis et justifié de la cause de ces actions en les mettant au jour comme des représailles, qu'elles sont cependant, et de semer aussi le doute sur ces dernières, tout en détournant l'attention sur un point annexe insignifiant qui fera perdre du temps, de l'argent et de l'énergie au défenseur.




Fort de ces deux principaux dogmes, il ressort le troisième, s'attaquer toujours indirectement, et pour ce faire, aux personnes de l'entourage de celui visé !

Le but essentiel étant de ne pas relier la réelle cause à l'effet, mais surtout, d'isoler la cible.




Vous remarquerez le parallèle avec mes amères mésaventures...

“Ils” ont utilisé des sous-fifres, « ils » ont utilisé de fausses accusations basées sur de faux délits, et « ils » ont même inventé des écrits qu'« ils » m'ont attribués. Et « ils » avaient commencé il y a quelques années, par s'attaquer aux personnes en qui j'avais de l'affection et du respect, comme mon notaire d'alors, par les mêmes moyens crapuleux d'usage du système judiciaire avec des faux.




Ainsi donc, quand vous avez une armée de l'ombre qui agit en catimini, au sein de toutes les arcanes des pouvoirs, et que vous pouvez en tirer les ficelles, de surcroît, en toute impunité puisque ceux de l'institution qui pourraient vous poursuivre et vous condamner sont vos « frères et sœurs », tout est possible.




Il suffit donc d'avoir des adeptes dans la magistrature, du greffier (insignifiant par le fait que personne ne le remarque, invisible, mais très important personnage pour faire des faux...), au juge, en passant par la troupe du procureur. Troupe, car ils sont bien plusieurs à hanter ce poste, puisqu'il y a les obscurs substituts et vices. Idem pour les préfets...

Et le tout aidé par des forces physiques, armées, aux ordres.

Il n'est pas si mal interprété de dire « armée », puisque la gendarmerderie française est infestée par la « française-maconnerie ».

Une police militaire qui a le pouvoir sur le peuple, sur des civils, et en temps de paix, et aux ordres de la secte.

Et si la secte a un de ses aficionados à la tête du gouvernement, alors, c'est le GRAAL...




Même les gendarmes non membres obéissent aux commandements, par leur fameux sens hiérarchique exacerbé qui les oblige à ne pas les discuter. Ou alors, ils n'ont qu'à se suicider.

Une police militaire qui exerce un pouvoir coercitif omniprésent dans le monde civil, depuis la circulation routière, aux enquêtes criminelles, en passant par la « sauvegarde » en montagne, le tout en protégeant la magistrature, et cette dernière les protégeant.

Nous en voyons un bel exemple avec « mon affaire ».




Et même avec le boxeur qui s'est attaqué à mains nues à un gendarme, casqué, muni d'un écran de protection, équipé d'un équipement corporel de haute protection, armé d'une matraque, protégé par un bouclier...

Le pauvre gentil gendarme se plaint, et c'est le salaud de civil qui est mis en détention provisoire, procédure bafouant la présomption d'innocence, notamment au regard de subir une condamnation irréparable sans qu'elle eut été prononcée. Ces droits lui ont été volés !

De plus, et c'est consternant de paradoxe, une absolue négation de la piètre qualité de ce « serviteur » de la paix qui devrait avoir honte, car il démontre la médiocrité de sa qualification quant à sa fonction, celle prétendue de défendre le citoyen, quand lui-même n'est pas capable de le faire pour sa personne, avec tout l'attirail de défense et même offensif dont il est équipé ! Et face à un homme à mains nues !

On redoute de penser que l'on pourrait être dans une situation dans laquelle on serait prétendument défendu par ce pleutre...

Quant à l'acte d'injustice du gendarme qui a causé cette réaction du boxeur, elle a été effacée !

Donc, quand un groupuscule religieux, sectaire, détient le pouvoir absolu, ayant des agents infiltrés dans tous les rouages des pouvoirs d'une république, nous ne pouvons plus parler de démocratie, mais plutôt de dictature dissimulée.

Elle est au sein de l'État français, par l'infiltration, par la corruption de tous ses engrenages.

Du grouillot, qui servira d'homme (ou femme) de paille, et de fusible occasionnellement, au plus haut statut.

La technique du chantage, de l'extorsion, de la rançon.

Par exemple, les procureurs et ses subalternes, par les plaintes qu'ils reçoivent, obtiennent, sans rien faire, assis dans leur fauteuil, fiche de salaire en main, des « dossiers » fournis gratuitement.

Eux seuls décident de poursuivre, ou de ne pas poursuivre.

Sans justification, ni de raison juridique.

Eux seuls décident de jeter la plainte à la poubelle, ou de l'utiliser à des fins personnelles.

Si une plainte concerne un de leurs chers « Frères » ou « Sœurs », elle est détruite, ou « égarée ». Comme les preuves, d'ailleurs...

Et si elle concerne un de leurs ennemis, ils la conservent précieusement, et l'utilisent en matière de chantage, soit pour obtenir un échange de bons procédés, c'est-à-dire, l'abandon réciproque de poursuites qui cibleraient un de leurs « amis », soit simplement pour spolier ledit opposant, si tant est qu'il présente un intérêt financier sur lequel ils veulent faire main basse.

Et vous, plaignant, victime, vous n'en saurez rien, si ce n'est que votre plainte est partie aux oubliettes, officiellement.

Et s'ils ont besoin d'un faux, un amical greffier ne s'en gênera pas, lui suffisant d'apposer un tampon, et d'oublier de signer et de mentionner son nom, pour ne pas être identifié en cas de pépin...

Qui irait prétendre mettre à l'index, un « vrai faux vrai » document officiel ?!

Et je sais de quoi je parle, j'ai été confronté à de nombreux faux établis par des greffiers fantômes, des huissiers...

Tout comme d'obscurs sous-procureurs m'ont parfois répondu qu'ils ne donneraient pas suite à ma plainte, et ce, sans même mentionner de quelle affaire il s'agissait !




Avec toutes ces spoliations, ces coups tordus, en toute impunité, depuis des lustres, leurs moyens et leurs pouvoirs financiers sont incommensurables.

Ils pillent les états.

Et l'État français n'est pas épargné.

Bien au contraire, des sociétés maconniques comme « VINCI » profitent de l'aubaine, arnaquant le(s) pays, en faisant main basse sur les autoroutes, les aéroports, les ports, à un niveau international.

Ce, autant pour le lucre que pour l'outil de surveillance des mouvements des individus qu'ils procurent...

Ce n'est pas pour rien que de véritables mafieux liés au grand banditisme, à des organisations criminelles internationales, sont à la tête de ces loges.




Pour exemple, il y a quelques années, il y eut une rébellion au sein de l'une d'entre elles, au niveau national, certains « honnêtes naïfs » de la base refusant la nomination au plus grand échelon, d'une crapule, d'un véritable « parrain » mafieux.

Ils furent répudiés ! GLNF ? Ou GOF ? A vous de trouver...




Nous ne pouvons même plus parler de démocratie au niveau électoral, quand on voit ces mêmes pouvoirs utiliser la loi à leur seul avantage, la détournant même, pour faire taire les concurrents.




Pour flâner un peu dans les sphères politiques françaises à leur sujet, leur lâcheté atavique les contraint systématiquement à combattre, à détruire, et à ré-écrire ce qui ne leur sied pas.

Le mensonge est de leurs armes principales.

C'est compréhensible, la couardise oblige à réfuter, à nier, pour éviter d'assumer, de payer.

Ce dernier terme les effraie au plus haut point, « Payer ».

Et je parle au niveau pécuniaire.

L'avidité va de pair avec leur fausseté, leur bassesse, leur vilenie, et leur poltronnerie.

Nous le constatons avec mes mésaventures, qui, somme toute, proviennent du fait que de médiocres salauds de basse-fosse refusent de rembourser une simple somme de 15.000 euros.

Rembourser, pas payer !

Et pour cela, « ils » sont tous capables d'éliminer quelqu'un !




Pour autre exemple, le MACRON a fait le fanfaron en disant qu'il assumait, au regard du cas « Bounoulla ».

Mais, ce n'est que pur langage, aucun acte, aucune peine en contre-partie.

Normalement, assumer, c'est payer !

Il se sait à l'abri des tourments de la Justice par son immunité présidentielle et par ses disciples maconniques, aussi, il est facile de déclamer de telles prétentions, même pour le pire des pleutres.




Les « français-macons » réussissent à porter à son excellence la notion de lâcheté, car, non seulement ils attaquent en meute, même une seule personne, mais de plus, ils le font d'obscures manières, usant de faux semblants et de moyens détournés, avec, au surplus, le vice de les faire exécuter par d'autres, subalternes, évidemment.

Une triple protection.

Je ne sais s'il est possible d'agir de plus couarde façon.

Quoi qu'il en soit, la noblesse, la chevalerie n'est point de leur définition.




Par ailleurs, ce serait un tort que de penser qu'ils préfèrent la discrétion pour éviter brimades et répressions, suite à leurs expériences passées de martyrs.

C'est leur rengaine, bien pratique, et bien mensongère.

Si ces gens là n'avaient rien à se (faire) reprocher, s'ils faisaient le bien comme ils le prétendent, ils n'auraient rien à craindre, et encore moins de le faire savoir, surtout en période de démocratie.




Leur seul objectif n'est pas l'illumination des esprits, mais l'obscurantisme, par un autre éclairage, biaisé, qui favorise aussi la mise en ombre...

Si lumière il y a, elle n'est uniquement qu'en leur faveur, et par le spectre qui les présente sous un faux jour artificiel tout à leur avantage.




Et quant à leur fameuse opposition viscérale à la dictature, au fascisme, se présentant comme des sauveurs de l'Humanité, ou des garants de la démocratie, ce n'est uniquement que parce qu'ils en ont subi les affres durant ces dures mais justes périodes.

Ils ne sont pas contre l'autocratie.

Bien au contraire, ils sont contre toute forme de totalitarisme qui ne leur sied pas, ou qui n'est pas de leur initiative.

La preuve en est avec la Russie, l'Iran, et dernièrement le Brésil, où ces « enlumineurs » intellectuels baignent avec les « nouveaux venus » du monde politique.

A leurs sujets, ce qui est amusant, c'est de constater l'ostensible criante homophobie de leurs dirigeants, alors qu'ils sont acoquinés avec cette secte de sodomites.




Pour finir sur ce point, la « franc-maçonnerie » (sic) combat les formes connues de religion, non pas frontalement, ils sont trop lâches, mais en les pourrissant de l'intérieur.




Ainsi, ils ont infiltré le Vatican, et bien d'autres lieux symboliques cultuels...

Les musulmans, moins cons sur ce point, ou plus lucides, plus affranchis, s'en méfient.

Et la secte est interdite dans les pays où l'Islam est la seule officielle.

Sauf au Maroc. Cherchez l'erreur...




Quoi qu'il en soit, que l'on soit croyant ou agnostique, ou même athée, on ne peut renier les faits.

C'est-à-dire, ce en quoi ils croient, et agissent.




La « franc-maçonnerie » (sic) est issue initialement de la séparation dieu/diable (sic et sic), ses adeptes étant les suppôts de ce dernier.

Pour information, je ne mets jamais de majuscule aux noms « dieu » et « diable » en matière de philosophie et dans les circonstances telles que celles-ci, afin d'éviter qu'ils soient identifiés par rapport à une religion, ou à une autre. L'emploi de minuscule, ou plutôt le non emploi de majuscule, est juste pour englober la définition linguistique de ces divinités, et qu'elles ne soient absolument pas circonscrites à une expression par rapport à une méthode spécifique de culte.




Je dis « issue », non par ce fait, dont je ne sais s'il est réel ou non, ou simplement partiel, ni même quant à l'existence ou non de ces divinités, mais du point de vue de leur état d'esprit, de leur croyance, de leur dogme, pour lesquels ces adeptes agissent en conséquences.

Ainsi, ces adorateurs sataniques (sic) sont évidemment contre « dieu », et tout ce qu'il représente par définition. Et par création.

La Nature, et bien évidemment les animaux, étant par identification biblique, de conception divine, de son fait, ne sont pas de leur affection.

Bien au contraire.

Aucun « franc-maçon » (sic), aucun « français-macon », pourtant si puissant qu'il soit, pourtant si infiltré dans toutes les arcanes des pouvoirs qu'il soit, n'a fait quelque chose pour protéger la Nature, l'environnement et les animaux.




Pour exemple, le maître MACRON est pour la chasse à courre...

Sans compter ses actions musclées, délibérées et autoritaires, pour salir tout ce qui représente l'équivalent « matière », « concret », de dieu, c'est-à-dire, la Nature, et ce, au bénéfice de ce qui est construit par l'Homme, de ce qui prend le pas sur cette dernière au point de la détruire, comme l'industrialisation et l'urbanisation outrancière qui fait montre toujours d'une « Nature », quand elle reste présente, toujours maîtrisée à l'absolu...

Il n'y a qu'à constater à ce sujet, son étrange attitude inactive via son ministère, une d'autant plus étonnante absence de détermination, de volontarisme, de la part d'un hyperactif voulant absolument tout diriger...

Dans la même veine, mais active celle-ci, il y a le fait réel de son action en faveur de la pollution de la Méditerranée par les nocives « Boues Rouges », qu'il porte à son « tableau d'honneur », un trophée moral et intra-social qui célèbre sa position élevée de haut dignitaire disciple au dogme...

Et pour donner le change auprès du peuple, et auprès des institutions concernées comme les associations pour la protection de l'environnement, comme un alibi moral, il critique ouvertement Donald TRUMP. Un sujet facile à utiliser avec les abrutis de journalistes français (sic pléonasme), gaucho-bobos...

Et pendant ce temps, il ne fait rien pour la planète, sauf élucubrer en détournant un slogan, qui en devient ridicule, puéril et immature...




L'environnement naturel représente pour eux, un chaos, le désordre, et par opposition, ils sont pour un univers structuré et méthodique, l'ordre.

Ceux qui connaissent un peu la physique, je dirais que le côté diable défini franc-maçonnique est assimilable à la théorie de la Relativité, représentant un univers somme toute figé, contrôlé, édicté, maîtrisé à l'absolu, quand celui de dieu est le pendant par la mécanique quantique.




Dans la même veine de la conception de la séparation divine, la femme est leur idole. « Columbia »...

Et oui, ces apparents mâles, souvent « blancs et habitants de beaux quartiers » (sic), se montrant toujours (trop) virils, voire (trop) machos, se prosternent devant une « bonne » femme.

Enfin, « bonne »... Façon de parler.

Et il est à ajouter que notre charmante Marianne a été « élue » sans réelle pertinence, plutôt imposée comme effigie, comme symbole de la France, par la secte. Toujours une femme...

C'est pour cela que les homosexuels, et homosexuelles, se « retrouvent » « spirituellement » dans la secte.

Il ne faut pas oublier que, bibliquement, la « Femme » est un sous-produit de l'Homme.




Certes, certains pourraient dire qu'elle est plutôt une évolution, une amélioration de la création originelle.

Mais, au vu de leurs sales, sombres et occultes desseins, et de leurs toutes aussi sales actions, dissimulations, perversions, je ne pourrais que pencher pour la première option.




Nous pouvons même remonter à leur origine, la frange mercantile du peuple juif.

Avant le judaïsme, imposé d'une manière subtile, il y avait au sein de ce peuple, parmi le polythéisme, le culte du Veau d'Or.

Ceux qui tenaient et tiraient les ficelles du pouvoir lucratif de toutes leurs croyances, voyaient d'un mauvais œil, au niveau business, cette théorie portant à un dieu unique.

Mais, après s'y être vertement opposé, et après avoir constaté que ce moderne courant spirituel s'enflammait, ces mêmes « commerçants » ont alors trouvé profit, et en ont retiré d'autant les bénéfices.

Bien plus tard, quand Jésus est arrivé, et a commencé à mettre le « bordel », devenant une gêne pour leurs affaires, ceux-là ont décidé de l'éliminer, mais d'une manière « propre », par le système judiciaire en place, incontestable car officiel, et aux yeux de tous.

Un gros coup de « com » !

Ceux-là ont utilisé des subterfuges et des hommes de paille.

Cette particulière duplicité ne vous rappelle rien ?

La « franc-maçonnerie » (sic) est la suite, le côté non judaïque du peuple juif.




Et quand je compare les prétendues menaces physiques que j'aurais faites, inexistantes en réalité, à leur simulacre d'intronisation, avec de ridicules accoutrements, par lequel ils précisent et avertissent leurs nouveaux venus qu'ils seront égorgés (sic) s'ils révèlent leur secret, et/ou quittent la secte...

C'est plus que « l'hôpital qui se gausse de la charité »  !

Et personne n'ose dénoncer que c'est bien une secte avec de tels sales propos !

Qui peut affirmer qu'elle est du côté du « bien » en tenant de si viles mises en garde ?




D'autant que si elle tient ses promesses de ce qu'elle avance être, c'est-à-dire l'« illumination pour le bienfait de l'Humanité », l'objet « phare » pour lequel ces « gens » en deviennent ses adeptes en toute sincérité, lequel en démissionnerait ?

Et que pourrait-il dénoncer de si irrévérencieux, ou de si dangereux ?

Nous constatons ainsi, sans l'ombre d'un doute, leur paradoxe « commercial », et la preuve de leur duplicité.

Quoi qu'il en soit, aucune religion, aucune secte, aucun dogme prônant le bienfait de l'Humanité ne proclame un tel sordide et sanglant avertissement, qui est, quoi qu'il en soit, absolument contre la Loi, d'en France, et d'ailleurs !

Leur principal objectif est d'imposer leur vision d'une manière celée, et ce, d'une force dictatoriale implacable.

La maîtrise de tout, le contrôle de tout le monde.

C'est pour cela qu'ils sont aussi contre le choix de fin de vie, l'euthanasie. Rien d'éthique, ou de moral.




Par extension, ils sont contre la chance et les personnes chanceuses.

En effet, ils considèrent cette manne providentielle comme étant le résultat d'une aide « divine », ce qui en fait une sorte d'assistance de l'Univers, et comme leur raison d'être est d'être leur propre maître de leur devenir, ils détestent et combattent ceux qui bénéficient de ce type d'octroi divin.

Ils essayent en premier lieu de les convertir, de les enrôler.




Quant à leur « G », qu'ils prétendent être l'initiale de « Geometry », je pencherais plutôt pour « Greed » (avidité) !




Pour conclure d'une manière candide, il est consternant de constater que cette opposition, cette confrontation, et ce conflit grandissant entre ces deux pôles, obligent chacun de nous à choisir un camp.

Et donc de renoncer à l'autre.

Je ne parle pas au niveau des actes, d'avoir à choisir d'être un salaud, ou pas, d'être une personne du « bien », ou pas, mais du choix esthétique de tout environnement, car le chaos, comme le structuré ont leurs propres avantages, leurs propres subtilités, et leurs beautés.

Personnellement, j'aime autant la Nature, que les constructions harmonieusement bâties.

En d'autres mots, pourquoi l'Architecture, et tout ce qui est parfaitement ordonné, tel que les Mathématiques, seraient-ils le jardin gardé de cette secte, revendiqués sous exclusivité par cette divinité maligne ?




Et pour achever le propos à leur endroit localisé qui concerne la raison de cet exposé historique, analytique et philosophique, la question est de savoir si toutes les « françaises-maconneries » sont de cet acabit, dirigées par de gros « enculés » de première (dé)classe, tels qu'on les détecte facilement à Toulon, dans le Var, en région PACA ?

Ou, si celles nationales sont un peu plus « honorables ».




Pour être « franc », sachant qu'il n'y a pas que des salauds, je pense que la région Sud est assez spécifique, car, somme toute, les salopards qui se sont ligués pour me réduire au silence, ont pris toutes les mesures pour circonscrire « mon affaire » dans leur fief, y compris celles de nombreuses ruses illégales, et ce, afin qu'elle ne convole pas vers d'autres cieux.

C'est bien qu'ils ont à craindre son bruissement incontrôlé, déjà médiatique, puis juridique sous un ailleurs.

On pourrait presque en déduire que les « français-macons » des autres régions, et particulièrement ceux de la capitale, ne sont pas (tous) des « enculés », au sens figuré, s'entend.

Ou alors, qu'ils n'y sont pas aussi puissants, pas aussi infiltrés, ou qu'ils y ont de coriaces et redoutables adversaires...




Si « Tout est bon dans le cochon », en revanche, « Tout est mauvais dans le mac(r)on » ! Un mac(r)on n'est même pas un porc.




Est-il si nécessaire de mentionner la nomination de la « pute teutonne » qui est désormais à la tête de l'Europe, mise en place le triste sire français.

Ou son coup de pute (décidément) contre Matteo SALVINI, pour l'évincer du pouvoir italien.

Anecdotique ?

Non ! Il est anti-macon et voulait faire une loi éthique interdisant aux « macons » d'être au gouvernement !

Mais, le sale et tordu président italien est de la secte...




Par cet addendum, je tiens à expliquer pourquoi j'écris bien, confirmant du systématique « sic », « français-macons ».

Déjà, je pense qu'il faut bien faire un distinguo entre eux, surtout ceux de certains pays, notamment ceux français, qui sont bien des « enculés », alors que tous ceux du reste de la planète, n'en sont nécessairement pas.

J'ai pu remarquer des différences notables dans d'autres pays, où leur attachement n'est pas si « satanique » que dans l'hexagone, même si leur dessein général s'oriente dans la même veine.

Il est à ajouter que l'utilisation inappropriée, improprement à leur avantage, du terme « franc » me gêne particulièrement, par son opposée réalité, qui demeure fallacieusement arrangeante.

Certes, d'une ancienne définition, ce terme peut aussi désigner la liberté, la non dépendance.

Cependant, il reste de nos jours, d'une mauvaise traduction, typiquement française.

Le terme originel moderne vient d'Outre-Manche, « Free-Mason », dont la traduction est « libre ». Cela est dû à leur dogme, qui fait vœu d'indépendance spirituelle absolue par rapport à l'Univers, tel qu'il a été créé et voulu originellement par son créateur. Un lien divin rompu par leur rituel initiatique, par lequel les individus démissionnent de leur appartenance atavique à dieu.

Certes, pour un autre asservissement...

C'est pour cela que je n'emploie pas « Franc », mais « français ».

Et spécialement quand cela concerne les adeptes du cru, car j'ai cependant l'impression que ceux d'en France sont plus pervers, plus vérolés, plus mafieux que dans la plupart des autres pays.

J'en veux pour preuve que chez certains « ailleurs », il y a même des associations, des partis politiques, des groupements, anti-maçonniques. Et officiellement.

Et même en. Écosse, berceau d'un des plus anciens et des plus grands courants de ce dogme religieux moderne.

Alors qu'il n'y a pas d'opposition officielle en France.

Cherchez l'erreur !




Quant à l'« oubli » de la cédille, c'est plutôt une trace camouflée humoristique, de ce qu'ils sont, reprenant leurs artifices mystérieux et leurs manières occultes de laisser des signes visiblement celés pour les affranchis...

Chapitre 7 : La commune pratique du pratique internement abusif, opéré par la Française-Maconnerie, grâce à la fraternelle complicité de prétendus docteurs en la matière, face à des ennemis d'opinion, de religion et de dogme, contre qui elle ne peut rien juridiquement ou judiciairement

Pour emprisonner quelqu'un sans avoir de compte à rendre au niveau judiciaire et juridique, et donc, sans besoin de légitimité ou/et de preuve de sa responsabilité, de sa culpabilité, et même d'acte répréhensible de sa part, et donc, spécialement quand il est difficile de lui reprocher quelque chose, et pour éviter le subterfuge délicat de faux documents et de fausses accusations qui pourraient être mises à mal et dévoiler les manigances au vu d'une audience en un tribunal, même s'ils ont utilisé cette manière pour amorcer la prise de ma liberté, il n'y a rien de plus pratique que l'internement.

Besoin de rien.

Juste d'un seul psychiatre malhonnête (pléonasme au regard de leur majorité, mais aussi de leurs supposées connaissances en la matière, de leur prétendu titre usurpé de « docteur », et de leurs prétendues méthodes de soins...), voire incompétent, voire pervers, voire moralement abject ou dénué de toute notion, voire « enculé » (au moins au sens figuré), ou le tout à la fois.

En étant membre d'une secte satanique qui a infiltré et corrompu tout le système judiciaire français, magistrats et services de police entremêlés, politiques inclus, ces « docteurs » ont le beau rôle de l'absence de contrariété. Leur édit, leur avis est une sentence que l'on ne peut objecter, que l'on ne peut discuter ni faire appel, sans se retrouver sous le couperet dictatorial de malséance mentale...




Toulon est la ville la plus tordue de la région PACA, bien plus que Marseille, pourtant bien noircie par sa véritable réputation.

Mais, à la différence de cette dernière, grande et véritable ville où il se trouve pouvoirs de tous bords, et contre-pouvoirs, faisant ainsi régner une sorte de virtuel équilibre entre tous les salauds, et auprès de qui on trouvera toujours une aide, non pas pour la justice mais plutôt pour emmerder « l'autre », Toulon est un gros village où un seul maître règne, une seule mafia.

Et comme dans tout village, les milieux criminels et notables sont les mêmes...




Ainsi, pour emprisonner quelqu'un ad vitam æternam, et sans compte à rendre à la justice, puisqu'alors sorti du système judiciaire pour celui du pseudo médical, les législateurs, aussi cons que tordus et malhonnêtes, ont pensé à la présenter sous un air fallacieux d'équité et de probité, en demandant une validation de l'ordre médical par un magistrat... local !

Même par un simple et quelconque maire de village, et même par un de ses sous-fifres !




D'ailleurs, lequel, préfet ou maire, puisqu'il s'agit bien d'eux, ayant tout pouvoir, irait-il à l'encontre d'un avis médical, incorporant notamment la notion de dangerosité, et même seulement de potentialité, et le tout, sans connaître ni avoir rencontré, et donc sans avoir étudié la mesure d'un tel à-propos, la personne mise à l'index ?!

Lequel d'entre eux oserait-il défier la sentence clinique d'un prétendu mais officialisé expert en la matière ?!

C'est même pire, puisqu'un de leurs subalternes, substitut pour le premier, adjoint pour le second, peut user du même pouvoir, décider, valider et signer une telle sentence à leur place.




En ce qui me concerne, ce fut le maire du village de La Vallette-du-Var, Thierry ALBERTINI, aussi conseiller départemental du Var et conseiller métropolitain de Toulon Provence Méditerranée, qui m'a condamné.

Non pas parce que j'avais résidé, ou j'étais un de ses administrés, mais tout simplement parce que la gendarmerderie où j'étais séquestré se trouve sur cette commune !




Cela se passe réellement aussi simplement.




J'ai même eu par la suite, des discours de la part du personnel hospitalier, comme quoi la loi était bien faite, et que l'internement abusif n'existait plus.

Déjà, c'est donc qu'il avait existé, et qu'il avait été reconnu comme tel...

La décision du maire est en alternative avec celle du préfet.

« La loi étant bien faite »(...), la décision doit être entérinée par le préfet, sans trop de notion de temps.

Seule celle du maire suffit pour l'heure.

Celle du préfet peut arriver ultérieurement, qu'importe, comme si elle était de toute évidence, tacite, et incontestablement non opposée...

Condamné d'avance !

Sans droit à un avocat, sans aucun droit de parole, ou de réponse, ou de contre-argumentation.

Bien au contraire, c'est très mal vu d'objecter, même si cette tacite recommandation de se taire, bafoue l'essence même de la présomption d'innocence.

D'autant quand tous ont participé à l'élaboration du traquenard.

Et comme pour toutes les manigances orchestrées par les chefs de cette secte infiltrée, les décideurs n'apparaissent jamais, mais, en lieu et place, toujours les sous-fifres, les moins gradé(e)s, les substitut (e)s, les « sous (e) », les adjoint(e)(s).




Et en ce qui concerne la préfecture, ce fut Emmanuel CAYRON, sous-préfet et directeur de cabinet...




Les « gros bonnets », les « tireurs de ficelles », comme dans toute mafia, comme pour tout crime organisé et tout trafic de haute volée, les chefs, les « caïds », ne sont jamais dans la lumière...

Ce ne sont que les « employés », fusibles judiciaires, qui portent les officielles responsabilités en cas de problème ultérieur.

Les commanditaires ne tombent jamais, ou presque.

D'autant moins quand ils occupent des postes par lesquels ils sont censés combattre ces mêmes crimes...

Les magistrats se protègent eux-mêmes, usant d'illégalités et de vices moraux, comme la gendarmerderie en a fait la démonstration avec l'enquête à charge contre moi, à propos d'une plainte que j'avais adressée à leur encontre...




Alors, en matière d'internement, évidemment abusif et illégitime, et illégal, cela se passe-t-il réellement aussi simplement ?

Oui, contre toute personne, quel que soit le statut, dès lors qu'il est un « gêneur », la définition de ce mot, pour ceux de la secte, étant pour celui qui révèle la vérité, évidemment, celle qui ne leur sied pas, et pire, celle qui dénonce leurs sales forfaits.

Je citerai deux manifestes exemples de démonstration.

Marc GRANIÉ était un gendarme émérite depuis des décennies.

Il eut ses heures de gloire en tant que pilote motard dans des compétitions pour le compte de la Gendarmerderie. L'argent du contribuable... Mais, ce n'est point le propos.

C'était dans les années 80.

Il a donc connu la période « Coluche », et évidemment les circonstances de son « accident ». Mais, apparemment, il était dans la confidence de certains points, celés dans la version officielle.

Il y a peu de temps, en 2018, Marc GRANIÉ a commencé à vouloir s'épancher sur ce qu'il savait, sur cette période, comme au regard de l'affaire « COLUCHE », mais aussi celle de la « noyade » dans une flaque d’eau de Robert BOULIN, ou celle du suicide insisté de BÉRÉGOVOY, et de plus, de ce qu'il s'était et se tramait toujours et encore plus, dans cette armée à l'encontre des civils.

Il a été arrêté en public le 04 mai 2018, et interné plusieurs mois.

Il est à préciser qu'il avait précédemment échappé à certaines tentatives de « suppression de vie »...

À sa sortie, condamné à la fermer, il fit une déclaration laconique comme quoi il voulait désormais se consacrer à sa famille.

Il est aisé de comprendre que, non seulement des exactions physique en une séquestration arbitraire avaient fait leur effet, mais aussi, qu'il se trouvait sous des menaces à l'encontre de sa famille.




Le second cas est celui de Jean-Louis CACCOMO, professeur d’économie à l’université de Perpignan.

Il a été interné le 14 février 2013, pendant 16 mois, parce que la direction de l'université en la personne de Fabrice LORENTE, l'avait signalé aux autorités dites compétentes.

Des années plus tôt, Jean-Louis CACCOMO avait témoigné au sujet d'une scabreuse affaire frauduleuse qui consistait au fait que l’« université », le directeur en fait, revendait de faux diplômes à des étudiants chinois...




Tout ce bref résumé circonstancié pour exprimer la justification de mes dépôts de plainte auprès de la Commission Européenne et auprès de l'ONU, au sujet de la violation multiple et systématique des Droits de l'Homme, à mon corps défendant certes, dont vous trouverez la teneur dans les deux chapitres suivants, mais aussi, en une généralité de solution de réduire au silence par l'internement abusif.




Petit aparté sur d'autres pratiques en internement. Le viol et le proxénétisme forcé protégés par les autorités.




Courant décembre 2019, je découvre sur internet, dans un forum de « Youtube », un message d'alerte, un S.O.S. lancé par une victime de viol à répétitions, et pire, de prostitution forcée.

La personne semble être internée au centre hospitalier « Camille Claudel », à Angoulême.

Ses deux appels à l'aide sont particulièrement précis et explicites, nommant même ses tortionnaires, avec leurs numéros de téléphone.

Le récit ne peut être considéré pour un canular, ni pour une divagation mentale, sauf par un gros con, un vicelard, ou un « corrompu ».

Me trouvant à l'étranger, j'ai cherché sur internet quelle administration judiciaire contacter afin de les informer, de les alerter pour qu'ils entreprennent des mesures de sauvetage.

Rien, sur internet.

Les seuls sites officiels sont ceux du Ministère de l'Intérieur qui ne relatent que les mérites de chacune de ses sous-administrations.

Ils se gargarisent de prétendument hauts faits, mais rien pour les victimes.

La « Brigade de Répression du Proxénétisme » (BRP) n'existe plus, ou fait partie, je ne sais pas, et je n'ai pu le déterminer, de l'« Office Central pour la Répression de la Traite des Êtres Humains » (OCRTEH).

Bref, j'ai dû appeler ces derniers par téléphone, puisque le seul service qui se rapproche à de tels sales méfaits, est celui-ci.

Je tombe sur le standard du Ministère de l'Intérieur...

Quel meilleur moyen pour être informé en première ligne de délits commis par des « amis » fraternels, et pour enrayer toute divulgation à de vrais flics intègres. Le filtre, la censure

La personne me bascule vers cet office.

Une autre standardiste, qui ne p(v)eut me passer aucun inspecteur, prend le message...

J'insiste sur la grave, critique et urgente situation, lui laissant mes coordonnées, notamment mon courriel, afin qu'un enquêteur me contacte, que je lui donne tous les détails et qu'il agisse au plus vite.

Je n'ai jamais eu de retour ! La Police Française !

La sale incompétente standardiste, qui ne doit pas quitter du regard l'horloge jusqu'à la fin de son temps quotidien, n'a rien fait.

Elle était, et est toujours, à moins d'un prodigieux éclair d'un génie (sic), aussi conne. Elle m'avait demandé auparavant que je n'insiste sur la gravité de la situation, que je me rende dans un commissariat ou une gendarmerderie, sachant que je lui avais bien stipulé que je me trouvais à l'étranger, et que je n'étais qu'un témoin plus qu'indirect, voulant juste faire un signalement.

Alors, saisissant que je n'étais pas en France, elle me conseilla d'aller dans un bureau de police du pays où je me trouvais. Elle pensait que j'étais à l'étranger, que j'y avais découvert ces crimes dans un établissement d'une ville étrangère, et que je voulais en informer les autorités françaises !

Comment pourrait-on être plus stupide ?!




Quant au formulaire de plainte en ligne, réservé à quelques restreints cas spéciaux pour les victimes, je l'ai cependant envoyé afin que la teneur gravissime et urgente élabore un sursaut de moralité et de conscience, du moins professionnelle, dans le petit cerveau du réceptionnaire, et qu'il identifie le département adéquat dans la Police, pour leur transmette au plus vite.

Et ce, quel qu'en fut la teneur non conforme à leurs préceptes, d'utilisation dudit formulaire de ladite procédure exclusive.

Qu'a répondu ce malpropre, planqué derrière son ordinateur ?

Que je n'avais qu'à aller dans un commissariat...

Comme disait Georges, au sujet des cons, c'est de même pour les salauds.










Je ne peux décemment, ne pas inscrire ici ces deux appels à l'aide, pour être sauvée d'une prostitution forcée dans un hôpital :




« Ccfdrespectsolidarite Jean Philippe mangeon c'est serge bourguignon. P. R. O. X. O.. . et. C'est monster! il nous violente nous viol nous séquestre 38 rue saint esprit il nous passe dessus sans payer en plus il nous livre à la prostitution no 06 78 98 50 53 se fait passer pour SOS depannage le 10 ou 11 nov 19 vers midi il a notre montre. . 06 85 39 07 75 ce fait appeler bel Valentine voix de femme ! C'est mangeon les portables sot des balises argos et on peux pas arrêter cette chienlit ? si on s'oppose à la prostitution jean Philippe mangeon serge bourguignon 04 73 27 41 11 Cécilia camia planches and Co nous attachent nous sedatent clopixol +risperdone dans la même seringue +sysmotherapie dans des conditions mystérieuses dans des pièces dissimulées spécialement aménagées de l'hôpital ! Si c'était légal nous aurions des informations loi 1110.2 art. 311-1. 313-1.441-1 lunettes cassées ! Ça gêne personne ! C'est maly il ressemble à Marc dutroux ! ça va durer longtemps si quelqu'un sait faire...... Caeserio »

et

« @kaiser cris ils font deasch retrouvez 06 78 97 23 08 loi Jourdan plan marschall retrouvez bessevre besse oubrousse Michèle villemeyre ou villemegeanne Audrey Schmitt anglade auguste auguste l'europe est en danger 05 45 67 59 59 a appelé. Notre. Dame Ca vient d'eux boulangerie chevalier 04 7327 41 11 a ppele le 2 au matin ou le 3 2019 vers 9moins 20 apres le kidnapping ils on dit "défaite vous !" ils font des electrochoc ils prennent tout les médicaments refuses les soin ils enmeneent les individu kidnappes aux urgence rue montalembert ».




Chapitre 8 : L'incontestable connexion internationale par la corruption, d'une part, de la partie européenne de l'ONU, à Genève, et d'autre part, de la Commission Européenne à Bruxelles, par la Française-Maconnerie

Pour être bref, voici la plainte adressée à l'« ONU », malheureusement celui de Genève. Malheureusement parce que les personnes en ce siège sont corrompues, acquis à la cause maconnique, déjà par une proximité géographique, mais aussi par celle linguistique, puisque francophones.

Ces personnes, toujours au bas de l'échelle, secrétaires, greffiers et clercs, mais insidieusement très puissantes pour faire barrage à toute remontée au niveau nécessaire pour ne plus pouvoir être ignorée, ont étouffé l'affaire en répondant, bien des mois après, que cela ne les concernaient point, et ce, malgré les multiples avérées violations des « Droits de l'Homme », et mes nombreux préjudices subis et que je continue à subir, me conseillant qu'il fallait que je me tourne exclusivement vers les autorités, le gouvernement et l'état français !

Bref, je dénonçais de graves abus du système judiciaire français, et notamment la corruption totale de ses tribunaux à tous les niveaux, associée à de crapuleuses entreprises mafieuses coercitives de la part de la gendarmerderie française, auxquels j'étais confrontés au point d'avoir ma vie en péril et de m'obliger à l'exil, et la médiocre personne en charge de réceptionner les plaintes, en faisait le tri, se permettant déjà de la rejeter sans autorisation ni légitime pouvoir légal, et finissait ironiquement d'une manière malicieuse, par me conseiller d'entreprendre des procédures et des poursuites en France, par la juridiction au sein même de cette institution de la France que je dénonçais, et qui plus est, en un lieu, un territoire devenu dangereux pour ma vie !




C'était l'« Office of the United Nations High Commissioner for Human Rights » (OHCHR), tenu par Michelle BACHELET.







J'ai aussi informé le département « Promotion of Truth, Justice, Reparation And Guarantees of Non-Recurrence ».

Mai aussi, le « Programme des Nations Unies pour l’Environnement », à titre de plainte fondamentale au sujet de la pollution par des rejets de produits toxiques en quantité industrielle déversés dans un « Parc Naturel » maritime, portant à un Crime contre l'Humanité.

Rien ne me fut répondu.

Même au sujet de la pollution qui ne me concerne pas.




Cette gangrène morale s'est portée aussi sur des avocats genevois spécialisés en la matière des « Droits de l'Homme » auprès de l'ONU, qui ont refusé catégoriquement de s'occuper de l'affaire.

Étant blanc, européen, français de surcroît, et « nanti », je n'étais plutôt source de complications que de vantardises mondaines prétendument « humanitaires et charitables ».

Je n'étais pas une victime mais un emmerdeur pour leurs « amis », leurs « frères et sœurs »...

Parmi eux, il y a Pierre BAYENET de « LIBERTAS AVOCATS », et Sandrine GIROUD de « LALIVE », cette dernière exprimant même un possible conflit d'intérêts...







Vous trouverez ci-après ce même texte en tant que plainte adressée auprès de la « Commission Européenne » à Bruxelles le 25 Avril 2019, et auprès de la « Cour de Justice de l'Union Européenne » à Luxembourg le 03 mai 2019.

Le funeste sort fut identique.

Tant en (long) temps de réponse de plusieurs mois, qu'en sentence arbitraire.

La même vicieuse corruption morale.

Le même non-sens, la même aberration, mais signée, cette fois, par une personne identifiable, Giorgia GIORGIADOU, dont je ne connais le poste au sein de la « Commission Européenne ».

Une fin de non recevoir par un subalterne qui n'a aucun droit d'établir un jugement légal pour rejeter un dépôt de plainte.

Toujours le même barrage par les mêmes médiocres sous-fifres.

DEPÔTS de PLAINTES FONDAMENTALES

CONTRE L'ÉTAT FRANÇAIS

et CONTRE des REPRÉSENTANTS GOUVERNEMENTAUX ET DES REPRÉSENTANTS INSTITUTIONNELS

PORTANT À DES ATTEINTES

POUR MANQUEMENTS AU DROIT DE L'ORGANISATION DES NATIONS UNIES,

AUX LOIS SUR LES DROITS FONDAMENTAUX

de JUSTICE, de LIBERTÉ et de SÉCURITÉ,

et des « DROITS DE L'HOMME »





AU TITRE DE DÉLITS CRIMINELS COMMIS À L'ENCONTRE

DES LIBERTÉS INALIÉNABLES DE L'ORDRE du POLITIQUE, du RELIGIEUX et du DOGMATIQUE,

ASSORTIES de NOTIFICATIONS sur la CORRUPTION GÉNÉRALISÉE du SYSTÈME JUDICIAIRE FRANÇAIS

par sa MAGISTRATURE et PLUSIEURS de ses AUTORITÉS telle que la GENDARMERIE,

AYANT COMMIS ET/OU PARTICIPÉ LES/AUX DÉLITS

de FRAUDES, d'EXTORSIONS, de FAUX et d'USAGES de FAUX, de SÉQUESTRATION, d'INTIMIDATIONS, de MENACES, de CHANTAGES, d'INTERNEMENT ABUSIF, d'ESCROQUERIES, etc

AVEC LE DOUBLE FACTEUR AGGRAVANT d'ASSOCIATION DE MALFAITEURS et de BANDE ORGANISÉE





OBJET : PLAINTES FONDAMENTALES menant au constat que, Français, je ne peux avoir et je n'ai Absolument AUCUNE Confiance en la Justice de Mon Pays :

CONTRAINT à l’EXIL :

Suite aux délits (liste non exhaustive) perpétrés par des représentants de l'état Français:

d'abus de pouvoir, de faux et d'usage de faux, de fausses déclarations, de fausses attestations, de faux certificats, d'entraves à la manifestation de la vérité, de dissimulations de crimes, de menaces, de menaces exécutées, de chantages, d'extorsions d'aveu, d'extorsions d'informations confidentielles et privées appartenant à des sociétés, d'extorsions d'empreintes génétiques, palmaires et digitales, d'extorsions de fonds, de complicité de détournement de fonds, de fraudes comptables et fiscales, de négationnisme, de participation, d'association et de collusion avec une organisation criminelle de type mafieuse, de séquestration, d'internement abusif, de fraudes multiples procédurales, de non respect des droits français de la défense, de non respect des procédures et des lois françaises, etc. sous les circonstances aggravantes d'association de malfaiteurs et de crimes en bande organisée.

Mesdames, Messieurs,




pour faire simple, puisque le témoignage ci-joint est assez explicite, même s'il reste cependant loin d'être exhaustif, voici un bref exposé de la grave situation quant aux nombreux et multiples manquements au(x) droit(s) de l'Organisation des Nations Unies par la France, qui ont causé et continuent à me causer de graves préjudices, tels qu'un exil forcé pour protéger mon intégrité physique !

Ces consternants sérieux faits concernent particulièrement l'Organisation des Nations Unies, et d'une manière annexe votre département par le fait que les délits perpétrés de corruption généralisée ont un phénomène d'osmose jusqu'aux représentants de la France au sein de votre institution, et caractérisent la légitimité de leur dépôt auprès de votre autorité puisqu'ils ont été commis d'une manière délibérée, et même préméditée, par des personnes officielles, représentants de l'état français et/ou ayant une autorité d'une institution étatique française.

Il est à noter le facteur aggravant que ces délits commis, sont non seulement à l'encontre des dispositions onusiennes auxquelles la France et ses représentants se doivent de respecter à la lettre, mais qu'ils sont aussi de l'ordre du pénal. Par une permanente auto-immunité, il règne un environnement propice exclusif à la corruption morale qui fait que ces entorses à l'Organisation des Nations Unies présentement dénoncées, ne sont pas l’œuvre sporadique de quelques malandrins, mais une commune manière de faire récurrente.

Il ressort donc une exploitation abusive, perverse et pernicieuse du système judiciaire français par certaines personnes ayant certaines autorités, et ce, à des fins personnelles, pour supprimer tout droit fondamental aux libertés inaliénables en les domaines du politique, du religieux et du dogmatique.

Vous trouverez aussi les cinq « Questions Prioritaires de Constitutionnalité » (QPC) en les « Doc 2 » et « Doc3 », que j'ai relevées au titre du Droit Français, et que j'ai déposées auprès des deux autorités nationales concernées.

Même si elles ne vous concernent pas directement, elles sont intéressantes pour vous faire une idée de l'environnement « pittoresque » tant au niveau législatif, qu'à celui du système qui se doit d'appliquer, mais aussi, de suivre et de respecter ses propres lois, de surcroît, celles « suprêmes ».

Même si votre juridiction ne peut être requise qu'à l'encontre d'un état, et s'il en était autrement je déposerais alors plainte contre tous les protagonistes, et principalement ceux-désignés ci-dessous, il relève que les nations sont animées par des personnes, et que ce sont bien ces dernières, et exclusivement elles, qui sont les auteurs, et les causes des délits perpétrés, et en ce qui vous concerne, des manquements au droit de l'Organisation des Nations Unies, sous le couvert d'une fonction étatique, et qui plus par des personnes assermentées.

Il convient donc, de les citer, auteurs, acteurs, commanditaires, complices, si même cette liste restera loin d'être exhaustive. Et ce, afin que puissiez éventuellement relier « mon » affaire avec d'autres précédentes, d'autres victimes qui auraient sollicité votre attention, et comprendre alors, les autres cas « étranges » français que vous avez dû à avoir à étudier.




J'accuse donc les personne suivantes, d'une liste loin d'être exhaustive, dans un ordre hiérarchique décroissant de responsabilités au titre de leur fonction, d'avoir commis tous ces actes crapuleux à mon encontre, sous les circonstances aggravantes d'association de malfaiteurs et de crimes en bande organisée, dont l'énumération ne peut être exhaustive, d'abus de pouvoir, de faux et d'usage de faux, de fausses déclarations, de fausses attestations, de faux certificats, d'entraves à la manifestation de la vérité, de dissimulations de crimes, de menaces, de menaces exécutées, de chantages, d'extorsions d'aveu, d'extorsions d'informations confidentielles et privées appartenant à des sociétés, d'extorsions d'empreintes génétiques, palmaires et digitales, d'extorsions de fonds, de complicité de détournement de fonds, de fraudes comptables et fiscales, de négationnisme, de participation, d'association et de collusion avec une organisation criminelle de type mafieuse, de séquestration, d'internement abusif, de fraudes multiples procédurales, de non respect des droits français de la défense, de non respect des procédures et des lois françaises, etc.




Au niveau du gouvernement :

Emmanuel MACRON, président la république de France

Édouard PHILIPPE, premier ministre

Christophe CASTANER, ministre de l'Intérieur

Stéphane BOUILLON, ex préfet et actuellement Directeur de Cabinet du Ministre de l'Intérieur, C. CASTANER 

Nicole BELLOUBET, ministre de la Justice

Au niveau local, préfecture et municipalité :

Jean-Luc VIDELAINE, préfet de Toulon

Emmanuel CAYRON, sous-préfet de Toulon

Éric De WISPELAERE, sous-préfet de Draguignan

Thierry ALBERTINI, maire de La Valette,

Au niveau « gendarmerderie » :

Richard LIZUREY, général de la Gendarmerderie

Daniel ROTH, commandant en second de la compagnie de gendarmerie de La Valette du Var

Michel LECOUTOUR, Franck LA IACONA, Aurélie THOULOUZE, Denis ZAMMIT, Mathilde HOARAU, gendarmes

Au niveau du parquet de Toulon, procureurs et déclinaisons :

Bernard MARCHAL, procureur

Carine CAUCHY, Mme MAZIERE, Stéphanie BATTLE, Ahmed CHAFFAI, sous-procureurs

Aux niveaux médico-légal, médical et hospitalier :

Bénédicte BASTIEN-FLAMAIN, Thomas LEPAGE, Gilles REINE, Agnès MARCHESSAUX, Michel PERROT, prétendus médecins

Au niveau local annexe :

Emily LINOL-MANZO, prétendue avocate

Ainsi, l'étude « clinique » des délits commis par ces éminences étatiques, et ce, d'une manière délibérée et préméditée, échoie d'une manière sous-jacente, aux véritables concernés, et donc à votre autorité qui se trouve à l'échelon supranational.




Ceci étant aussi nécessaire pour garantir une probité morale que vous êtes supposés défendre ardemment et par dessus tout, puisqu'il s'agit, en parallèle, d'affaires de corruptions de plusieurs sortes et à plusieurs niveaux, par les personnes et les institutions qui servent de support procédural.

Ceci étant aussi, puisque ces graves problèmes de NON GARANTIE À UN PROCÈS ÉQUITABLE, bascule plutôt à une certitude d'un jugement inique par ce DROIT À UN PROCÈS INÉQUITABLE (sic).




Ces odieux « manquements » aux obligations contractuelles de l'ONU par ses représentants nationaux, ne peuvent être circonscrits uniquement à « ma » seule affaire, ni à celles précédentes auxquelles j'ai été confronté (il y a un historique de plus d'une dizaine d'années...), ni à quelques unes d'autres victimes identiquement spoliées, mais, bel et bien à toutes les affaires nationales, passées, présentes, et mêmes futures si rien n'est fait pour endiguer cette vérole. Espérant que cette dernière précision ne va pas vous effrayer et susciter en vous une coagulation de votre émoi moral par la tâche délicate et fastidieuse d'entreprendre une mise à l'index de vos lointains cousins de la profession, les contraignant à une introspection législative, afin d'avoir enfin en France, non plus une abjecte démonstration récurrente de mépris, mais un respect absolu et indéfectible du droit de l'Organisation des Nations Unies par les institutions françaises. Ce n'est point seulement une question d'adéquation avec les engagements réciproques de l'Organisation des Nations Unies, mais aussi de bon sens, de morale, et noblesse d'esprit.




Pour vous simplifier la pénible tâche de l'étude de cette affaire servant de support légal et légitime au niveau procédural à votre endroit, qui est somme toute, une affaire politique dissimulée, et même religieuse et dogmatique, où les personnes actuelles de l'état français sont impliquées au plus haut point, pour en être les commanditaires et les réels bénéficiaires de cette action coercitive et punitive pour me faire taire, je vous laisse le soin de parcourir le « Doc 1 » qui se trouve être mon ouvrage publié dans plusieurs pays, en version papier et numérique, relatant m(c)es mésaventures, qui est, somme toute, exhaustif pour certains points. Vous y décèlerez aisément, par vous-mêmes, les nombreux et multiples manquements aux lois internationales de l'ONU, et même d'édifiantes « défaillances » qui font de ce dossier, un cas d'école.




J'attire votre attention sur le fait qu'il s'agit bien d'une grave affaire d'État à plusieurs étages, depuis la violation et la suppression de mes Droits relatifs aux « Droits de l'Homme », comme déjà le droit « offert » par la France à mon endroit, à un procès INÉQUITABLE (sic), au mépris des législations des juridictions supérieures, européennes, et même internationales, puisque celles de l'Union Européenne, et même l'ONU, en sont touchées.




FAITS et ÉTATS DES LIEUX




Pour éviter tout malentendu, toute confusion, il serait moralement inacceptable de ne pas avoir une vision exhaustive de cette affaire « juridico-politico-magistra-mafieuse », complexe, et « multicanale », et de la restreindre à la lointaine localité toulonnaise, servant d'alibi juridictionnel.

Aussi, les faits et états des lieux ne peuvent se résumer en quelques lignes, et même en quelques pages, et ce paragraphe se doit d'être relié à un document annexe de plus d'une centaine de pages, que vous trouverez ci-joint (Doc1).

Plusieurs points de problèmes de constitutionnalité intranationale apparaissent indiscutablement, au regard de cette affaire spécialement, par la violation systématique de mes Droits, français, s'entend, par les autorités locales, depuis les procureurs, aux gendarmes, en passant par les préfets et même un maire, un avocat, des médecins. Je mets au pluriel certaines de ces fonctions officiellement à une tête, car elles sont diligentées par des subalternes qui usent et abusent des mêmes droits !

Déjà un problème de constitutionnalité intranationale ! Quid du respect du droit de l'Organisation des Nations Unies à ce sujet ?

Ainsi donc, ce dernier constat oriente les autres problèmes de manquements au droit de l'Organisation des Nations Unies.




Il me serait difficile de réduire ce dossier en supprimant certains points annexes qui ne vous concernent pas particulièrement, car il est cependant nécessaire que vous ne soyez pas ignorants des faisceaux parallèles pour comprendre les tenants et les aboutissants, les « pourquoi » et les « comment », et en saisir les raisons réelles, imbriquées, les unes aux autres.

Il est d'autant plus utile de ne rien vous celer, de ne rien vous épargner, que cette affaire est rendue publique et fait (et fera) l'objet de nombreuses poursuites, de plusieurs plaintes pénales et civiles par mes soins, en tant que victime, à d'autres niveaux contre les personnes coupables de mes préjudices.

D'autant plus que des poursuites seront aussi entreprises au titre financier de ma part, mais aussi de la part des sociétés et des personnes qui ont subis et subissent toujours, indirectement, des préjudices causés par mes mésaventures, puisque j'ai dû arrêter certaines de mes recherches scientifiques et technologiques depuis lors. Des projets de très grave importance et de très grande envergure, sans compter toutes mes pertes personnelles, déjà matérielles, mais aussi morales, puisque je suis contraint à un exil de mon pays, afin de me garantir une sorte de sécurité, au regard des sérieux risques sur ma vie de la part de certaines personnes que je dénonce, les organisations criminelles locales, mais aussi de la part des autorités locales, ces dernières complices des premières, qui ont fait montre de leurs exactions sur ma personne, certaines d'être impunies, puisque l'une est protégée par l'autre, et réciproquement, selon les moyens employés, légaux et officiels, ou non...

J'ai certes encore bien plus d'informations puisque cela m'avait valu une violente agression à mon domicile, à Saint Cyr-sur-Mer (Var- à côté de Toulon)), en mars 2013, définie par un saucissonnage, un tabassage, des vols, pécuniaire et matériel, une rançon de 50.000 euros, des menaces de mort, et plusieurs tentatives d'extorsion, tous ces délits « couverts » par les autorités locales, gendarmerie en premier...




Je ne vais pas rendre fastidieuse la présente procédure, puisque les auteurs et les accusés sont des gendarmes et des magistrats du tribunal de Toulon, qui ne respectent ni les règles de procédures, ni la Loi, française s'entend, et donc de l'Organisation des Nations Unies, déjà au titre des « Droits de l'Homme », quant au droit à un procès équitable. Et ce dernier point passe d'une manière élémentaire par le respect des personnes qui organisent et gèrent ces institutions aux dispositions adéquates pour le garantir, et avant cela, d'en fournir un environnement « propre ».

Aussi, voici quelques autres points noirs en bref, qui ne fournissent aucun environnement juridique et judiciaire propice à une équité de justice :

Non respect du lieu de juridiction du défendeur menant à circonscrire les poursuites dans un lieu vérolé par la corruption et dont tous les protagonistes officiels sont du cru et y exercent pouvoir;

Non respect de transmission du dossier, et rétention de document et d'information menant à une impossibilité de défense;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, menée par des gendarmes pour des gendarmes, au sein de la gendarmerie, dont le principal plaignant est un gendarme mis en cause, menant à parti-pris, à charge, au surplus d'une manifeste entrave à la manifestation de la vérité en occultant et même détournant l'attention de la corruption dudit gendarme et de la gendarmerderie;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en ne me donnant aucun moyen de défense, d'explication et de justification puisque je n'ai eu aucune possibilité physique et matérielle de prendre connaissance des documents reprochés, objets des poursuites, et aucune possibilité physique et matérielle d'en présenter les contre-preuves, en me séquestrant;

Non respect d'intégrité de l'enquête et de l'instruction -Corruption-, en joignant deux affaires distinctes, pour des motifs distincts, au titre de documents mis en cause distincts, et donc non corrélées officiellement, celle DALL'OPIO et COLLOMB/PHILIPPE et celle CAUSSIN. Or, la double première concerne la dénonciation de la corruption de la gendarmerderie locale avec CAUSSIN, et la seconde concerne CAUSSIN. L'association de ces deux affaires distinctes au sein de l'enquête, de l'instruction et même des poursuites et du procès, démontrent et avèrent ce que je dénonce, et pourtant ce que l'on me reproche comme être faux ou diffamatoire, à savoir la corruption des premiers avec les seconds;

Sans compter les menaces, les intimidations, les exactions physiques et morales en vu d'extorsion de faux aveu, d'informations confidentielles, de secret d'affaires et de sociétés, et surtout de non appel à l'exercice de mes droits;

Sans compter le faux et l'usage de faux rédigé et utilisé par les procureurs locaux;

Sans compter l'absence de précision et de circonscription des prétendus délits, s'ils sont sous mode numérique, ou papier, par voie postale, ou internet, ou par publication, etc.




Ces actes délictueux, à la fois, d'un mépris, d'un affront et d'une insulte incommensurables, constituent une entorse au Droit Onusien, que la France se doit respecter sans délai, et sans exemption.




Je rappelle que de telles actions à mon encontre m'obligent à un exil de mon pays d'origine, en vue de préserver mon intégrité physique, mes libertés, physique, de pensée et de parole, et même ma vie, puisque certains que je dénonce, « amis » de certains présents au sein des institutions, sont bien des criminels, sont bien des acteurs d'organisation criminelle (drogue, trafics illicites en tous genres, etc.), coutumiers d'usages coercitifs musclés, voire radicaux et expéditifs...




Continuer et persister à ne pas appliquer la plus importante loi consistant en une capacité de pouvoir sur toutes les autres lois, en une autorité menant à une recherche de perfection morale en le juridique, est une offense permanente à l'Organisation des Nations Unies. Une vergogne nationale qui démontre que la République française n'a pas de conscience éthique et morale, et encore moins de parole, et d'Honneur.

Continuer et persister cet artifice de respect constitutionnel en l'espèce, de manquement aux fondamentaux des « Droits de l'Homme », ceux de pouvoir se défendre avec tous les outils appropriés nécessaires, de pouvoir mettre en cause une législation déficiente, obsolète, et même antagoniste, de pouvoir faire appel d'une décision dictatoriale subalterne qui s'y rapporte, est le pilier central d'un fait grave, qui fera s'écrouler, tôt ou tard, tout son édifice bâti sur la fausseté, et jeter un doute, non plus sur toutes les procédures françaises, précédentes, mais aussi sur toutes celles futures.

Ces mêmes représentants de la Justice et de l'État, qui, par ailleurs, dévoilent et démontrent un autre pan de la mascarade constitutionnelle d'une prétendue séparation des pouvoirs, bafouent allégrement ces droits fondamentaux universels qui dépassent les petites mesquineries étatiques, politiques, juridiques et judiciaires. Ils osent, sans vergogne, mettre en exergue leur mépris, en les utilisant comme étendard moral, pour masquer et dissimuler leurs sales forfaits.

Il n'en demeure pas moins que ces droits existent, et qu'ils sont à être respectés par décret constitutionnel.

Et si des articles de la loi française sont encore épargnés de leur révision, la présente procédure permet de rétablir un véritable rétablissement de l'Ordre.

Et cet outil législatif primordial, au niveau suprême international, ne peut souffrir lui-même d'aucune ombre d'un doute.

Il est inadmissible de laisser encore et toujours se ridiculiser la France au niveau européen et international, par ses successives condamnations pour non respect par ses prétendus républicains ordonnés.

Il ressort quoi qu'il en soit, que Tout Homme a le droit à un procès équitable.

Et proposer fallacieusement, vicieusement une prétendue honorabilité à un environnement juridique qui permet de juger, et même de condamner au nom de textes dont leur certification d'adéquation avec d'autres obligations supranationales n'est en aucun cas garantie, déjà par un moyen exhaustif de défense, n'offre en rien un procès équitable. Bien au contraire.

Ainsi, tout Homme a le droit à un procès équitable, et pour cela, toutes les circonstances doivent être réunies et mesurées d'une intensité remarquable d'absolue probité et d'équité, et sans faille aucune, déjà à sa base, depuis l'instruction, jusqu'au procès, ce dernier devant être légitimé de la même qualité de non doute.

Et cette disposition juridique indérogeable doit être d'autant plus indéfectible lorsqu'il s'agit de poursuites pénales, sanctionnées et même punies au niveau physique, corporel et mental, privant de liberté tout autant qu'entachant l'honneur et la réputation de la personne.

Il est même à préciser que, si la présomption d'innocence est respectée, alors tout innocent a le droit au respect et à la tranquillité, et que s'il a droit à un procès équitable, il a aussi et surtout droit à ne pas avoir de procès en de telles circonstances, c'est-à-dire, dans un environnement fallacieux et exclusivement à charge, et pour des motifs imaginaires, puisque, quoi qu'il en soit, même s'il est certain d'obtenir gain de cause, si tant est que les magistrats ne soient pas corrompus, et qu'il ait un défenseur digne de ce nom, il perdra toujours, puisque de ses soucis, de ses préjudices moraux, de ses dommages temporels, il en souffrira et n'en sera point dédommagé, d'autant moins par les « autorités » concernées, causes de ses tracas. Il est certes une loi française à ce sujet, celle de l'« Abus de Droit ». Mais, elle n'est que rarement entendue et suivie, et jamais entreprise par la magistrature elle-même.

Il ressort que le droit à un procès équitable passe avant tout par la phase préalable, celle préparatoire, celle qui permet de ne pas subir de procès illégitime, et non légitimé !

Ce dernier droit est associé au premier, et est inaliénable des « Droits de l'Homme ».




Cette étude révèle aussi un grave problème au sein du système juridique et judiciaire français: L'analphabétisme partiel et la déficience de culture générale de ses acteurs. Sans compter leur exiguë capacité intellectuelle de raisonnement.

En effet, cette affaire permet de déceler un vice global du système judiciaire français, et des lois que ses représentants et acteurs sont censés suivre, respecter et appliquer, et ce, dans un environnement de raison neutre.

Or, il ressort que la juxtaposition de chacun de ces textes de lois, au prétendu délit, n'exprime qu'un seul consternant fait, celui de la déficience de ces personnes concernées, à savoir gendarmes, procureurs et magistrats, utilisatrices de cet outil de communication, en la connaissance de langue française, et principalement en sa sémantique, et même en la définition de ses mots. Lorsqu'il s'agit de définir, de caractériser, d'identifier un acte, cela est de leur capacité intellectuelle, car ils utilisent leur propres vocabulaires. En revanche, lorsqu'il s'agit de lire, d'analyser, d'étudier et de comprendre, des textes et/ou des propos, et pour finir, les déterminer, les caractériser et les juger, en les corrélant à des textes législatifs, pour les appliquer à des lois, pour, in fine, les cerner et les considérer comme un délit approprié à l'article prétendument idoine, alors il y a un phénomène fondamental d'incompétence absolue de l'ordre du béotien.

Et ce, sans compter l'autre point névralgique de défaillance constitutionnelle, systématiquement « oublié » par ces éminences, celui de la « contrebalance », c'est-à-dire, celui qui les oblige à ne pas ignorer et à considérer aussi les articles de loi qui « protègent » le nouvellement défini « criminel », par ces et ses autres droits. Il y a bien des traducteurs pour les langues étrangères, aussi, il est naturellement besoin d'un « traducteur » pour ceux-là qui ne saisissent pas intellectuellement celle de France.

Ce point consternant à résoudre au plus vite, est peut-être présent dans d'autres pays membres.




Restant à votre entière disposition si vous avez besoin de précisions et/ou d'autres documents.




Veuillez recevoir, Mesdames, Messieurs, mes sincères salutations,




Laurent GRANIER

Auteur, Inventeur, Théoricien, Maître Philosophe, Profiler Environnemental et Stratégique,

Fondateur de l'internationale ONG « ANOTOW » « Another Tomorrow »




Adresse en France (NON RÉSIDENT – EXILÉ CONTRAINT) 75018 PARIS

Je fais retirer le courrier par une tierce personne.

Pas d'adresse physique ailleurs, pour des raisons de sécurité.

Aucun téléphone par sécurité.




Chapitre 8 : La suite par le pillage et la spoliation de mes biens en France, par détournement, escroquerie et vol d'une de mes autos, par une bande de Nazis français, aidés par la gendarmerderie locale de CAEN, et protégés par la Française-Maconnerie. L'affaire Jean RIVOLA- Xavier AIOLFI ou « CAEN ENCHERES/AAA »

Printemps 2019.

Étant en exil depuis des mois pour des raisons de sécurité, j'étais aussi obligé de me séparer de tous mes biens en France, et je devais me séparer de plusieurs véhicules.

Parmi eux, j'avais une rare Mercedes de 1939.

Dans l'urgence, et n'ayant pas les moyens de m'en occuper personnellement et de me déplacer en France, j'ai donc utilisé les services d'un prétendu professionnel de la vente aux enchères pour ce type d'auto de collection.

En fait, c'était et c'est toujours un escroc acoquiné à un autre.




Et malgré mes plaintes, administratives et pénales, aucun d'eux n'a été et est inquiété, même pas le nazi britannique qui outrage et insulte sur notre propre sol, nos victimes de la guerre par ses aïeuls.




Tout est narré dans la plainte ci-après.







Tribunal de Paris
Parvis du Tribunal de Paris 75 859 PARIS CEDEX 17




A l’attention de M. Le Procureur de la République

du Parquet de Paris,

Rémy HEITZ




Plainte pénale avec CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE

de Laurent GRANIER,

en son nom, et en celui de ses sociétés




Pour, Vol, Escroquerie, Tromperie, Abus de Confiance, Blanchiment, Détournement de Fonds, Fraudes Internationales Fiscales et de Tva, Blanchiment de Fraude Fiscale, Fraude à la TVA, Fausse Déclaration, Faux et Usage de Faux, Dépôt de Plainte Abusif et Fallacieux, Entrave à la Manifestation de la Vérité, Non Respect des Obligations et des Règles en Matière de Vente aux Enchères, Vente Illicite, Commerce et Promotion d'objets Associés à la Propagande de l'idéologie NAZIE, du Culte du IIIème Reich et de l'adoration d'Adolf HITLER, Subornation de Témoin par Intimidation, Menace et Chantage, Contraintes et Chantage en vue d'extorsion d'accord et de Faire Participer à des Délits et à une Fraude Comptable et Fiscale, Fraude Bancaire, Déclaration Frauduleuse, Collusion avec Certaines Autorités en Vue de Dissimulation de Délits Pénaux, Délits en Bande Organisée, Abus et Détournement Fallacieux de Droit, Procédure Abusive, Séquestration d'objets et de Fonds, Association avec des Entreprises Criminelles Internationales Mafieuses Spécialisées en Matière de Blanchiment, de Trafic Financier et d'influences, et Autres.

A l'encontre des principaux auteurs des principaux délits pénaux :

Xavier AIOLFI, nazi français né le 08 avril 1970, mobile +33 6 07 43 38 05, domicilié au 12 Doktorberg, 83471 BERCHTESGADEN, ALLEMAGNE, comme sa société « AIOLFI G.b.r »;

Jean RIVOLA, nazi français, mobile +33 6 10 39 01 07, prétendu commissaire-priseur, sis en l'«  Étude Jean RIVOLA », 13 route de Trouville, 14000 CAEN ;

Kevin WHEATCROFT, nazi anglais, né en Décembre 1959, Directeur de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED, ayant plusieurs domiciles en France, notamment à LUCHAPT, commune de Nouvelle-Aquitaine, en le château Valentin et en une quinzaine de propriétés, et en Moselle;

Alexandra Mary WHEATCROFT, née en avril 1968, Secrétaire et Directrice de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED;

Philip James O'CONNOR, né en Juin 1962, Directeur de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED;

Didier COSTE, pro nazi, né en 1956, mobile +33 6 60 64 60 85, prétendu expert pour AIOLFI;

Emilie WEYL, pro nazie, née en 1980, mobile +33 6 28 45 35 67 / courriel : emilieweyl@gmail.com, déclarée officiellement comme contact et représentation en France du « Cabinet Aiolfi Gbr »;

Solène LAINE, pro nazie, associée à Jean RIVOLA au sein de la SARL « CAEN ENCHERES »;

Naïda KOZO, courriel naida.kozo@caenencheres.fr, responsable administrative, comptable, financière et fiscale de la la SARL « CAEN ENCHERES », domiciliée 3 rue Jonchets, 14123 CORMELLES LE ROYAL;

Jérôme NICOLE, prétendu avocat, à la SCP WEBEN NICOLE ANDRIES-LAUDAT, 77 rue de Bernieres 14000 CAEN;

« AIOLFI G.b.r », www.aiolfi.com, sise Doktorberg 12, 83471 BERCHTESGADEN, ALLEMAGNE;

SARL « CAEN ENCHERES », n° agrément 2002-223 de ????, sise 13 route de Trouville, 14000 CAEN ;

CREDIT AGRICOLE NORMANDIE en son président Daniel EPRON, 15 Esplanade Brillaud de Laujardière, 14000 CAEN

Sont aussi impliqués indirectement pour leur collaboration :

La Gendarmerderie de CAEN;

CRÉDIT AGRICOLE S.A., en la personne de Dominique LEFEBVRE;

La BANQUE POSTALE, Paris.




RÉFÉRENCE DE L'OBJET :

MERCEDES 170V Cabriolet B de Mars 1939, numéro de série 0433250, immatriculée en France sous le numéro EC-583-DC.

Livrée le 13 avril 2019 aux frais du propriétaire, à la demande expresse de Xavier AIOLFI, en vue de son gardiennage en l'attente de la vente exclusive et privée du 26 mai 2019 organisée par « AAA AIOLFI Gbr », à l'attention et sous la responsabilité personnelle de Jean RIVOLA, à son local sis au 1, Rue des Monts Panneaux, ZI Ouest, 14650 CARPIQUET.

Présentée frauduleusement en vente par Jean RIVOLA, via sa société « CAEN ENCHERES », en tant que commissaire-priseur au cours de la vente aux enchères exclusive et privée du 26 Mai 2019, intitulée « MILITARIA - Véhicules et équipements des Forces de l’Axe », organisée par Xavier AIOLFI sous sa société « AAA - AIOLFI Gbr » à l'attention de ses clients contenus dans son fichier personnel.




Monsieur le Procureur,




courant 2017, j'ai mis en vente cette MERCEDES unique, à caractère historique, pour la somme de 350.000 euros via des annonces sur internet.

Le 27 Juin 2017 à 20:50, j'ai été démarché par courriel par Xavier AIOLFI, se présentant en ses termes comme « Commissaire Priseur International » (!), spécialisé en « souvenirs historiques et militaires », exprimant son souhait de la proposer en une de ses ventes aux enchères internationales spécialisées, se vantant d'avoir venu les autos de MUSSOLINI et de Erich HONNECKER...

Par la suite, au cours des mois, il me déclare qu'il a une société basée en Allemagne à ces fins, « AAA » ou « AIOLFI Gbr », spécialisée dans les « choses » de la seconde guerre mondiale.

Je ne comprendrai que plus tard que son champ d'activités en matière de « souvenirs historiques et militaires » est restreint à la seconde guerre mondiale, et principalement en les « références » nazies, dissimulées parmi d'autres plus recommandables... Comme je découvrirai que certains de ses clients privilégiés en cette matière de «  souvenirs historiques et militaires » ne sont pas des collectionneurs, mais des adorateurs...

Xavier AIOLFI s'était bien gardé de ses accointances avec le milieu nazi, et encore moins avec ce fameux collectionneur Kevin WHEATCROFT, dont je ne connaissais ni l'existence ni sa ferveur de prétendu collectionneur orienté, qui était un potentiel acquéreur. Xavier AIOLFI aurait pu servir d'intermédiaire, et la vente était faite. Mais, il voulait récupérer la MERCEDES à vil prix pour son particulier client dissimulé, tout en occultant son identité qui aurait sans aucun doute fait échouer son entreprise.

Et pour ce faire, rien de plus aisé que de faire transiter la cession via une vente aux enchères. Et ce, sans compter les tours de passe-passe, certes frauduleux et crapuleux, comptables, fiscaux et juridiques, pour éviter même de la payer, avec la complicité de son acolyte, Jean RIVOLA.

Bref, un vol organisé, en presque toute légalité.

Pour ce faire, dans ses magouilles, Xavier AIOLFI est assisté et aidé par Didier COSTE, prétendu expert, et Emilie WEYL, officiellement déclarée comme son contact et sa représentation en France, au nom du « Cabinet Aiolfi Gbr »...

Xavier AIOLFI partage ses ventes aux enchères entre la France, via « CAEN ENCHERES » avec son complice Jean RIVOLA, et la Belgique, via « PHOENIX Auction », 5 avenue Edison, 1300 Wavre.

France, Belgique, Allemagne, le parfait triangle pour le blanchiment d'argent et le trafic de TVA...




Kevin WHEATCROFT est l’une des plus grosses fortunes du Royaume-Uni. Il possède une collection estimée à plus de 100M£. en véhicules, uniformes et armes, et parmi son patrimoine immobilier, plusieurs résidences et propriétés en France, réparties en Moselle et dans le village de LUCHAPT dans la Vienne, où il y détient une quinzaine de maisons…

Malgré sa quantité de possessions en la matière, Kevin WHEATCROFT ne peut être considéré comme un collectionneur, car il voue ouvertement un culte, dans le sens propre du terme, au IIIème Reich, et plus précisément à l'idéologie Nazie, au point de faire étalage de son adoration pour son leader, Adolf HITLER, dans les journaux, faisant propagande par ses propos tendancieux, soigneusement fallacieux et détournés, et ses photos où il pose fièrement, par exemple, à côté du portrait de son Führer, agrémenté d'autres objets arborant ostentatoirement et principalement la croix gammée, en déclarant même dormir dans son lit...

Ainsi, l'association d'une organisation de ventes aux enchères avec un trafic international d'objets litigieux permet aux fanatiques de récupérer des objets dont leur propriétaire aurait pu en leur refuser la vente.

C'est une tromperie, un stratagème vicieux et pernicieux qu'il a utilisé pour faire décider les propriétaires de lui vendre ses désormais demeures...




Ainsi, ce choix, ce droit de veto de refuser une cession, m'a été volé par cette bande de nazis français, et les conséquences portent atteinte à mon honneur, ma moralité et mon éthique, de même qu'à l'image et la réputation de mes sociétés qui en étaient devenues les propriétaires depuis 2017 et 2018...




Petit aparté sur les dispositions juridiques en matière d'objets nazis :

L’article R-645-1 du code pénal n’interdit pas la vente d’objets ayant appartenu à des dignitaires du IIIe Reich, mais il en réglemente le port ou l’exhibition.

Extraits : « Est puni de l’amende prévue pour les contraventions de la 5e classe le fait, sauf pour les besoins d’un film, d’un spectacle ou d’une exposition comportant une évocation historique, de porter ou d’exhiber en public un uniforme, un insigne ou un emblème rappelant les uniformes, les insignes ou les emblèmes qui ont été portés ou exhibés par les membres d’une organisation déclarée criminelle. » 

Or, Kevin WHEATCROFT ne se cache pas pour exhiber son adoration pour HITLER, en dormant dans son lit, en posant fièrement sur des photos à côté de son portrait et de symboles nazis. Rien ne lui interdit de le faire, mais en privé, et le fait de le faire savoir et de communiquer à ce sujet, en publiant même ces photos, l'expose sans conteste aux foudres de la loi. Certes, française, et lui étant sujet britannique, mais il est à relever deux points cruciaux. D'une part, que ce personnage a des résidences sur le territoire français, et d'autre part, que son exhibition propagandiste et provocatrice portant à une apologie, est visible en France via internet. De plus, sa propension pour le commerce d'objets associés à l'idéologie NAZIE, au culte du IIIème REICH et à l'adoration d'Adolf HITLER, ne peut être considérée autrement qu'à de la propagande et à de l'apologie.

En effet, Kevin WHEATCROFT tente pathétiquement de leurrer les gens en clamant «Je veux que les gens voient ces choses. Je dois les rendre publiques. Il n'y a aucune meilleure façon de comprendre l'Histoire».




Mais cette assertion en guise d'argument-réponse purement rhétorique, n'est point, et ne peut être celle d'un comportement d'historien, car un chercheur ou un collectionneur ne possède pas la plus grande collection au niveau mondial d'objets vouée à cette idéologie sans raison, et encore moins en toute innocence !

Et ne fait pas creuser dans un château français des tranchées pour reconstituer le crash d’un Spitfire !

Point n'est besoin d'exhiber une foultitude d'objets, parfois quelconques mais seulement estimés parce qu'ils arborent le monogramme nazi, point n'est besoin de montrer le portrait en peinture d'Adolf HITLER, point n'est besoin d'acquérir son lit, et encore moins de se vanter d'y dormir ou de poser à côté de ces objets, ou de reconstituer le crash d'un avion Allié dans un château français situé à 40 kms de la ville emblème des exactions nazies sur une population civile, pour faire comprendre l'Histoire !

C'est à la fois une insulte et une provocation !

Par ailleurs, ses photos sont orientées car elles ne montrent pas les objets en soi, mais principalement le symbole inscrit, la croix gammée. Il ressort donc que c'est bien de la propagande, car le même objet sans cette visible appartenance ne l'intéresserait pas et il ne poserait pas à côté, même s'il a une histoire (autre que celle du nazisme, évidemment).




Quant au cas de Xavier AIOLFI, on n'élit pas résidence personnelle, et domicile de sa société, en la ville chérie de Hitler, sans raison, ni par choix anodin...

Quant au cas de « Maître » Jean RIVOLA, on n'accepte pas de vendre de tels objets (par exemple, des uniformes nazis « SS », ceux noirs arborant la tristement fameuse « tête de mort »), encore moins de les présenter en première de couverture d'un catalogue de vente où figurent les logos de « CAEN ENCHERES » et de « AIOLFI Gbr », et ce, dans un décor luxueux, sans raison de fraternité idéologique... Ventes d'apparence privées d'ailleurs, dont les catalogues sont diffusés d'une manière confidentielle après enregistrement sur le site www.aiolfi.com, ce qui exprime bien que ces deux compères avaient et ont toujours la parfaite connaissance de leurs délits en les travestissant, mais aussi que l'organisateur est bien la société de Xavier AIOLFI...

Quant à Solène LAINE et Naida KOZO, de la société « CAEN ENCHERES », elles en étaient aussi pleinement conscientes et informées, sans qu'elles en alertent les autorités, ni mettent un arrêt à ces pratiques moralement scandaleuses, alors qu'elles en sont liées et donc responsables. Elles en sont bien, au moins, des sympathisantes...

Quant aux « graviteurs », Didier COSTE et Emilie WEYL, nous ne pouvons constater qu'aucune mesure de prudence, et encore moins de distance avec ces pratiques immorales, ont été prises, étant depuis plusieurs années fidèles au poste... Il et elle en sont bien, au moins, des sympathisants...




Pour mettre en parallèle leurs comportements avec un véritable collectionneur, et constater que Kevin WHEATCROFT n'en est pas un, mais bien un adorateur, en en faisant la propagande et l'apologie, et que toute la bande française en a parfaitement conscience, je vais évoquer mon cas.

Lorsque j'ai trouvé sur internet cette Mercedes, je l'ai trouvée splendide, et étant dans mon budget, je l'ai achetée sans en discuter le prix. Je l'ai acquise pour son élégance, et non parce qu'elle faisait partie de l'Histoire, et encore moins qu'elle avait appartenu à un haut dignitaire nazi, et encore moins parce que je recherchais des objets de cette idéologie. J'ai compris après que cette auto, par sa date et son lieu de livraison que j'ai découverts après des recherches, qu'elle avait une histoire, et qu'elle en faisait même partie. Au départ, c'était un achat coup de cœur pour son style, puis un investissement pour sa plus-value potentielle décelée au regard d'un passé que tout le monde avait ignoré. Comme de ces tableaux qui passent de mains en mains, sans attirer l'attention jusqu'au jour, où une personne pertinente de curiosité, y voit l'identité de son auteur...

Aucune commune mesure de mentalité avec l'autre prétendu collectionneur, qui est un accumulateur -




En bref, Kevin WHEATCROFT possède, avec ses deux autres associés familiaux, au travers d'une société -Groupe-, une collection estimée à plus de 100M£, en véhicules, uniformes et armes, répartie entre sa demeure de Leicester, l’Allemagne et la France, où il possède plusieurs résidences en Moselle et à LUCHAPT, un patrimoine géré par Nicky GAIT...

D'ailleurs, personne ne s'est posé la question, du pourquoi de ce choix porté sur une très petite et inconnue commune d'un département oublié de la France ?




D'autant quand on est très riche et que le panel géographique mondial est à portée de bourse !

Que se trouve au sud de ce village, à une quarantaine de kilomètres par la route (donc, bien moins à vol d'oiseau...) ?

ORADOUR SUR GLANE !!! Le lieu symbolique par excellence quand on est nazi et que l'on voue un culte au IIIème REICH...

Il est fort probable que ce choix fut décidé par Kevin WHEATCROFT parce que la section nazie qui a perpétré ce massacre à titre de vengeance, de représailles et de satisfaction, lors d'un repli face aux Alliés reprenant du terrain, ce qui est d'autant plus parlant sur leur mentalité, se soit arrêtée, et même reposée après son forfait, en ce village de LUCHAPT, et peut-être même en ce château... Ou ce choix s'est simplement fait parce qu'aucune propriété n'était « libre » (sic) à la vente en ce triste village d'Oradour...

Nous ne pouvons plus parler de marotte de collectionneur, mais bel et bien de provocation idéologique, d'apologie travestie en une bravade morale, une défiance et une humiliation à la moralité, une insulte à la mémoire de ceux qui y ont péri !!!

Quand on sait qu'en France les ventes immobilières sont soumises au droit de préemption des administrations, il ressort bien que ledit nazi anglais a bénéficié de mansuétudes...

Et en sus, ce Kevin WHEATCROFT avait argumenté à la municipalité, lors de l'acquisition du château, pensant instaurer une nécessaire confiance, ce qui était en fait une manœuvre pour tromper son monde pour que les vendeurs acceptent de vendre leurs propriétés (il est propriétaire d'une quinzaine de maisons...)(toujours le problème de choix volé aux vendeurs...), qu'il voulait y créer un musée (qui aurait été dédié à sa passion, évidemment...)...




Mais derrière cette façade d'un groupe collectionnant des objets « historiques », se cache une organisation internationale de blanchiment d'argent...

Tout ceci en préambule pour démontrer que ce qui suit est approprié, avéré et recevable, tant pour les délits que pour le lieu de juridiction en la capitale de la France, à savoir Paris, et non en la capitale française du nazisme, à savoir CAEN.













Retour aux faits.




2017. Suite au démarchage de Xavier AIOLFI, je ne donne pas suite. J'avais remarqué que le catalogue de vente de sa « Session d'automne » de 2017, dont il portait en exergue, comme fière référence, pour racoler les vendeurs, les « collectionneurs » souhaitant céder leurs objets, mais aussi et surtout, pour attirer le « chaland », faisait état en couverture d'un uniforme noir « SS » avec la « tête de mort », présenté dans un décor luxueux, avec en entête, les logos de sa société « AIOLFI Gbr » et de celle de Jean RIVOLA et Solène LAINE, « CAEN ENCHERES ».

D'ailleurs, il est à se demander quant à la nécessité « commerciale » de mettre en couverture un tel symbole, qui est un objet somme toute destiné à une clientèle restreinte, d'autant quand on possède, comme Xavier AIOLFI le clame, un fichier de 3500 clients et 7000 contacts !

Ce n'est point une nécessité, mais une raison. C'est un moyen dissimulé de reconnaissance, de rassemblement et de racolage des sympathisants et des adorateurs de par le monde, qui ne seraient pas encore répertoriés... Cette pratique est bien un outil de propagande déguisé.

Je veux bien comprendre la mentalité du quidam collectionneur obsédé, mais j'avoue que celle de vouloir avoir, de posséder, et donc de souhaiter se caresser la rétine à domicile, à titre privé, sans retenue, et ad vitam æternam, un tel « objet », m'échappe... Si ce n'est qu'elle est alors d'une autre définition que celle du collectionneur...

Je ne voulais pas vendre la Mercedes à ce type d'individu, ou à n'importe qui.

Si je ne l'avais pas encore vendue, c'est bien que j'en choisissais soigneusement, comme pour toutes mes autos et motos de collection à la vente, l'acheteur. Il ne suffit pas d'avoir l'argent, l'objet se mérite comme il doit être respecté. Et la précaution morale s'ajoute à un objet lié à un certain versant de l'Histoire.

Si ce choix de vendre à n'importe qui avait été de ma mentalité, il est certain que j'aurais pu trouver grâce à internet ce fameux riche « collectionneur », réputé comme être le plus important de la chose nazie. Si je ne le connaissais pas, c'est bien que je n'avais pas fait de recherche avec ces particuliers mots clés pour trouver ce type d'individus, c'est bien que je ne voulais pas vendre à ce type d'individus, que je ne voulais pas « offrir » un tel objet historique à autre qu'un véritable collectionneur... Et encore moins lié à cette idéologie.

J'avais entrevu la probabilité qu'elle fut l'auto d'Eva BRAUN, ou quoi qu'il en soit, qu'elle fut acquise par un haut dignitaire nazi. Elle était donc un objet « sensible » à ne pas confier à n'importe qui, afin qu'elle ne soit pas utilisée pour n'importe quoi.

Je n'étais point pressé, l'auto faisant alors désormais parti du capital mobilier de deux de mes sociétés anglaises. Elle était une partie de la garantie de leur capital.

2019. Pour des raisons personnelles, matérielles, financières et de logistiques, je devais me séparer de plusieurs de mes objets encombrants, autos et motos, notamment ceux en France.

La Mercedes en question présente un statut particulier, étant la propriété conjointe de deux sociétés, aussi pour sa vente, pour des raisons de clarté comptable et financière, il était préférable de la mettre aux enchères afin de pouvoir justifier son prix, sans discussion ni doute sur d'éventuelles malversations ou de supputés arrangements favorisés.

Aussi, pour ce faire, fin 2018-début 2019, je recontacte certaines personnes qui m'avaient contacté alors à son sujet, et uniquement les professionnels. Parmi eux, se trouvaient d'autres organisateurs de ventes aux enchères, et parmi ceux-ci, se trouvaient Xavier AIOLFI. J'avais complètement oublié sa « spécificité », et sa duplicité toute autant diabolique...

J'étais déjà en discussion avec trois autres mandataires/ organisateurs quand j'ai recontacté le 20 mars 2019, Xavier AIOLFI, ayant oublié ses moralement douteuses accointances. Il arguait d'une part, que son fichier clients collectionneurs acheteurs était fourni (3500 clients et 7000 contacts- quelle différence entre un client et un contact...???), et d'autre part, de l'urgence de la situation au vu de sa prochaine vente deux mois plus tard, du 26 mai 2019, très importante, répartie sur 8 jours !

Ainsi, prétextant la mettre au catalogue, il me demanda de la livrer au plus tôt, soit près d'un mois et demi avant !

Je ne comprendrais que tardivement que c'était un leurre, un chausse-trappe, organisé avec son acolyte nazi, Jean RIVOLA.

Xavier AIOLFI m'avait envoyé un protocole de contrat/mandat le 22 mars 2019, où son nom et sa société en Allemagne était bien mentionnés.

Je ne l'ai ni rempli, ni renvoyé signé.




En effet, des doutes sur sa neutralité, une qualité nécessaire et obligatoire au sens légal en sa situation comme en celle d'un commissaire-priseur, ont commencé à se former le 25 mars 2019, quand il me précise que son prétendu « expert » Didier COSTE, estimait mon auto à 65.000 euros !




Lors de nos premiers entretiens, puis surtout dernièrement avant que je me décide à la lui confier, Xavier AIOLFI prétendait avoir ses « entrées » pour identifier avec certitude le propriétaire originel de l'auto. Cela serait un plus pour la vente, et une garantie pour sa valeur à la hausse. Il m'avait aussi confié qu'elle ne pouvait être l'auto d'Eva BRAUN, ayant eu ce modèle certes, mais qu'il savait où celle-ci était cachée, mentionnant même qu'elle était dotée d'un compresseur...

Au vu de ses connaissances et de ses possibilités de recherches et de relations dans le milieu historique et de la collection, ce, afin d'établir avec certitude un dossier sur l'histoire de cette auto, j'avais opté pour sa « collaboration ». J'avais oublié son attachement à l'idéologie nazie, et à ses contemporains adorateurs.

Mes doutes se sont étoffés quand j'ai constaté qu'après la livraison à mes frais en les locaux de Jean RIVOLA, Xavier AIOLFI ne faisait plus état de recherches à ce sujet, et invoquait même une valeur quelconque de l'auto, sans tenir compte de son historique.




D'ailleurs, le texte accompagnant les photos dans son catalogue, était laconique et peu enthousiasmant, ne motivant pas à l'achat. Un fait étonnant quand on sait que la pratique commerciale se doit d'être à l'opposé, et que l'intéressé serait rémunéré, comme son acolyte Jean RIVOLA, en pourcentage sur le prix de vente. Elle y était présentée au même titre qu'une auto d'une autre époque, même d'après-guerre, et même dans un état moyen (alors qu'elle est dans un état exceptionnel), et ce, selon les dires de son prétendu expert, Didier COSTE... Pour cette tâche, ce dernier ne s'était pas agité les neurones, il avait retrouvé l'auto grâce à internet, dans une vente aux enchères en Angleterre, il y a plusieurs années, où elle s'était vendue dans les 60.000 euros. Cela en devenait son estimation. Un prétendu expert ! Sans compter qu'entre temps, elle était passée en d'autres mains, et que je l'avais payée 72.000 ! Bref, si vous savez rechercher un peu sur internet, vous pouvez prétendre être un expert, et encore plus, en estimer la valeur des choses en faisant un copié-collé !

Une mascarade intellectuelle et morale ! Le Didier COSTE...

Mais, pour s'accaparer l'auto, Xavier AIOLFI me précisait le même 25 mars 2019 par courriel :

« Comme je vous l'ai dit, à mon avis son prix de vente se situe entre 80 et 120.000 euros »...!




Xavier AIOLFI, sans avoir de contrat en mains, a mis l'auto dans son catalogue « AIOLFI Gbr », mettant même une photo du compteur en couverture.

Étrangement, de son côté, Jean RIVOLA me harcelait pour avoir ce protocole, ce mandat dont il m'avait remis un exemplaire de son côté, un modèle déjà lapidaire d'une page d'un texte à la volée pouvant tenir en quelques lignes, litigieux par son absence de précision, comparé à celui de Xavier AIOLFI étalant les termes contractuels sur 5 pages. Celui de Jean RIVOLA, surtout, ne faisait point mention, ni de Xavier AIOLFI, ni de sa société « AIOLFI Gbr », ni même de l'intitulé de la vente spécifiée, à savoir « MILITARIA - Véhicules et équipements des Forces de l’Axe ».

Jean RIVOLA avait déjà son plan pour voler l'auto, sous couvert de légitimité et d'escroquerie déguisée en toute légalité. Le produit du vol serait alors transformé en produit de vente, par le paravent d'une SARL, dont il croît que la limitation de responsabilité le met à l'abri tous azimuts de poursuites sur ses délits pénaux.

Pour ce faire, il se doit évidemment de compter sur des « amis » du même acabit, à savoir des sympathisants nazis bien placés socialement, c'est-à-dire, des notables de la ville de CAEN, en son système juridique et judiciaire, comme des magistrats, des greffiers, des juges, des huissiers, des avocats, des gendarmes, et peut-être même un des procureurs (les sous-fifres, substituts et vices étant assimilés à ce grade puisqu'ils bénéficient des mêmes prérogatives, des mêmes autorités, des mêmes latitudes, et des mêmes impunités...). D'ailleurs, en ce qui concerne l'implication probable d'un de ces derniers, il ressort que Jean RIVOLA essaie depuis le début des « hostilités » juridiques et judiciaires, que je dépose plainte contre lui. Et ce, afin que le débat se fasse en son fief... Il s'y sait couvert puisqu'il manigance aussi des mises aux enchères de saisies, avec un service judiciaire interne dédié à cet effet, en la personne de Corinne GALLI, avec la complicité d'huissiers de circonstances, pour certains véreux.

Mais en ce qui me concerne, il a bâti de A à Z son entreprise de spoliation (une pratique bien usitée sous le IIIème Reich...), par un ensemble juridique avec ses accointances pour établir des documents et des décisions de justice de complaisance afin de s'approprier par une manière d'apparence, mais fallacieusement, légale, l'objet et la somme pécuniaire équivalente de son paiement... Il a à la fois l'auto et sa contre-valeur. Et des « amis-sympathisants » bien placés pour étouffer l'affaire quant à ses délits, et en parallèle, pour établir des justifications appropriées pour mettre en exergue de fausses irrégulières attitudes de ma part.

Que demander de plus pour exercer à loisir et avec succès chantage, intimidation et extorsion ?

Un avocat pour ficeler le tout ?

Le cabinet WEBEN NICOLE ANDRIES-LAUDAT, et spécialement en la personne de Jérôme NICOLE, prétendu avocat, servira la cause toute autant que la « fraude »...




Dès que l'auto fut confiée personnellement à Jean RIVOLA, étrangement, la communication ne se faisait plus essentiellement qu'avec lui, Xavier AIOLFI devenant au fil du temps distant, me renvoyant même au premier pour les points administratifs, juridiques et financiers...

Il est à préciser que l'auto a bien été confiée personnellement à Jean RIVOLA vu que le 26 mars 2019, Xavier AIOLFI me demandait de livrer l'auto à l'adresse de la SARL « CAEN ENCHERES », 13 Route de Trouville à CAEN, alors que l'intéressé m'informa plus tard de la livrer à une autre adresse, au 1 Rue des Monts Panneaux, ZI Ouest, 14650 CARPIQUET, et qu'il fallait prendre rendez-vous personnellement avec lui, et le prévenir à l'avance...

Au préalable de la livraison de l'auto, je posais les questions de mise au point.

Je leur faisais part à tous deux, mais spécialement à Jean RIVOLA, du fait que l'auto appartenait à une société, étrangère de surcroît, malgré sa carte grise française en mon nom. Jean RIVOLA me confirmait le 08 avril 2019 faire la distinction légale et juridique entre une attestation de propriété et un titre de circulation, et que donc, il n'y avait pas de problème de son côté, à savoir qu'il pouvait la mettre en vente au nom de la société, tout en ayant la carte grise à mon nom. Il était aussi informé de ma situation de non résident en France.

Je lui (leur) ai fait pleinement confiance.

J'ai fait livrer la Mercedes à mes frais.




Le 15 avril 2019, Jean RIVOLA me demandait de lui fournir les coordonnées du vendeur, exprimant bien le fait de sa connaissance de la situation, à savoir qu'elle ne m'appartenait plus, mais à deux sociétés.

D'ailleurs, le 06 mai il renouvelait sa demande « Je m'inquiète de ne plus avoir de vos nouvelles de votre part depuis plusieurs semaines, surtout en ce qui concerne le mandat de vente. La date de vente approche (le 22/05) (sic) et je ne sais toujours pas qui est le vendeur de ce véhicule. Sans mandat de vente je ne pourrai pas présenter celui-ci à cette vacation »...

Le 14 mai 2019, Jean RIVOLA manifeste toujours en s'impatientant, son incapacité à établir un mandat, demandant l'adresse et le pays de la société propriétaire de l'auto. Il sait pertinemment que je n'en suis plus le propriétaire.

Le 17 mai 2019, je transmets par deux fois, par deux courriels, à Jean RIVOLA ainsi qu'à Xavier AIOLFI, le document de ma société stipulant la propriété de cette auto.

Étrangement, Jean RIVOLA déclara ne l'avoir jamais reçu, et Xavier AIOLFI m'expliqua plutôt par téléphone que ce document, pourtant légitime et conforme à ce que j'avais prévenu et à la réalité, les dérangeait, et qu'ils préféraient un document en mon nom personnel, quitte à ce qu'il soit faux et irrégulier.

Je ne compris pas, mais par la suite, trop tardivement, j'ai saisi que cela perturbait leur plan pour voler l'auto, étant un bien social, qu'ils auraient eu plutôt du mal à manipuler auprès des instances françaises, d'une société anglaise...

Si je n'avais pas encore compris leur manigance, en revanche, mes doutes en leur probité, s'amplifiaient.

Mais, j'étais coincé, et Jean RIVOLA comme Xavier AIOLFI jouaient de concert, mais chacun de leur côté, au chantage et à l'extorsion d'accord et d'implication contrainte sur ma personne à une fraude sociale internationale, et même à de fausses déclarations, ce, sous le sceau, à leur entier bénéfice, de l'avantage du temps en leur faveur, et de la séquestration, la prise en otage de la Mercedes, afin d'obtenir ma signature en mon nom sur un mandat de mise en vente.




En aparté, c'est exactement la même tactique délictueuse et la même manœuvre malhonnête entreprise par la suite, après la vente, avec la complicité de Jérôme NICOLE...




C'est bien pour cela que j'ai dû signer, non pas immédiatement comme je l'aurais fait en des circonstances claires et légales, mais une semaine après, un prétendu mandat le 24 mai 2019, soit deux jours avant la vente, alors que l'auto était en les mains de ce duo de crapules depuis un mois et demi !




La veille, le 23, par deux courriels, Jean RIVOLA s'agaçait toujours, exprimant bien le fait qu'il savait qu'une société était bien la propriétaire de l'auto, et qu'il ne pouvait présenter l'auto sans document :

« J'avoue ne pas comprendre pourquoi vous ne pouvez pas m'adresser ces renseignements demandés depuis 1 moi (sic), c'est peut-être moi qui m'exprime mal. Sans ces renseignements et donc sans mandat de vente, la voiture ne pourra être présentée dimanche... c'est dommage. », et « Sans ces informations, la vente ne pourra être faite et rien aucune de ces informations ne figuraient dans votre dernier mail. Je suis désolé de vous embêter avec cela, mais ça urge vraiment et j'ai plusieurs clients qui veulent enchérir » !




Je savais pertinemment que ce mandat était, par ses termes et sa teneur, non conforme et non légal, et que par conséquent, il était irrégulier et irrecevable juridiquement, rendant toute vente caduque et illégitime, en sus du fait de l'absence de carte grise en main par le prétendu commissaire-priseur.

Je pouvais gagner du temps tout autant que du répit sur leur harcèlement.

Ce fut bien une extorsion par Jean RIVOLA et Xavier AIOLFI, basée et assortie de chantage et d'intimidation. Leur commune sale attitude empreinte de mauvaise foi et d'hypocrisie, démontrera par la suite, cette duplicité.

Pourtant, le 25 mai 2019, la veille de la vente, Jean RIVOLA m'informait n'avoir rien en mains, c'est-à-dire, nullement ce mandat.

Puis, plus rien. Aucune confirmation quoi que ce soit de sa part, qu'il a le mandat en mains, ou que l'auto sera présentée en vente !

Plusieurs jours après la vente, le 31 mai 2019, n'ayant aucune information de sa part, et pour accumuler les preuves sur leurs malversations, j'interrogeais Jean RIVOLA sur le « résultat ».

Laconiquement, il répondit qu'elle fut adjugée, au prix de réserve ! Il n'y aurait eu qu'un seul enchérisseur...

Si tant est que l'auto fut réellement présentée en vente, cette dernière étant à caractère confidentiel, je rappelle...

Pourtant, bien avant que je ne signe par contrainte ce mandat, Jean RIVOLA et Xavier AIOLFI se vantaient d'avoir plusieurs personnes intéressées, exprimant tacitement que son prix irait forcément à la hausse, rappelant son estimation d'au moins de 80 à 120.000. Or, les autres objets, les autres véhicules présents à cette même vente, pourtant quelconques au regard de cette Mercedes, sont partis à des prix bien au delà des estimations ! Au cours d'une vente pour laquelle 3500 clients et 7000 contacts avaient été informés, et un seul enchérisseur au final ??!!

Un prix de réserve bas est un stratagème psychologique trompeur utilisé par les commissaires-priseurs pour « motiver » les enchérisseurs, et les vendeurs jouent le jeu, à leurs seuls risques et périls.

Il a donc fallu que j'interroge à nouveau Jean RIVOLA le 12 juin, soit plus de deux semaines après la vente, au sujet de son paiement, pour qu'il m'avoue que l'adjudicataire, étranger, qu'ils, RIVOLA et AIOLFI, en ses termes, « connaissaient très bien », lui avait déjà payée une semaine auparavant...

Le sieur Jean RIVOLA s'agaça de mes interrogations, alors qu'il avait l'argent sur son compte, et qu'il s'était déjà grassement payé de ses honoraires, de près de 20.000 euros !!! Ce dernier point constituant un délit supplémentaire, mais les crapules n'en sont jamais à un près. Surtout quand « ils » se savent couverts par la nomenklatura locale vouée à la même cause satanique, à la même idéologie, nazie en cette circonstance et en cette ville de CAEN.

Je l'interrogeais aussi sur l'identité de cet acquéreur. Aucune réponse !

Quant au versement de l'argent qu'il a sur son compte, et qui ne lui appartient pas, qui n'est plus tout à fait celui de l'adjudicataire, ni pas encore celui du vendeur, il en profite pleinement. Il ose même clamer que « le délai légal de paiement du vendeur est de 2 mois après la vente ». Une fausse assertion, qu'il déclara plus modérément dans un autre courriel que c'est une « règle d'usage »(...), qui apparaît subitement, et après la vente, et qui n'était point stipulée dans le prétendu mandat qui doit, somme toute comme tout contrat, faire état de toutes ces « tracasseries » contraires à toute logique et à toute honnêteté, afin d'en informer, alerter et obtenir un agrément en pleine conscience de la part du futur lésé.

Je reste patient, je perds du temps, mais il me faut accumuler les preuves de leurs faussetés et de leurs délits.

Par expérience, je sais que les salopards ne s'arrêtent jamais, et même quand ils se savent mis au jour, ils en commettent toujours davantage pour dissimuler les précédents.

En bon individu de cette espèce, Jean RIVOLA ne fait pas exception à la règle, et implique d'autres personnes qui vont être sous la lumière. Ainsi, après plusieurs mois d'attente, Jérôme NICOLE apparaît.

Mais avant cela, je reçois à mon adresse de Paris, le moyen de me forcer à accepter l'inacceptable, la vente, par un chèque et son état des comptes fallacieux, frauduleux et faux, portant une somme à la baisse de ce qu'il devrait payer.

J'envoie alors à ce petit sale personnage aux actes crapuleux, à son associée et à sa comptable, une missive mise en demeure, dénonçant la mascarade, le vol dissimulé en escroquerie, et tout les délits qui s'y rattachent.

Je l'informe que la vente est caduque, que le chèque qu'il m'envoie ne peut être considéré que comme une avance sur les préjudices qu'il a causé sur ma personne, et sur mes sociétés propriétaires de la Mercedes, estimés alors au moins à 250.000 euros, et l'intime de me restituer immédiatement l'auto.

Normalement, même s'il avait encaissé l'argent de l'adjudicataire, la vente ne pouvait être entérinée vu l'absence en ses mains des documents nécessaires, qu'il aurait dû avoir auparavant la vente. Ainsi, s'il avait respecté la loi, il n'avait encore moins aucun droit de livrer l'auto, comme il n'avait aucun droit de s'approprier un seul cent de la somme versée par celui-là.

J'ai compris par la suite qu'il avait fraudé, et qu'il avait livré la Mercedes, accompagnée de faux document et de fausse attestation administrative.

J'ai attendu plus d'un mois, puis j'ai mis le chèque à l'encaissement, me doutant aussi qu'il n'était point solvable.

L'affaire fut entendue ainsi, car l'aigrefin Jean RIVOLA avait bien manigancé son coup avec sa collaboratrice comptable Naida KOZO et ses amis sympathisants à la cause nazie, de la banque locale du Crédit Agricole. Il avait ourdi dans mon dos, une opposition, certes illégitime, illégale et frauduleuse, qui aurait dû être refusée par les responsables de sa banque. Mais ces derniers, ne respectant pas la loi, et outrepassant leurs prérogatives, ont rejeté le chèque aux faux motifs abusifs, illégaux et irrecevables d'« Usage Frauduleux (n°12)»,mais aussi de « Falsification/Surcharge (n°33)», de « Faux chèque (n°34) »(!) et probablement d'« Absence ou irrégularité de l'endos (n°35)» (!), dont la référence exprimée est notée n°45 alors qu'elle n'existe pas !!!

Or ce chèque n'est pas frauduleux et encore moins faux puisqu'il a été ordonné, signé et envoyé par Jean RIVOLA à mon attention, et qu'il ne comporte aucune falsification ni surcharge ni même rature, et qu'il m'avait été adressé avec comme ordre de paiement à ma personne, et que j'ai déposé en l'état ledit chèque sur mon compte bancaire français de «  La Banque Postale, confortant la non absence ou irrégularité d'endossement !

Cette dernière, de connivence dans cette escroquerie par certains de ses employés anonymes avec ses « collègues » du Crédit Agricole, sans doute par idéologie analogue nazie, avait été informée de la situation particulière de ce chèque, dès les premiers jours de son dépôt à l'encaissement le 19 juillet. Mais, ceux responsables de mon compte ont attendu le dernier jour de délai de mise à disposition des fonds, soit plus de quinze jours, pour créditer et débiter dans le même instant cette somme de 59.087,50 € !

J'ai obtenu par la suite, avec insistance, la preuve que les responsables de La Banque Postale savaient depuis le 25 juillet 2019 la crapulerie fomentée par le Crédit Agricole au seul bénéfice de leur client Jean RIVOLA, et qu'ils avaient fourni du temps aux mêmes lascars du Crédit Agricole et de leur client Jean RIVOLA et comparses, de faire des procédures dans mon dos, comme un fallacieux dépôt de plainte à la gendarmerie, bien « habituée » à la « chose nazie »...

J'ajoute que le responsable de ma banque et de mon compte, qui s'est soigneusement et illégalement installé dans l'anonymat, a joué en ma défaveur depuis le début, quitte à commettre des délits comme un rétention de preuve et d'information, et une incitation à la fraude. Il n'en est pas à son premier délit, ni à sa première fraude, ayant détourné de mon compte, plusieurs mois auparavant, plus de 2500 euros en toute impunité ! C'est bien pour cela que je ne voulais absolument aucune somme importante sur ce compte, n'ayant confiance, ni en cette banque, ni en aucune autre en France. Sans compter la ridicule pathétique paranoïa sur l'argent, et leurs mouvements, qui fait limiter en toute illicite contrainte, ses clients sur de petits montants, et qu'ainsi, il m'aurait été nécessaire pour transférer cette somme sur un autre compte bancaire, même français, 20 jours, en ayant seulement le droit obligatoire, sans moyen de discuter, d'un journalier de maximum 3000 euros !




Hormis le fait que la législation française oblige pour tout versement de toute importante somme d'être effectué par virement, et d'autant par des personnes assorties au domaine officiel, comme un notaire par exemple, Jean RIVOLA a fait cette action de délivrer un chèque, constituant déjà un délit, au grand dam d'un absolu désaccord de ma part, comme de ses engagements préalables à la vente selon lesquels le paiement se ferait légalement et donc par virement. Jean RIVOLA mentit plus tard devant le tribunal en sa procédure de référé, par l'intermédiaire de Jérôme NICOLE, pour justifier sa « démarche » illicite en invoquant celle de « prudence »...

Or, Jean RIVOLA fit cette manœuvre incongrue et illégale pour un autre motif que celui de payer.




Les 27 et 29 août 2019, j'informe respectivement, de leur grave délit sur ce chèque tout autant que de leur participation indirecte mais reliée à de graves délits, faisant d'eux des complices par certains les concernant puisque j'y évoque des fraudes comptables et fiscales ainsi que du blanchiment d'argent, la direction générale du CREDIT AGRICOLE NORMANDIE en la personne de Daniel EPRON, et la direction générale et le comité directeur du CRÉDIT AGRICOLE S.A. à Montrouge en DOMINIQUE LEFEBVRE.

Aucune réponse de leur part !




Le 13 octobre 2019, je découvre dans une de mes nombreuses adresses e-mail, un courriel de la part du prétendu avocat Jérôme NICOLE, daté du 27 septembre 2019, soit le lendemain d'un rendu de justice dont j'étais le défendeur au TGI de CAEN (!), qui n'est point mon lieu de juridiction, au titre d'une procédure à mon encontre (!) dont je n'en avais aucune connaissance...

Je découvre alors que cet énergumène avait intenté une procédure à mon insu en cette date du 26 septembre 2019, par le mode référé, bien utile pour les crapules, car les juges sont très souvent peu regardants...

Malheureusement pour lui et pour la bande nazie à Jean RIVOLA, la présidente du TGI de CAEN, une rare magistrate sensée, pertinente et non corrompue, en avait ordonné le renvoi pour cause de manquement d'information au défendeur. Cette « petite pute » d'avocat avait tenté d'abuser du droit, et même de le fourvoyer afin d'obtenir une extorsion de ce que je me refusais à participer, la vente frauduleuse, et ce, en l'assortissant d'une importante astreinte de 2000 euros par jour, qui aurait été évidemment prélevée sur la somme qu'il prétendait me devoir, établissant de fait, la vente comme effective, et récupérant son produit.

De son vol, Jean RIVOLA avec la complicité de son serviteur à la cause nazie Jérôme NICOLE, le transformait légalement en une vente comme légale, tout en conservant l'argent de sa contre-valeur.

Il pouvait ainsi obtenir par coercition un accord à posteriori qui aurait effacé, certes faussement par oubli et classement, son délit d'avoir mis en vente l'auto, mais aussi de l'avoir encaissée, de s'être payé de ses « honoraires », et de l'avoir livrée, et ce, avant tout règlement administratif.

Le Jérôme NICOLE était bien contraint de m'informer du renvoi au 17 octobre, sinon, il ne l'aurait point fait, comme pour la première instance.

Et j'ai découvert le pot-aux-roses, du moins une partie.

Sa procédure en référé était légitimée, certes fallacieusement et illégalement, par le caractère urgent à remettre les documents nécessaires en bonne et due forme à l'adjudicataire, qui s'impatientait...

Le fait de l'urgence de me restituer l'auto, ou de la payer, n'était point urgent !!!

Une urgence qui s'est étrangement évanouie quand j'ai profité de ma missive à son endroit, en réponse et en mise en garde de la fraude au Droit auprès de Mme La Présidente pour ce référé, pour proposer un arrangement à l'amiable sous ultimatum de quinze jours, et qui tenait par la logique juridique et morale, en la restitution pure et simple de la Mercedes, faisant état de l'annulation de la vente, effaçant ainsi ses délits.

Étrangement, la réponse laconique qui fut par la négative, m'a été signifiée une semaine après, ayant pris alors tout leur temps. Ils voulaient absolument conserver la Mercedes, destinée, et sans doute déjà livrée, à leur supérieur dans l'idéologie nazie, leur très chère connaissance, le nazi anglais Kevin WHEATCROFT...




A ce jour, je n'ai point d'information, mais j'ai de forts doutes que cette bande de crapules, Jérôme NICOLE inclus, n'ait pas entrepris une ou plusieurs autres procédures dans mon dos, à mon insu et de celles des sociétés à qui appartient la Mercedes, et ce, pour récupérer un document administratif, comme celui des cartes grises, pour l'exporter et la faire immatriculer, malgré l'enregistrement de la vente/acquisition au nom de la société...

Sa procédure en référé, dont il était contraint finalement de m'en informer grâce à une juge intègre, qui était déjà irrecevable par son lieu de juridiction puisque le salaud Jérôme NICOLE l'avait intentée sur son territoire et celui de la bande de nazis français de Jean RIVOLA, c'est-à-dire en le TGI de CAEN et non en celui de PARIS, ce dernier étant seul compétent puisque celui du défendeur, moi-même, autant que mes société, fit apparaître en filigrane l'identité du bénéficiaire solitaire de cette vente, en la WHEATCROFT (GROUP) LIMITED.

Il est à retenir que ledit Jérôme NICOLE s'est bien gardé de ne me transmettre aucun des éléments cités et listés dans ses réquisitions, et que je n'ai pu apercevoir ce nom que dans le bordereau des pièces en fin de l'assignation en la référence n°16 !

J'ai alors fait une recherche sur internet, et le nom est sorti immédiatement, autant que celui de son sulfureux fondateur et propriétaire, le réputé millionnaire britannique, adorateur d'Adolf HITLER, vouant un culte au IIIème Reich et à son idéologie, Kevin WHEATCROFT, se déclamant être le plus grand collectionneur au monde d'objets nazis !




J'ai alors compris que j'avais été triplement floué par le duo Xavier AIOLFI-Jean RIVOLA, d'abord sur la valeur de l'auto, puis sur la contrainte de mise en vente sous de faux termes, et finalement sur sa destination, puisque je n'aurais jamais accepté de vendre à une telle sale personne, qui n'est nullement un collectionneur, mais un propagandiste faisant l'apologie de cette idéologie par le biais de provocation au travers d'objets spécifiques !




J'ai cependant voulu contacter ce personnage, très difficile à atteindre, vu qu'il n'y a point d'adresse e-mail, même sur son site dédié, et même sur la page de sa collection sur Facebook...

Par ce dernier média, j'ai posté l'information et l'interrogation simple :

« Hello,   it seems that your group bought at the auction in France the 26th of May, my become STOLEN MERCEDES 170V 1939. I know you paid it, but has it been already delivered ? And if yes, with all documents ? Because, if yes, there are false ones and the delivery fraudulent as the sale. Anyway, I don't know where is my car, and I have no money. Those people were and are still trying to screw me, involving me in a laundering money and tax traffic business, and I do not appreciate. I'm going to file a criminal complaint, so, thank you to reply me at once in order to find a settlement out of Court.  Have a good day. Laurent GRANIER ».




L'identique réaction outrancière et tendancieuse de Kevin WHEATCROFT, mais aussi de sa sœur, Alexandra Mary WHEATCROFT, me menaçant de me poursuivre pour diffamation, était qu'ils donnaient mon message à leur avocat.

Je leur rétorquais que d'une part, leur réaction n'était pas légitime puisque je posais une simple question, qui plus est en les informant d'une situation dans laquelle ils auraient été mis à leur insu, et que je ne disais nullement qu'ils avaient volé l'auto, et d'autre part, que leur réaction n'était point celle de personnes honnêtes, innocentes et ignorantes de la situation. J'ajoutais pour conclure, qu'ils n'avaient pas répondu à ma question, et qu'ils n'avaient pas nié être en possession de cette auto désormais volée...

J'ai alors compris que les personnages responsables et propriétaires de ce groupe WHEATCROFT (GROUP) LIMITED, à savoir Kevin WHEATCROFT et Alexandra Mary WHEATCROFT, mais aussi Philip James O'CONNOR, étaient de la combine avec Jean RIVOLA et Xavier AIOLFI, en tant que « très bonnes connaissances »...

J'ai aussi compris que ce « groupe » n'était en fait qu'un paravent d'identité sociale légale, pour cacher la misère d'investissements frauduleux en vue de blanchiment et de trafic d'argent à un niveau international, sans doute lié à une organisation mafieuse et criminelle, le nazisme étant...

Quelle meilleure façade pour dissimuler et gagner tant de millions, en se faisant joie de nager dans son idéologie, aux yeux de tout le monde, et narguer les lois des pays et des Droits de l'Homme, tout autant que de la morale ?..




Mais Jean RIVOLA et Xavier AIOLFI ont à servir leur frère idéologique, tout autant nazis que Kevin WHEATCROFT, en lui livrant par tous les moyens l'auto qu'il convoite.

Quand tout honnête homme n'aurait pas volé un objet, quand tout honnête homme n'aurait pas mis illégalement en vente un objet pour transfigurer son vol en une cession, quand tout honnête homme n'aurait pas accepté de contourner la loi n'ayant pas tous les documents et autorisations requis pour mettre un objet en vente, quand tout honnête homme face à une erreur de sa part aurait annulé la vente, quand tout honnête homme aurait restitué immédiatement l'objet, quand tout honnête homme n'aurait pas abusé de malicieuses ruses juridiques pour s'approprier en définitive un objet qu'il a volé, quand tout honnête homme n'aurait pas comme « très chère connaissance » un nazi de grande envergure, Jean RIVOLA, lui, ainsi que Xavier AIOLFI, en revanche, contraignent une personne lésée, une personne volée, à obtempérer pour « céder » l'objet, ce, contre la loi, mais aussi et surtout contre la morale et l'éthique de la personne « venderesse », allant même à bafouer son droit à la dignité !

Il reste que les deux sociétés de droit anglais à qui appartient la Mercedes, sont toujours dans la position à être considérées comme telles, malgré le statut de « dissout » mis fallacieusement en exergue par le béotien en matière de Droit, Jérôme NICOLE, pour décrédibiliser ma personne tout autant que ces sociétés, car il n'empêche pas le maintien de cette propriété en bien social, d'autant quand la dissolution a été prononcée automatiquement, et non requise par les associés ou le gérant, et surtout, qu'une procédure de « réanimation », de réactivation est possible en droit britannique, notamment dans les 6 années suivantes !

Ces sociétés peuvent être ressuscitées, et l'auto appartenir toujours à ces sociétés, puisqu'elles n'ont pas été « sorties » du capital !

Quant au fait du droit au secret des sociétés, le Jérôme NICOLE, l'ignore totalement.

Ce fait constitue sans conteste d'importants dommages commis par Xavier AIOLFI et Jean RIVOLA sur ces deux sociétés, en ayant détenu illégalement et illégitimement la Mercedes, un bien social, en l'ayant pris en otage, en l'ayant dérobé, en l'ayant vendu, l'ayant livré, et surtout, en refusant de le restituer, notamment au vu qu'ils ont la parfaite connaissance du lieu où le bien recelé est conservé...

Les préjudices ont causé l'impossibilité de réanimer ces sociétés, et particulièrement la clôture d'un compte bancaire par la banque.




Il est à noter la constante affligeante campagne systématique de dénigrement et de diffamation à l'encontre de tout ce qui n'est pas franco-français, personnes physiques et morales, notamment françaises non résidentes en l'hexagone, comme envers même toute société étrangère, des pratiques utilisées et usitées frauduleusement comme fallacieux arguments auprès des magistrats et des fonctionnaires français, et spécialement par certains avocats, comme en la personne de Jérôme NICOLE. Ce dernier a fait, non seulement preuve de son incompétence en matière de droit français, mais aussi, et pire, en celui au niveau international dont il fait pourtant état, dans le seul but de diffamer, de décrédibiliser, de rabaisser, de railler, de mépriser, voire d'humilier mes sociétés autant que ma personne !

Cet immoral comportement professionnel, délictueux, malhonnête et fallacieux, doit être sanctionné d'une manière exemplaire, car, au surplus, il déshonore le système juridique et judiciaire français en son entier et en son plus profond.




Aussi, Je, soussigné Laurent GRANIER, en mon nom propre,

et en tant que représentant légal des sociétés de droit anglais,

dépose une plainte pénale avec constitution de partie civile contre les personnes suivantes :

Xavier AIOLFI, né le 08 avril 1970, domicilié au 12 Doktorberg, 83471 BERCHTESGADEN, ALLEMAGNE;

Jean RIVOLA, sis en l'«  Étude Jean RIVOLA », 13 route de Trouville, 14000 CAEN ;

Kevin WHEATCROFT, né en Décembre 1959, Directeur de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED, ayant plusieurs domiciles en France, notamment à LUCHAPT, commune de Nouvelle-Aquitaine, en le château Valentin, et en Moselle;

Alexandra Mary WHEATCROFT, née en avril 1968, Secrétaire et Directrice de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED;

Philip James O'CONNOR, né en Juin 1962, Directeur de WHEATCROFT (GROUP) LIMITED;

Didier COSTE, né en 1956, prétendu expert pour AIOLFI;

Emilie WEYL, née en 1980, déclarée officiellement comme contact et représentation en France du « Cabinet Aiolfi Gbr »;

Solène LAINE, associée à Jean RIVOLA au sein de la SARL « CAEN ENCHERES »;

Naïda KOZO, responsable administrative, comptable, financière et fiscale de la la SARL « CAEN ENCHERES », domiciliée 3 rue Jonchets, 14123 CORMELLES LE ROYAL;

Jérôme NICOLE, prétendu avocat, à la SCP WEBEN NICOLE ANDRIES-LAUDAT, 77 rue de Bernieres 14000 CAEN;

« AIOLFI G.b.r », sise Doktorberg 12, 83471 BERCHTESGADEN, ALLEMAGNE;

SARL « CAEN ENCHERES », n° agrément 2002-223 de ????, sise 13 route de Trouville, 14000 CAEN ;

CREDIT AGRICOLE NORMANDIE en son président Daniel EPRON, 15 Esplanade Brillaud de Laujardière, 14000 CAEN;

Mais aussi contre toute personne non encore identifiée ayant participé activement ou passivement en au moins un des délits, comme par exemple, certains gendarmes et la Gendarmerderie de CAEN, certains responsables du CRÉDIT AGRICOLE S.A., en la personne de Dominique LEFEBVRE, certains responsables de La BANQUE POSTALE.

et contre toute autre personne pouvant être découverte lors de l'instruction et de l'enquête.

Au titre des délits commis, c'est selon la personne, et/ou associés, et/ou complices de :

Vol, Escroquerie, Tromperie, Abus de Confiance, Blanchiment, Détournement de Fonds, Fraudes Internationales Fiscales et de Tva, Blanchiment de Fraude Fiscale, Fraude à la TVA, Fausse Déclaration, Faux et Usage de Faux, Dépôt de Plainte Abusif et Fallacieux, Entrave à la Manifestation de la Vérité, Non Respect des Obligations et des Règles en Matière de Vente aux Enchères, Vente Illicite, Commerce et Promotion d'objets Associés à la Propagande de l'idéologie NAZIE, du Culte du IIIème Reich et de l'adoration d'Adolf HITLER, Subornation de Témoin par Intimidation, Menace et Chantage, Contraintes et Chantage en vue d'extorsion d'accord et de Faire Participer à des Délits et à une Fraude Comptable et Fiscale, Fraude Bancaire, Déclaration Frauduleuse, Collusion avec Certaines Autorités en Vue de Dissimulation de Délits Pénaux, Délits en Bande Organisée, Abus et Détournement Fallacieux de Droit, Procédure Abusive, Séquestration d'objets et de Fonds, Association avec des Entreprises Criminelles Internationales Mafieuses Spécialisées en Matière de Blanchiment, de Trafic Financier et d'influences, et Autres.




Pour l'heure, sachant que ce qui m'importe le plus est la condamnation pénale de ces crapules, et la restitution de la Mercedes afin qu'elle ne reste pas entre les mains de nazis.




Laurent GRANIER




Les salles de vente aux enchères étant sous réglementation, j'ai bien évidemment alerté l'organisme national officiel qui se charge de la surveillance du respect des procédures, des rappels à l'ordre, des sanctions éventuelles, et donc des agréments d'exercice. Car, il faut être doté d'un agrément pour prodiguer de telles ventes.

J'ai donc alerté et déposé une plainte contre Jean RIVOLA et Solène LAINE auprès du « Conseil des Ventes Volontaires de Meubles aux Enchères Publiques », au 19, avenue de l'Opéra à Paris, en la personne de son président, Henri PAUL.

J'ai aussi alerté le préfet de la Préfecture du Calvados.

Et j'ai même déposé une plainte avec constitution de partie civile auprès de Madame Le Commissaire du Gouvernement
Près le Conseil des Ventes Volontaires de Meubles aux Enchères Publiques.

Rien ne fut fait contre eux.

Les lascars continuent leur exercice.

Et aucune nouvelle de la part de ces personnes censées faire régner la régularité de la profession, qui est, normalement, et seulement d'après les textes législatifs, très encadrée et surveillée.




Mais, comme je l'avais déjà évoqué, ces organismes ne servent que pour étouffer les affaires dans l’œuf, et endiguer de possibles néfastes remontées médiatiques.

Corruption absolue de tout le système administratif et gouvernemental français.




Je rappelle que cette auto appartient toujours à une société, et non plus à moi depuis septembre 2017.

Et qu'il y a une loi, une législation faisant état d'une considération distinctive entre un titre de propriété, et donc une propriété, et un titre de circulation...




Petit aparté sur la LICRA et les KLARSFELD.




Me retrouvant confronté à des nazis, de surcroît, français, et même d'un anglais insultant sur notre sol national, la mémoire de victimes de leurs « frères » passés durant la seconde guerre, qui faisaient étalage de leur idéologie, j'ai alerté la LICRA et les KLARSFELD.

Ce, non pas pour qu'ils prennent fait et cause pour mon cas personnel, mais afin de faire le buzz sur leurs sales et illégales entreprises, et notamment pour organiser une manifestation devant la salle de « CAEN ENCHERES » durant une prochaine vente qui allait se passer deux semaines plus tard, en novembre 2019.

J'ai donc tout naturellement contacté la LICRA, qui m'a d'abord répondu d'un courriel pour me confirmer que leur association s'occupait de tels cas. Je ne leur avais pas encore précisé l'identité des incriminés et la nature des authentiques délits. Dès leur connaissance, plus aucune nouvelle !

Même pas de politesse. Cette dernière ne doit pas faire partie de leurs statuts d'association...

En effet, toutes ces associations n'ont qu'un but, faire de l'argent.

Elles en récupèrent en subventions, mais aussi par des procès faciles qu'elles intentent souvent contre de faibles personnes.

Et comme je l'ai déjà dit, ces types d'associations sont aussi des entreprises (aux deux sens du terme) pour apprendre au préalable, pour déceler et pour anticiper les futurs problèmes, notamment médiatiques, que leurs « amis », « frères et sœurs », auraient à faire face. Les salauds détiennent les associations qui pourraient les dénoncer. La technique mafieuse classique, déjà évoquée.

Et quand je parle de leurs statuts, c'est bien que ces associations, quand elles sont confrontées à une affaire gênante, elles la déclinent en stipulant que le cas ne relève point de leurs statuts juridiques dans lesquels ils ont à s'inscrire scrupuleusement, sans autorisation d'en sortir.

Comme je l'ai déjà dit, la lâcheté n'a pas de prix. Sauf celui de la moralité.

En ce qui concerne la LICRA, qui n'a pas en ses statuts, celui de la politesse et du respect, ce fut Claire LOPEZ, et en ce qui concerne le « bottage en touche » au vu de leurs statuts réfractaires, ce fut Frédéric Dos SANTOS du MRAP.

Maintenant, passons à l'imposture morale du siècle, du moins française.

J'avais aussi besoin d'un appui de renom pour cette entreprise sérieuse de mise à l'index publique de pratiques nazies en France.

J'ai contacté le fameux couple, qui se targue d'être, chacun d'eux, noble de moralité.

Certes, ils ont fait un travail risqué, utile et fondamental par le passé lointain.

Mais, en définitive, que fut la suite de leurs « carrières » en ce domaine du pourfendeur de l'Injustice et du rétablissement de la Justice ?

Rien d'autre qu'une pathétique, affligeante et surannée, voire fatigante pour nous, association pour maintenir un « devoir » de mémoire permanent sur les déportés et disparus des camps.

Quand on analyse bien, ils n'ont entrepris cette difficile, et certes dangereuse, voie de traques des impunis uniquement parce que les victimes de ces salauds avaient été juives, et qu'eux, le sont.

Celle-ci n'a point été une quête de réelle Justice, celle avec abnégation, mais juste une motivation de vengeance « personnelle ».

Certes, ce dernier point n'est ni répréhensible, ni irrespectable en de telles circonstances, mais, en réalité, cette détermination n'était le fruit que d'un égocentrisme lié à leur obédience judaïque.




Et qu'en fut-il de leur aide contre les nazis français actuels ?

Béate KLARSFELD, acariâtre, m'avait pourtant assuré au téléphone, avant que je lui envoie les précieuses et précises informations de ce qu'il allait se passer en France, qu'elle me répondrait, quoi qu'il en soit, par l'affirmative ou non de leur soutien, médiatique s'entend.

Elle ne me répondit même pas !

Pourtant, je lui avais mâché le travail intellectuel et moral en lui précisant que certains « articles » en vente publique, comme des uniformes de « SS », provenant notamment des pays de l'Europe de l'Est, pouvaient être de ceux portés par les « bourreaux » qu'elle et son mari avaient dénoncés et poursuivis, et qu'ils pouvaient même être de ces « objets » vus pour la dernière fois de leur vie, par les personnes dont elles se réclamaient être la défenderesse et le maintien de leur mémoire.

Et de finir que cela était inacceptable moralement, autant pour elle, pour son mari, pour son fils, mais aussi pour tout Homme.

J'ai alors compris que leur entreprise passée n'était qu'une malhonnête imposture morale, et qu'elle n'était liée qu'au fait que ces crimes avaient été commis à l'encontre de juifs.

Et que des autres victimes, elle et lui, comme leur fils médiatique, s'en moquaient totalement.

Et puis, j'ai aussi compris qu'ils n'allaient pas soutenir un goy dans un combat contre des nazis, de surcroît potentiellement dangereux par la connexion de ces derniers avec la secte maconnique.

Les KLARSFELD ne sont des gens « biens » que pour les juifs, que par des juifs.

C'est même pire que de la dérobade morale, puisqu'ils ont bénéficié et continuent à bénéficier d'une aura universelle et généraliste, par la faveur d'une confusion sur leurs intentions premières entretenue par des « gens » en quête d'exemple.

Mais, de héros, ils ont usurpé le titre de noblesse morale, qui ne peut trouver l'étoffe, ni dans leurs actes, ni dans leur mentalité, ni dans leurs esprits.

Juste de l'entre soi exacerbé, un devoir vengeur, certes légitime, mais malsain d'air supérieur et nombriliste.





Chapitre 9 : La suite par le pillage et la spoliation de mes biens en France, par détournement, escroquerie et vol d'une de mes autos par un couple de crapules, protégés par la Française-Maconnerie varoise avec la bénédiction de la gendarmerderie locale. L'affaire Patrick CHAUMIER - Patricia ROUXEL (Force Motorsport/FM Services)

J'avais déjà évoqué brièvement cette affaire dans le tome précédent, « 2018... ».

Mais, en 2019, de nouvelles « péripéties » ont été perpétrées par le maléfique couple.

Aussi, entrons dans le vif du sujet.




Cette curée sur mes biens « à disposition » s'est aussi opérée pernicieusement, frauduleusement et illégalement par le duo de crapules CHAUMIER-ROUXEL.

Leur sale entreprise se concrétisera au cours de l'année 2019, durant laquelle ils voleront mon auto qu'ils, après l'avoir détournée d'une société à l'autre, séquestraient par chantage de fausses factures, dont une, qui plus est, était plus qu'abusive par son montant.

La « paire de compères» se savait à l'abri de poursuites, aidés et protégés des autorités locales, juges, magistrats et huissiers, et surtout gendarmes du cru à qui ils avaient prêté mains fortes pour mon illégale interpellation, mais aussi d'autres administrations, comme celles fiscales pour qu'ils ne soient pas inquiétés judiciairement, ni sur leurs malversations financières, ni sur leurs autres délits comptables.

Ce couple de malfaisants jonglait de magouilles dans un local « garage » sis à la Z.I. de Signes (Var), dissimulées sous deux entités floues, celle de « FORCE MOTORSPORT » rattachée au RCS Aubagne 13, et celle de « FM Services » au RCS Signes 83.

Les Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL sont coutumiers des valses financières douteuses dans lesquelles ils avaient essayé de m'inscrire à mon insu, comme de la « cavalerie » d'une société à l'autre, des détournements de fonds sociaux, mais aussi, de son côté, fraudant les tenues sociales, comptables et fiscales, comme, par exemple, en n'émettant pas de reçu comptable, mais en émettant de fausses ou falsifiées factures, en facturant doublement au nom de chacune de ses deux sociétés, en tenant une double comptabilité, en encaissant des chèques sur une autre société en falsifiant l'ordre, en déclarant de fausses adresses personnelles et même celle de leurs sièges sociaux sur leurs K-Bis, en n'ayant même plus d'adresse officielle déclarée à la Chambre de Commerce de Marseille, en ne déposant pas ses comptes annuels, en employant sans déclarer, ou en faisant faire des pièces, du travail à ses sous-traitants, sans facture...




Sans aucune inquiétude à craindre de la part des gendarmes de la gendarmerderie, ni des procureurs, ni des Chambres et Tribunaux de Commerce de Marseille et de Toulon, ni des services fiscaux d'Aubagne et de Signes-Toulon, ni d'aucune autorité, ils pouvaient laisser libre cours à leurs sales desseins.

Bien au contraire, à la suite de mes mésaventures, ils prendront davantage leurs aises délictueuses, exerçant un chantage accru et inapproprié grâce à des menaces et une tentative d'intimidation écrite à destination de mon avocat d'alors !

Ils savaient que j'étais affaibli judiciairement par de fausses accusations basées sur de fallacieuses preuves, sous le coup d'un contrôle judiciaire pour un procès illégitime qui aurait lieu dans quelques mois, et donc, en proie aux facéties crapuleuses des autorités locales qui se permettent tout, l'illégalité n'ayant plus de limite.

Ainsi, le couple pouvait surfer sur la vague délictueuse, aidé et protégé par tous ces acteurs à la solde satano-maconnique, étant moi-même désormais dans le collimateur de la « justice » toulonnaise, c'est-à-dire, de gens qui sont capables d'user sans mesure ni garde-fou, toujours plus d'illégalités à mon encontre, comme le fait déjà, d'utiliser des faux.




Et le Patrick CHAUMIER, dans sa missive à mon avocat, se vantait même d'avoir à sa botte des experts automobiles véreux (désolé pour le pléonasme), qui abonderont sans faille dans son sens, puisque nécessairement à mon encontre...

Cela rappelle le cas de la « Pédale Hawaïenne »...




Quant à sa pseudo secrétaire, gérante de pacotille dans sa nouvelle société varoise, Patricia ROUXEL, elle est de la secte...

Et, en tant qu'authentique lâche, le CHAUMIER l'utilisa aussi, pourtant prétendue ex-compagne, à titre personnel, pour exercer une intimidation additionnelle à mon encontre, ce qui constitue un délit supplémentaire de chantage caractérisé pour m'extorquer des fonds.

Et il y a aussi le petit délit, toujours d'actualité, de la prise d'images illégales filmées par son système de vidéosurveillance, qui est orienté vers la rue, vers le domaine public....




Mais, pour comprendre la situation et les truanderies du couple Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL, voici un résumé plus explicite.

Automne 2017.

Patrick CHAUMIER, tenancier d'un garage situé au 47 avenue de Copenhague, Zone Industrielle de SIGNES avec le panonceau « FORCE MOTORSPORT », prend mon auto « AC Cobra », bleue, immatriculée « DE-494-KC », numéro de série « KCC013J84 », numéro de moteur « FT164X », d'une valeur d'environ 100.000 €, pour faire quelques travaux.

Il est à noter qu'entre-temps, il a changé d'adresse de local pour d'obscures raisons, de l'avenue de Copenhague, au 26 allée de Dublin.

J'ai trois devis de sa part, pour un total de 4.677,77 € (2.400 + 736,97 + 1.540,80) montant TTC, avec TVA à 20%.

Je lui verse en espèces, contre reçu, la somme de 1.900 €.

L'auto devait être « faite » dans les 3 mois maximum, sachant qu'un mois suffisait.

L'urgence de sa disponibilité était surtout par le fait qu'elle devait servir de véhicule de démonstration, marketing et presse, pour un système de mon invention que je voulais commercialiser.

Ce système devait être essentiellement commercialisé sur le marché américain, mais aussi européen.




Après quelques retards de date successifs durant une semaine ou deux, l'auto est prétendument définitivement finie et livrable par Patrick CHAUMIER, le 16 novembre 2018 !

Oui, UN an après !

Et c'est aussi la date de mon illégale, frauduleuse et abusive interpellation par certains gendarmes...

En réalité, depuis cette semaine précédente, je ne pouvais plus, ni la voir, ni constater la perfection des travaux réalisés, et encore moins essayer l'auto pour vérifier si tout allait bien.

Je lui avais demandé un contrôle de géométrie vu que ledit « professionnel » avait travaillé sur la direction.

Je lui avais aussi demandé un contrôle technique, mais pas de chez son ami...

Rien n'était possible selon Patrick CHAUMIER.




De plus, des impacts avaient été faits sur la carrosserie, causant des éclats de peinture sur une auto peinte de neuf, l'année précédente.

S'ensuivent beaucoup de mensonges, de douteuses assertions quant à son travail, et même une facture finale exorbitante, mais aussi, fastidieuse d'une part, par sa ridicule énumération de longueurs de fils utilisés par couleur (une page!), et fallacieuse d'autre part, par son absence de précision sur des points névralgiques, comme certaines pièces qu'il avait fait fabriquer au « noir » par un employé de la société voisine « ORECA »...




Parallèlement, j'avais eu 2 autres autos chez lui.

L'une avait subi de petits travaux d'arrangements provisoires, et l'autre de soudures sur la structure, soudures très mal réalisées.

Je me suis acquitté des 2 factures correspondantes, l'une de 408 € et l'autre de 1008 €, par chèque lors de l'enlèvement.

Cependant, il faut dire que j'ai eu à payer doublement la facture de 408 €.

En effet, ayant reçu précédemment cette facture de 408 € par e-mail, et ayant enregistré son compte bancaire au nom de « FORCE MOTORSPORT » depuis près d'un an, j'ai fait un virement de 408 € sur ce compte à la « Société Marseillaise de Crédit » (SMC).

Quand j'ai informé Patricia ROUXEL de mon paiement, elle a réagi furieusement, disant que le compte était clôturé depuis longtemps et qu'il fallait le faire vers le nouveau compte, qui appartenait en réalité à la société « FM Services »...

Roublarde la ROUXEL !

Je lui ai signifié que je ne reconnaissais pas cette société, et que je voulais toutes les factures de la part de « FORCE MOTORPORT », seule société dont j'avais la connaissance de son existence et avec laquelle un contrat relatif avait été établi, et à qui j'avais versé deux acomptes pour l'« AC ».

Je lui ai aussi demandé de contacter la « SMC », leur ancienne banque, afin de faire accélérer le processus de remboursement du virement de 408 €, sachant aussi que ladite banque me renverrait automatiquement ce virement à l'adresse d'un compte clôturé.

Il n'en fut pas le cas. Pire, j'ai contacté la « SMC », qui, en fait, n'a rien fait sauf se protéger. J'ai compris que ledit compte n'était pas clôturé et que la « SMC » avait absorbé cette somme pour réduire son montant déficitaire...

J'ai commencé à découvrir l'arnaque et les malversations comptables, administratives et fiscales de ce duo de crapules.

Je n'avais eu à faire qu'à la société « FORCE MOTORSPORT » représentée par Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL.

D'un coup, ils me parlaient de la société « FM Services », ou plutôt, le faisaient de manière fourbe, me présentant des factures au nom de cette nouvelle société.

Je refusais et persistais à demander des factures au nom de l'entité à laquelle j'avais eu à faire depuis le début, et seule existante à ma connaissance, et à qui j'avais versé deux acomptes.

Les deux comparses, usant de ruses, de fourberies et de chantage (devant payer pour récupérer les autos), et spécialement Patricia ROUXEL, m'envoie par e-mail des factures au nom de « FORCE MOTORSPORT ».

Quand je récupère les deux autos, je lui donne deux chèques, sans mentionner l'ordre. Les factures devaient être au nom de « FORCE MOTORSPORT », et les chèques à cet ordre.

Puis, plus tard, en demandant à ma banque de vérifier, j'ai découvert qu'elle avait mis l'ordre de « FM Services » et qu'elle les avait encaissés sous cette société, via le « Crédit Mutuel »...

J'ai aussi pris connaissance, par la suite, en contrôlant son K-Bis, que la société « FORCE MOTORSPORT » n'était point basée à Signes dans le Var, mais à Aubagne dans les Bouches-du-Rhône.

Il stipulait même que le fameux propriétaire et gérant, Patrick CHAUMIER, avait déclaré une fausse adresse personnelle, et surtout que celle de la société était celle d'une société de domiciliation qui avait résilié son contrat des mois plus tôt, et en avait informé le Tribunal de Commerce de Marseille comme quoi cette société n'avait plus de siège !

J'ai alors vérifié la société « FM Services », et ai appris que les déclarations étaient fausses en ce qui concerne les adresses personnelles du propriétaire, Patrick CHAUMIER, et de la gérante, Patricia ROUXEL.

Par ailleurs, il y eut même un problème de déclaration d'« URSSAF », ayant appris que ces individus avaient eu la visite par le passé de la gendarmerderie à ce sujet.

J'ai aussi compris qu'il y avait des doutes sur la déclaration de l'actuel employé mécano.

Comme j'ai eu aussi des doutes sur le fait qu'ils facturaient et encaissaient une TVA qu'ils ne reversaient pas, avec le truchement d'une société à l'autre.

Et pour cela, il faut une banque adéquate, compréhensive, habituée aux malversations financières.

Le « Crédit Mutuel » est connu pour cela, dont la cible de clientèle est les « PME ».

J'ai d'autres cas de fraudes fiscales et comptables, de détournements de TVA, commis par des sociétés assistées par cette banque.

D'ailleurs, le passe-droit pour la fraude est bien compréhensible par leur mode de fonctionnement.

Les responsables-actionnaires sont les clients eux-mêmes, par le biais de la sacro-sainte mutualité, ce qui fait que le client local est aussi le manager/décideur de l'agence...

Pour ce duo de crapules, c'est le « Crédit Mutuel » de Sanary (83) qui leur prête service à ces détournements et autres blanchiments.




Pour le bouquet final, s'agissant d'une auto de 100.000 €, le chantage leur était facile.

Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL présentaient et m'obligeaient à payer une facture surprise totale de plus de 16.000 €, au lieu des 4.677,77 € du devis, et qui plus est, au nom de « FM Services », évidemment en déduisant les 1.900 € que j'avais versés il y a un an à « FORCE MOTORSPORT », et aussi les 1.000 € au printemps dernier, versement pour lequel il ne m'a jamais fourni un reçu comptable...

Bref, je me retrouvais avec une auto de 100.000 € bloquée sous chantage de payer une facture 3 fois plus élevée, à une société avec laquelle je n'avais jamais eu à faire, ce qui m'aurait obligé à reconnaître ladite société, et donc à participer malgré moi, à des fraudes et des délits financiers.

Et le tout agrémenté du fait que j'avais perdu un an, autant personnellement que pour la perte de chance de ma société de lancer ce produit phare innovant, très rémunérateur.

Et je ne pouvais même pas compter pour 2019, vu que l'auto était toujours séquestrée.




Certes, certains naïfs ou malsains pourraient rétorquer que je pouvais payer cette facture pour récupérer une auto d'une telle valeur, mais, comme ils voulaient être payés d'avance, et comme leur garage est toujours bouclé, qu'ils s'y murent, j'aurais pu avoir payé, et ils auraient pu persister à se montrer (sic) absent, ou éditer de nouvelles conditions d'enlèvement...

Sans compter que j'aurais été ainsi inscrit dans leurs graves malversations financières, et ce, sous le facteur aggravant de complicité puisque je les avais découvertes auparavant.




Vous pensez que c'est fini, ou du moins, la situation en statu quo.

Il n'en est rien.

J'ai découvert à l'automne 2019 que mon « AC » n'était plus enregistrée sous mon nom dans le registre des immatriculations !

J'ai demandé des comptes à ce service national, le « Système des Immatriculation des Véhicules » (SIV).




Il est à savoir que ce système est nouveau de quelques années, qu'il ne fonctionne que par internet, qu'il est nébuleux par ses acteurs, qu'il est impossible à joindre physiquement, et à en identifier les responsables.

J'ai vu et compris dès sa mise en place, que ce système comportait de sérieuses et graves failles de sécurité, qu'il était une usine à fraude, et à vol. Non pas par le système informatique, mais par le processus lui-même. Et donc, de fraudes, de détournements et de vols des véhicules eux-mêmes.

En effet, il est aisé de changer de titre de circulation (carte grise), et cette facilité laisse un boulevard aux escrocs. En toute impunité.

Pour demander une nouvelle carte grise, le nouveau titulaire n'a plus besoin d'avoir l'ancienne, celle du supposé ancien propriétaire du véhicule.

Il n'est point besoin de la remettre à l'administration. Elle reste dans la « Nature », charge à l'acquéreur de la conserver 5 années.

Point.

J'avais pourtant déclaré en ce système, la vente à une de mes sociétés britanniques.

Vente que j'avais en fait, établie bien auparavant, pour justifier d'une partie de son capital.

J'ai une attestation en ce sens de la part du « SIV ».

Au vu de cette fraude au titre de circulation, j'ai alerté plusieurs fois cette administration.

Mais, de mauvaise foi, notamment quand leur responsabilité est en cause, dans un délit pénal qui plus est, et mettant en défaut un médiocre système, les inspecteurs ont toujours éludé ma question:

Qui a commis cette frauduleuse procédure de transfert de titre de circulation, notamment, alors que j'ai toujours l'original de la carte grise en mon nom en main ?

Ce que je peux aisément supputer, c'est que le couple d'escrocs CHAUMIER-ROUXEL a fait un faux, fait une fausse déclaration, et mis l'auto qui appartenait alors à ma société britannique, sous leur nom, ou sous celui de leur société, ou moins risqué, sous celui d'un de leurs acolytes.

Et cela serait d'autant plus aisé pour eux si, en tant que professionnel de l'automobile déclaré, ils avaient l'agrément du « SIV » pour entreprendre les cessions et les demandes de carte grise.

Je n'écarte pas la possibilité que d'officielles personnes corrompues, telle qu'un huissier, ou/et un juge, ou/et un greffier, ne leur aient délivré un faux ou falsifié un document officiel, pour prétendre justifier, certes fallacieusement, une procédure prétendument autorisée.

Je vous propose de vous reporter à certaines de mes divulgations concernant les fraudes et magouilles entreprises par des huissiers, qui pratiquent de manière usuelle, des extorsions basées sur des malversations et des faux documents.

Toujours envers des personnes faibles, ou absentes.

A ces jours de janvier 2020, je sais que mon auto a été volée par Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL, avec la complicité du « SIV », mais ne sais où elle se trouve.




Je rappelle que cette auto appartient toujours à une société, et non plus à moi depuis septembre 2017.

Et qu'il y a une loi, une législation faisant état d'une considération distinctive entre un titre de propriété, et donc une propriété, et un titre de circulation...

Chapitre 10 : Note d'Information Oubliée : Résidus d'affaire résiduelle. Huissiers véreux nordiques

Malgré l'énumération des nombreuses et variées malversations matérielles, documentaires, juridiques, judiciaires, morales et éthiques, caractérisant pléthore d'officiels délits pénaux et criminels commis par des « officiels » (sic), que j'ai mis au jour, et narrés en ces 3 ouvrages, il est à préciser qu'il en reste encore, que la liste n'est pas exhaustive, que je n'ai point épuisé mes connaissances.

Et parmi ces mises au rebut, j'avais oublié une de ces « Notes d'Information » que j'exprimais et qui définit le véritable mobile de leur sale entreprise à mon encontre.

Ce point concordant d'une manière chronologique, qui relate des délits commis en 2016 par une bande d'huissiers véreux (pléonasme), associés à une bande de mafieux (pléonasme bis), couverts par des procureurs corrompus (pléonasme ter), concerne cette fois, non pas de la gangrène dans le sud de la France, mais en son extrême opposé, le Nord...

Ces délits de fraudes et d'extorsions ont été commis en 2016, mais j'avais déposé la plainte pénale le 30 octobre 2018.

Deux semaines avant mon internement...

De là, à comprendre que c'est bien un facteur supplémentaire pour me faire taire dans l'urgence, il n'y a qu'un petit pas à faire.

Il est à rappeler que la famille MACRON est de cette région, comme son sale mentor corrompu Stéphane BOUILLON, comme la famille MULLIEZ...

Ces derniers sont protégés par la mafia maconique de « parquetiers » lillois, puisque le procureur du cru m'avait rejeté par le passé, notamment une plainte à l'encontre de leur société « AUCHAN », par laquelle ils m'avaient détourné une invention sans s'acquitter de droits, une fraude à la contrefaçon et un vol de propriété intellectuelle, puisque je suis l'inventeur de la carte cadeau bancaire...

Les macons n'aiment pas être mis en défaut.

Orgueil, orgueil...




Ce cas est aussi un cas d'école démonstratif de la corruption générale sur le tout le territoire français, des huissiers, de leurs usages de faux, et de leur absolu non respect des procédures françaises.

Je rappelle que les huissiers sont des officiers ministériels, qu'ils agissent en tant que tels, représentants de l'état, et qu'ils sont sous la responsabilité, mais surtout sous l'égide, de la « DACS »...




Il est à ajouter que les huissiers français bénéficient de privilèges illégaux et crapuleux auprès des banques françaises, puisque ces dernières, comme « HSBC », « LCL », et bien davantage avec la « Banque Postale », leurs donnent des passe-droits frauduleux pour extorquer illégalement des fonds, sans aucun justificatif quant au motif de la saisie, et pire, en ne respectant même pas la légalité de la procédure elle-même en ce qui les concerne, se refusant aussi de donner aucune information sur l'identité et sur le document présenté pour la circonstance.

Et ce, à l'encontre de leurs propres clients, avec, au surplus, une autre filouterie, financière celle-ci, celle de la facturation abusive de frais bancaires de traitement, pour une procédure irrégulière et illégale.

Sans information, notamment sur l'identité de l'huissier, qui de son côté ne vous informe pas, comment voulez-vous formuler une opposition ?!

J'ai les preuves.

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE LILLE
13 avenue du Peuple Belge BP 729 59034 LILLE CEDEX




Monsieur le Procureur de la République près le Tribunal de Grande Instance de Lille

DÉPÔT DE PLAINTE PÉNALE AVEC CONSTITUTION DE PARTIE CIVILE

contre :

Personnes incriminées :

Thierry ROY, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Nicolas LEMOINE, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Marine LEDUC, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Huissiers de Justice associés et 1 Huissier de Justice salarié ;

Sébastien DIRAND, Directeur Général de « CONTENTIA France ».

Sociétés incriminées :

SCP ROY-LEMOINE-GALY, 32, rue Haddock, Parc de la Haute Borne, 59554 Villeneuve d'Ascq  ;

CONTENTIA FRANCE, SASU au capital social de 500 000 euros, RCS Lille 348 967 332, sise au

1 Rue du Molinel 59290 WASQUEHAL. Code APE : 8291Z.




pour les délits pénaux de :

Extorsion, Escroquerie, Chantage, Tromperie, Abus de Droit, Abus de Pouvoir, Abus d'exercice d'officier ministériel, Non respect des règles de procédures, Non délivrance de justification de créance, Non justification de créances valides, Obstruction à la justice, Entrave à la manifestation de la vérité, Coercition frauduleuse, crapuleuse et illégale, Collusion, Fraude Comptable, Fraude Fiscale, Détournement de Fonds, Blanchiment, Faux et Usage de Faux, Non délivrance de certification de paiement, Non délivrance d'attestation d'acquittement de dette, Etc.

Au Facteur Aggravant de Délits Commis en Bande Organisée.




Plaignant / Victime : Laurent GRANIER




PRÉJUDICES : DIRECTS ÉVOLUTIFS par les intérêts : 15.000 e, dont 12.636, 52 € MINIMUM,

INDIRECTS ÉVOLUTIFS : 1.00.000 € MINIMUM




Monsieur Le Procureur,




je suis victime de plusieurs graves délits commis par un gang d'huissiers corrompus, vénaux et véreux, Thierry ROY, Nicolas LEMOINE et Marine LEDUC, exerçant sous le couvert d'une SCP « ROY-LEMOINE-GALY », associés à une crapule, Sébastien DIRAND, Directeur Général de « CONTENTIA France ».

Octobre 2016. Les salauds sous le sceau d'officier ministériel, ont gagé tous mes véhicules, et ce, sans me contacter ni m'avertir au préalable. Pire, au nom d'une fantomatique créance qu'ils ne m'ont jamais ni délivrée, ni justifiée !

Auparavant, le 29 septembre 2016, j'avais vendu l'un d'entre eux.

Et c'est comme cela que j'ai découvert l'arnaque.

Après le travail d'enquête pour savoir le pourquoi du comment, et surtout l'auteur de ces inscriptions, j'ai enfin pris contact avec ces salauds.

Je leur ai demandé tous les documents, je les ai sommés de me fournir toutes les preuves pour justifier leur requête, leur injonction à mon encontre de payer la somme de 12.636, 52 €.

Ils ne m'ont rien fourni, rien justifié, me disant que la société « CONTENTIA » leur avait demandé de recouvrer cette somme !

Point !

CONTENTIA est « tenue » par un sbire, un malfrat, un mafieux, une crapule, faisant fi de toute loi, de toute règle, officielle française s'entend, bien aidé par des huissiers au goût du lucre exacerbé, et surtout sans scrupules, ni morale, ni sens du respect de la loi et des règles de procédures, ni des devoirs dus à leur statut d'officier ministériel. Et peut-être même, impliqués dans ladite société de recouvrement (le métier de certains mafieux) par le truchement de prêtes-noms...




Bref, j'étais face à un chantage évident portant à une extorsion de plus de dix mille euros, en les inscriptions de gage de tous mes véhicules, ce qui faisait déjà beaucoup, beaucoup plus que ladite somme prétendument due, constituant de par ce seul fait, un abus et un délit.

Cette coercition financière était accentuée par le fait que je venais de vendre une auto quelques temps avant, le 29 septembre, véhicule qui, le jour de la vente n'était pas gagé, mais l'était une ou deux semaines plus tard, parce que l'acquéreur ne l'avait pas encore enregistré à son nom. Je me retrouvais donc, à mon insu et corps défendant, sous de fallacieux torts par la défaveur des impératifs temporels, d'avoir cédé un véhicule gagé, certes ultérieurement, et n'engageant pas ma responsabilité. Mais les problèmes administratifs étaient bien présents !

Je me devais cependant de faire lever au plus vite et au plus tôt l'inscription de gage, et comme toute procédure de la débile et injuste loi française en ce domaine ne pouvait que me donner raison à retardement, très tardivement, trop même, au point de m'obliger à reprendre le véhicule et d'en rembourser l'acheteur, avec des dommages au surplus, puisque ce dernier avait fait de nombreux frais !

J'ai donc été dans l'obligation de payer la rançon à cette bande d'escrocs qui, usant et abusant de leur fonction officielle, officiait en dépit de toute règle déontologique. Le règlement fut en plusieurs fois, en cinq virements, et à chaque courriel que je leur adressais pour leur confirmer un virement, je leur adressais aussi une contestation officielle et les informais de leurs délits pénaux, tout autant que je leur réclamais, toujours en vain, les documents relatifs à cette supposée dette.




A la fin de l'extorsion, les inscriptions de gages ont été levées, certes, mais je n'ai toujours pas, ni jamais, reçu, ni justificatifs de cette supposée dette, ni de son montant, ni de son bénéficiaire, et pire, aucun récépissé comptable de la part de cette bande de salopards d'huissiers, prouvant et attestant que je m'étais acquitté de cette supposée dette !!!




Un petit mot sur mes préjudices.

Il est à préciser que tous ces tracas me pénalisent fortement depuis 2 années. C'est bien pour cela que j'ai mis 2 années pour déposer cette plainte.

En effet, étant auteur, inventeur, théoricien et Maître Philosophe, mes préjudices, tant privés que professionnels sont conséquents, pouvant se porter à plusieurs millions d'euros.







Mes préjudices moraux sont amplifiés, travaillant actuellement sur des projets complexes et sensibles (d'une valeur économique de plusieurs dizaines de millions), projets qui souffrent aisément de perturbations et de préoccupations cérébrales externes causées par ces petitesses.

Celui direct est de l'ordre de 15.000 €, les 12.636, 52 € extorqués, augmentés des dommages et intérêts relatifs.

Et ceux indirects, le minimum est d'au moins 1 million d'euros de préjudices indirects.




Aussi, je, soussigné Laurent GRANIER, dépose par la présente, en mon nom et en celui de ma fondation internationale « ANOTOW », une plainte pénale avec constitution de partie civile contre, personnellement :

Thierry ROY, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Nicolas LEMOINE, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Marine LEDUC, huissier de justice, officier ministériel de la SCP ROY-LEMOINE-GALY,

Sébastien DIRAND, Directeur Général de « CONTENTIA France ».

et contre les sociétés :

SCP ROY-LEMOINE-GALY,

CONTENTIA FRANCE, SASU.




Pour les délits pénaux de (liste non exhaustive) :

Extorsion, Escroquerie, Chantage, Tromperie, Abus de Droit, Abus de Pouvoir, Abus d'exercice d'officier ministériel, Non respect des règles de procédures, Non délivrance de justification de créance, Non justification de créances valides, Obstruction à la justice, Entrave à la manifestation de la vérité, Coercition frauduleuse, crapuleuse et illégale, Collusion, Fraude Comptable, Fraude Fiscale, Détournement de Fonds, Blanchiment, Faux et Usage de Faux, Non délivrance de certification de paiement, Non délivrance d'attestation d'acquittement de dette, Etc.

Au Facteur Aggravant de Délits Commis en Bande Organisée.







Nota Bene : Je ne vous recommande pas d'utiliser mon dossier pour en retirer un quelconque bénéfice personnel de la part de ces criminels, en échange d'un « enfouissement » soigné de ma plainte...




Veuillez recevoir, Monsieur Le Procureur de la République, en même temps que mes salutations, mon rappel quant à vos obligations et devoirs au regard de graves délits de faire ce pour quoi vous êtes payé (officiellement s'entend...).




Laurent GRANIER







J'ACCUSE !

...les personne suivantes, d'une liste loin d'être exhaustive, dans un ordre hiérarchique décroissant de responsabilités au titre de leur fonction, d'avoir commis tous ces actes crapuleux à mon encontre, sous les circonstances aggravantes d'association de malfaiteurs et de crimes en bande organisée, dont l'énumération ne peut être exhaustive, d'abus de pouvoir, de faux et d'usage de faux, de fausses déclarations, de fausses attestations, de faux certificats, d'entraves à la manifestation de la vérité, de dissimulations de crimes, de menaces, de menaces exécutées, de chantages, d'extorsions d'aveu, d'extorsions d'informations confidentielles et privées appartenant à des sociétés, d'extorsions d'empreintes génétiques, palmaires et digitales, d'extorsions de fonds, de complicité de détournement de fonds, de fraudes comptables et fiscales, de négationnisme, de participation, d'association et de collusion avec une organisation criminelle de type mafieuse, de séquestration, d'internement abusif, de fraudes multiples procédurales, de non respect des droits français de la défense, de non respect des procédures et des lois françaises, etc.




Au niveau du gouvernement :

Emmanuel MACRON, Édouard PHILIPPE, Christophe CASTANER, Stéphane BOUILLON, Nicole BELLOUBET, etc.

Au niveau local, préfecture et municipalité :

Jean-Luc VIDELAINE, Emmanuel CAYRON, Éric De WISPELAERE, Thierry ALBERTINI, etc.

Au niveau « gendarmerderie » :

Richard LIZUREY, Daniel ROTH, Michel LECOUTOUR, Franck LA IACONA, Aurélie THOULOUZE, Denis ZAMMIT, Mathilde HOARAU, etc.









Au niveau du parquet de Toulon, procureurs et déclinaisons :

Bernard MARCHAL, Carine CAUCHY, Mme MAZIERE, Stéphanie BATTLE, Ahmed CHAFFAI, etc.

Au niveau du Tribunal de Grande Instance de Toulon :

Lucette BROUTECHOUX, etc.

Aux niveaux médico-légal, médical et hospitalier :

Bénédicte BASTIEN-FLAMAIN, Thomas LEPAGE, Gilles REINE, Agnès MARCHESSAUX, Michel PERROT, etc.

Au niveau local annexe :

Emily LINOL-MANZO, etc.

Aux niveaux supra-national et localisé, sans qui toute cette collusion, ces trafics d'influences n'auraient pu se faire :

- Les loges maçonniques de tous bords, de Toulon, du Var, de Marseille, d'Aix-en-Provence, des Bouches-du-Rhône, de la région PACA, au sein desquelles toutes les personnes citées dans cet ouvrage sont parties prenantes...

- Les loges maçonniques dirigeantes, dont ces dernières dépendent, à savoir:

- la Grande Loge de France (GLDF) par son maître en chef depuis juin 2018, Pierre-Marie Adam (qui a travaillé presque toute sa carrière dans la police, notamment au sein des Renseignements généraux...),

et

- la Loge du Grand Orient de France (GODF), la plus ancienne obédience maçonnique française et la plus importante d'Europe continentale, en le maître, depuis août 2018, Jean-Philippe HUBSCH ( courtier en assurances...).





Sans oublier, Anne CAUSSIN, Philippe COLOMBO et Laurent ROMANO, sans qui je n'aurais pas subi ces mésaventures au niveau local...

et tous ceux que j'ai dénoncés dans différentes affaires, civils et officiels...

Conclusion(s) non finale(s)

J'étais, et je suis toujours obligé de me défendre.

Cela n'a jamais été une affaire personnelle, mais bien une question morale, de « Justice », celle de combattre le « Malin ».

Quoi qu'il en soit, en ce qui me touche, comme en ce qu'ils ont fait et persiste à faire de malsain à nombreuses de leurs victimes passées et actuelles, ils l'ont bien voulu, ils l'ont bien cherché.

Toujours.




Je ne suis pas un « membre » du bétail qui se laisserait égorger, ou asservir, d'autant pour me retrouver en laisse du côté obscur que cette secte veut imposer à tout prix.

S'imposer à tout prix. À tout le Monde.

L'obscurantisme par un éclairage orienté.




Telle la question pseudo scientifico-philosophique, qui de la poule ou de l’œuf a été le premier, en matière « française-maconnique », il serait intéressant de savoir qui du « macon » ou du mafieux, a créé cet « ordre » religieusement détourné.




Il reste que la gangrène « maconnique » dans tous les milieux de pouvoirs ne peut plus être ignorée, d'une interrogation, ni d'un doute, mais désormais, avec toute certitude raisonnée.

Un fait réel et concret, démontré d'une manière parfaite par « mon » affaire, qui a été orchestrée par ces acteurs, de secondes zones certes, mais aux postes principaux de l'état français, c'est-à-dire, autant du gouvernement que de l'institution auto-proclamée indépendante de la première, la magistrature et son système judiciaire bien gardé par la servile gendarmerderie.




Cette démonstration de force est éclatante par le fait qu'ils font preuve d'une certitude d'immunité, d'impunité des actes délictuels et criminels qu'ils n'ont pas hésité à entreprendre, aux yeux de tous.










De plus, ce semi-ostentatoire étalage de pouvoirs à tous les niveaux, montre et prouve à ceux qui ne savaient pas, et à ceux qui avaient des doutes à leur sujet, la spécieuse « spiritualité » de la « franç(aise)-maconnerie » en général, et la duplicité morale de ses préceptes calqués sur ses disciples en particulier, mais aussi ses funestes desseins finaux, pour lesquels il est bien nécessaire que toutes les loges soient administrées, commandées et détenues par d'authentiques crapules.

Toutes ?

Oui, nous pouvons l'affirmer, car aucune des deux principales n'a dénoncé l'autre pour ses travers.

A ce jour, il m'est impossible de distinguer l'une de l'autre, au niveau national, et même local, pour déterminer laquelle des deux abrite les salopards qui s'en sont pris à moi.




Laquelle des deux ? Si ce ne sont les deux.

En effet, n'est-il pas plus utile et rusé de proposer plusieurs courants, et ce, afin de ne perdre aucune de leur brebis, « femelle du mouton »...

Si l'une ou l'un désapprouve les décisions d'une loge, ou en est banni(e), elle ou il peut trouver un prodigue accueil dans un autre ordre, n'étant point perdu comme possible utile pion, et d'en continuer sa manipulation.

Cette duelle situation est aussi utile pour récolter des informations intimes, des confidences sur les réelles pensées de leurs adeptes.

L'usuelle efficace stratégie du « Good cop, Bad cop »...




Toutes mes mésaventures offrent le bénéfice de montrer au jour, encore davantage, leur absence totale de considération, et même un mépris absolu pour le sens de l'Honneur (l'authentique), la noblesse d'esprit, la chevalerie en terme de combat et de respect de l'adversaire.

Et leur morgue, leur insolence, leur arrogance pour les « Droits de l'Homme ».

Tout est faux chez eux.

Sauf le fait qu'ils sont en réalité, l'absolu contraire, l'absolu opposé de ce qu'ils prétendent être, penser, élaborer et agir en conséquences.

Au moins, c'est aisé de connaître leurs intentions.




Par ailleurs, vous avez dû remarquer qu'il y a beaucoup de femmes dans cette affaire.

Et quand on voit certaines, et même certains, stupides féministes (désolé pour le pléonasme) qui déclament haut et fort, trop même, que celles-ci sont dévalorisées, qu'elles sont sous-estimées, qu'elles n'ont pas de poste à responsabilité et à pouvoir, il est à admettre, dans une position neutre, que leurs revendications sont plutôt malhonnêtes, injustifiées, voire indécentes.

Déjà, parce que c'est « partiellement » faux, mais aussi et surtout, parce qu'elles ne parlent pas du fait qu'elles mériteraient ces plus hauts grades, par compétences s'entend.

Somme toute, il y a pléthore de femmes à de hauts postes, et si elles en sont là, c'est sans aucun doute qu'elles les justifient.

Celles qui râlent ne sont que des personnes qui n'ont pas suffisamment de valeur intrinsèque pour atteindre de telles fonctions, et qui ont pour habitude de bénéficier de privilèges de courtoisie, voire sexuels, qui leur facilitent leur petite vie quotidienne, et qui, par conséquence désobligeante, leur permettent de croire sans vergogne, que tout leur est dû par le fait de leur genre.

C'est un véritable paradoxe intellectuel.

Une insulte morale.

Elles en démontrent alors un malsain esprit vengeur, revanchard, vicelard, voire hystérique.

Celui-là même que nous pouvons constater de manière récurrente dans les divorces.

Celui-là même de la « française-maconnerie », tel que celui de la « franc-maçonnerie » (sic), sectes au sein desquelles elles exercent leur pouvoir à outrances...

Leur effigie-déesse n'est-elle pas une femme ?




Et nous atteignons le « pourquoi du comment » des travers de la « franç(aise)-maconnerie ».




Les notions nobles de l'Honneur (l'authentique), de la parole donnée, du respect de la parole donnée, de l'esprit de Chevalerie, de la Justice, de la droiture morale, de la franchise, sont suffisamment rares chez la Femme pour comprendre qu'elle en est généralement dépourvue.







Tout ce que je dénonce, et je ne suis pas le seul, de la « franç(aise)-maconnerie », et que je peux prouver désormais avec « mes mésaventures », est, trait pour trait, la définition faite « Femme », cette dernière idolâtrée par ses adeptes.

Ceci explique cela.

Même bibliquement.

Et pour en revenir à leur référence originelle, un divorce divin qui n'aurait pas été celui de « dieu/diable » en tant que « mâle/mâle », mais plutôt celui « mâle/femelle »...

Par la suite, cela n'aurait été que pour faire déconsidérer le niveau de celui sur lequel avait été jeté l'opprobre, la « Femelle », qu'il aurait été fait mention par certaines religions, qu'il s'agissait tout au plus d'un « super-ange », par définition, en dessous de dieu, déclamant ainsi que ce dernier ne pouvait qu'être unique, et l'impossibilité de pendant, même de genre opposé. Cela portait ce dieu en une qualité asexuée.

Pour finir, il est affligeant de constater qu'il est toujours encore plus nécessaire, en FRANCE, en EUROPE, en 2019, d'avoir à recourir à un avocat « qui connaît le juge » quand on est innocent.




Il est affligeant de constater qu'il est toujours encore plus nécessaire, en FRANCE, en EUROPE, en 2019, d'avoir un avocat qui paye, de quelque manière qu'elle soit, pour « dé-corrompre » un magistrat, quand on est innocent.




Il est de toute « apparence », un système au sein du système judiciaire, mis en place en FRANCE, en EUROPE, qui oblige à avoir un duo de « défenseur », l'un qui paye le magistrat, et l'autre, pour donner le change officiel d'un verdict avantageux, en faisant de ses élucubrations une plaidoirie larmoyante et/ou outrancière, à tendance ridicule, absurde et grand-guignolesque... Ce dernier s'accaparant tous les honneurs médiatiques d'un surprenant et soudain acquittement, dans des affaires où les accusés sont, somme toute, « responsables mais pas coupables ».

Et quand il s'agit d'innocents, cette vérole contamine les prérogatives qui leur en auraient été légitimement dues.

Rien n'est gratuit...

Encore moins la « justice » française.

Un innocent sera condamné en échange de l'acquittement d'une crapule coupable.

Quant à l'abjection populaire qui devrait en découler, elle est endiguée par les salauds de médias français qui ne s'offusquent pas d'une telle injustice de blanchiment, et crient même au génie.

La défense de l'Injustice par leurs soins !

Quelle mascarade !




Par ailleurs, les abrutis de tous poils, évidemment malhonnêtes et de mauvaise foi, la plupart des politiques et des journalistes, français, sans oublier les magistrats de toute nature, toujours bien franchouillards, se délectent à propager l'idée, et même plutôt le fait, que la population n'aime pas les autorités, les policiers, les gendarmes, les procureurs, les juges, les avocats, les huissiers, les notaires, etc.

Ce n'est point dans nos gè(ê)nes !

Bien au contraire.

Nous tous, avons, ou plutôt avions, une haute notion de ces fonctions, de la démocratie, de la République de France.

Si ces personnes, normales, c'est-à-dire qui ne sont ni des criminels, ni des salauds, qui apprécient le confort de nos sociétés occidentales, et qui ont bien d'autres choses plus intéressantes à faire de leur vie, apprennent à détester, voire haïr ces institutions, ce n'est pas par hasard, ce n'est pas par plaisir, ce n'est pas par manque de « hobbies », ce n'est pas par un phénomène de mode, ni par idéologie « païenne ».

Mais, c'est bien la conséquence de ce qu'ils observent, et même de ce qu'ils subissent, et ce, d'une manière la plus injuste possible, depuis des lustres, la corruption de chacune de ces institutions par ses propres acteurs, qui trahissent, sans cesse et sans vergogne, la République, la fonction pour laquelle ils ont prêté serment, pour laquelle ils sont payés, et ce, tout en en tirant des bénéfices personnels de et pour leur « fraternité »...

Et ce, par un phénomène s'amplifiant, s'aggravant.




Il ne faut pas oublier que c'est bien le peuple qui a fait la Révolution, même s'il a été particulièrement manipulé par les bourgeois d'alors.

Le Monde n'a pas changé pour autant.

Ce sont les mêmes nantis qui les « dirigent », et qui continuent à leur imposer toujours plus d'injustices.

Encore et encore.




Les « Gilets Jaunes » ré-apprennent amèrement, à leurs dépends, cette pérenne situation des classes.

Et le mépris.

Et le MACRON et sa clique le leur rappellent tous les jours depuis des mois.

Mais, les gens deviennent de plus en plus lucides, certes égoïstement, uniquement quand leur petit sort personnel est bringuebalé, manifestant alors, ne se rebellant que dans ce sens, et jamais pour aucune noble désintéressée cause.

Il sera de plus en difficile de les duper. Pacifiquement s'entend.

C'est pour cela que les contre-actions musclées de la part du pouvoir en place, se développent autoritairement, notamment par les forces militaires que sont la « Gendarmerderie Française », mettant au jour leurs véritables desseins autant que leur vraies faces.







Quant au sujet du présent témoignage trilogique, la suite donnée sera intéressante car toutes ces mises à l'index que vous avez lues précédemment, sont les faits et actes délictueux pour lesquels j'ai déposé, et continuerais, et persisterais à déposer, des plaintes pénales contre toutes ces personnes, et contre l'état Français, au niveau international, évidemment.




Pour ma part, je veux et revendique le Droit Français, et uniquement lui, et je réfute le droit « maconnique », imposé par les « français-macons », comme celui Toulonnais, varois, provençal (PACA), imposé par les mafias locales de tous poils.




TOULON est dans le VAR, et le VAR est un département français, géographiquement et administrativement, où la loi qui doit s'appliquer est celle de ce pays qu'est la FRANCE, et non celui des mafieux, dont les magistrats du cru sont issus.




Il en va de même pour les autres tribunaux et autres juridictions de la nation.
















Si je définis ces « Conclusion(s) » comme « Non finales », c'est bien qu'à l'heure où j'écris ces lignes pour achever mon troisième témoignage chronologique, en ce janvier 2020, je ne peux point concevoir ce qu'il se trame, ou se tramera par ces pervers individus, animés sataniquement, au cours de l'année en cours, à mon encontre, dont leur seul objectif est de me causer toujours davantage de préjudices, et déjà de m'empêcher par tous les moyens à leur disposition, d'accéder, de recouvrer mes droits fondamentaux, internationaux, des « Droits de l'Homme », auxquels je prétends avec impud(r)ence et impertinence (sic).







Petit aparté sur Gérard COLLOMB.




Je me devais de finir par lui, ou du moins d'en évoquer l'existence.

Déjà, parce qu'il était déclaré comme victime de mes propos, ce qui était une aberration autant juridique que réelle logique et vérité, mais aussi et surtout parce qu'il n'était plus en place en tant que Ministre de l'Intérieur, quand tous ces salauds ont entrepris ces exactions physiques et matérielles contre ma personne.

J'avais alors mis en doute son implication, estimant que ces forfaits et ce traquenard avaient été perpétrés à son insu, et qu'il servait de faire-valoir légitime de telle procédure, aidant à la dissimulation de l'asperge « pendante », premier ministre, l'Édouard PHILIPPE, et ce, en considérant la date de début de la prétendue enquête.

Il ressortait de toute évidence que tout avait été tramé par le Stéphane BOUILLON, désormais officiellement en place dans le gouvernement, qui manipulait et manipule le balourd Christophe CASTANER, alors désormais en poste de ministre de l'Intérieur, avec l'aide de la sorcière Nicole BELLOUBET, en charge du ministère de la « Justice », ce dernier prétendument indépendant du système « magistratif » (sic) des tribunaux...




J'ai toujours eu ce doute, pensant qu'il pouvait être un honnête homme, déjà parce qu'il avait démissionné pour des raisons d'incompatibilités morales avec la bande de salauds en place, mais aussi parce qu'il ne pouvait plus être au courant de rien quant au traquenard, n'étant plus au faîte.

Peut-être même pas la situation juridico-judiciaire par laquelle il était considéré par le système judiciaire comme plaignant et victime !

Certes, j'avais ce bémol sur son intégrité par le fait qu'il avait été, et était redevenu maire de la ville de Lyon, cité maconnique à souhait, et en laquelle des magouilles « civiles » survivaient, comme déjà, celles du prétendu courtier en assurances, Hervé CLAVEL, qui entreprenait à foison et à grande échelle nationale, des malversations de vrais faux contrats, une fraude de haute voltige et de forte rémunération, avec la complicité d'« AXA », sous la bénédiction de son dirigeant d'alors, un certain de Henri De CASTRIES.

Pour (temporaire) final, je devais faire mention de ce doute, et d'en lever le voile.

Je l'ai donc contacté, du moins, essayé, par la mairie de Lyon, puisqu'il en était redevenu le maire après son escapade gouvernementale.

Mon propos était succinct, simple et franc.

Je voulais avoir son sentiment sur cette affaire, déjà pour savoir s'il était informé de cela, qu'il était MA victime.

Cette approche n'avait pour but que de le présenter sous un véritable jour dans le présent ouvrage, notamment s'il était véritablement innocent.

Aucune réponse !




Je ne peux cependant pas écarter la possibilité d'un barrage de secrétaire, et spécialement celui de son assistante personnelle en charge de ses courriels, peut-être parce qu'elle est une espionne à la solde de la secte MACRON, qu'elle lui a été imposée, ou mise en place à son insu quant à ses réelles motivations, pour le surveiller.

N'oublions pas que Gérard COLLOMB est parti soudainement du gouvernement, avec perte et fracas, et pour d'officielles raisons toujours celées.

Et que connaissant les turpides et la couardise portant à un maladif effroi atavique des français-macons pour la révélation de la vérité, ils avaient la nécessité d'opter pour un chap(er)onnage (sic) pour entraver toute dérive de confidence qu'il pourrait faire.

Un garde du corps, mais dans l'autre sens...

Toujours le même type de chantage, de menace, d'intimidation, de répression, de coercition, de représailles.




Rappels des vols en compte

Ces autos ont été volées:

MERCEDES 170V Cabriolet B de Mars 1939, bicolore blanche et noire, numéro de série « 0433250 », immatriculée en France sous le numéro « EC-583-DC ».

Volée par Jean RIVOLA et Xavier AIOLFI;

AC Cobra, bleue, numéro de série « KCC013J84 », numéro de moteur « FT164X », immatriculée en France sous le numéro « DE-494-KC »,

Volée par Patrick CHAUMIER et Patricia ROUXEL





Je rappelle que, liste non exhaustive:

Le trio COLOMBO-ROMANO-CAUSSIN me doit la somme que je leur avais versée, 15.000 euros;

Pascale BRANCHE, notaire marseillaise véreuse (pléonasme), acoquinée avec la mafia toulonnaise, me doit toujours la somme que je lui avais versée pour une vente qui s'est avérée une escroquerie, 16.000 euros;

HSBC TOULON me doit toujours plus de 20.000 euros qu'ils m'ont détournés;

Les huissiers Thierry ROY, Nicolas LEMOINE et Marine LEDUC, et Sébastien DIRAND, Directeur Général de « CONTENTIA France » me doivent la somme extorquée que je leur avais versée sous contrainte de 12.636,52 euros;

La Banque Postale me doit 2.206,86 euros et 2.613,20 euros, sommes saisies arbitrairement, abusivement et illégalement, sans justificatif, ni identité, ni motif, auxquelles des frais de traitements ont été ponctionnés;

Le CREDIT AGRICOLE NORMANDIE, me doit la somme de 59.087,50 euros, au titre d'un chèque rejeté sous de faux et fallacieux prétextes et accusations;

Etc. Et bien d'autres, crapules et sommes, que j'ai (un peu) oubliées...

ANOTOW

Pour finir, il est important d'évoquer la nature de « ANOTOW », « ANOther TomorrOW » (Un Autre Demain).




« ANOTOW » est un courant philosophique appliqué, ayant pour seule motivation l'inscription de l'Intelligence (l'authentique, celle dictée par la noblesse d'esprit, et non celle de la malignité) comme « maître-étalon » (sic) dans les sociétés, au sein des pouvoirs, dans le seul but d'obtenir un Monde (plus) juste, (plus) équitable et (plus) équilibré, bref, un Monde meilleur que celui qui existe depuis des millénaires, et qui semble se pérenniser pour toujours, voire s'empirer.

Ce « maître-étalon » éthique, moral, est sous l'égide du « Sens Commun ».




« ANOTOW » est l'expression non exclusive ni réservée de l'« agissement », tant spirituel, mental que physique, de ce qui est « guidé » et motivé essentiellement et sans défaut, par le « Sens Commun », l'intuition naturelle, l'inconsciente conscience, et la Nature dans toutes ses définitions existentielles.

« ANOTOW » puise sa légitimité dans la source des notions élémentaires de l'Univers, par l'intemporalité et par la non localisation spatiale et/ou dimensionnelle.

Il est question de « propreté » et d'harmonie.




« ANOTOW » n'est qu'un mot, qu'un nom, qu'une expression raccourcie pour notre langage, pour désigner nominativement une évidence indiscutable de principe, qui est intelligible en n'importe quel lieu de l'Univers, spatial et dimensionnel, en n'importe quel temps, et par n'importe quelle espèce douée de raison et de bonne foi, dotée de cette Intelligence abnégative, du moins désintéressée.

Le bon sens est la logique d'esprit, liée à une intuition que prédomine et incite la bonne conscience.

Un ressenti de ce qui est « Bien », ou pas.

Cela va au delà du conflit « Bien » - « Mal ».

Car celui-ci oppose l'un à l'autre, exprimant la nécessité d'une commune présence, par juxtaposition.

Or, le principe « ANOTOW » est de faire ce qui est « Juste », qui sera ainsi « Beau », qui sera ainsi « Bien », qu'importe l'existence et la présence, ou non, du « Malin ».

Par extrapolation, ce qui n'est pas dans le camp du « Bien », n'est nécessairement pas un opposé, un « ennemi », mais déjà un état à mépriser, du moins à déconsidérer par valeur par défaut.

De ce qui est « Bien », ou pas.




Cette approche permet et oblige à considérer, à juste titre, toute neutralité comme un acte, une attitude, une pensée, une réflexion, une position morale, malsain(e)(s), car non intelligemment salubre(s), non éthiquement judicieuse(s), provenant d'une défectuosité intellectuelle créant à la fois, l'indéfini et le flou, un non engagement portant à la couardise, du moins, à une carence, ou à une lacune, ou au pire à une faiblesse de moralité, non pas négative, mais nulle.

Une déficience de cette intelligence appropriée, nécessaire pour aborder et déterminer toute chose avec une lucide raison, et respectabilité.

Un handicap du jugement, de l'estimation.




« ANOTOW » permet de se passer de lois, de réglementations, d'ordres, c'est-à-dire, non pas de leur existence écrite, mais de leur rédaction exhaustive.




Les textes législatifs, rédigés par de simples hommes, et surtout lus et appliqués par d'autres « simples » hommes, dont aucune garantie sur leurs intellects ni leur moralité ne peut être, notamment en ce qui concerne les prétendus « professionnels » desdits systèmes juridico-judiciaires terriens, tels que magistrats, juges, greffiers, huissiers, avocats, obligent à l'entrebâillement d'interprétations multiples, voire à de fallacieux profitables détournements linguistiques et sémantiques.

Ces intellectuelles « traductions » formatées d'une manière monomorphe depuis une spécieuse exégèse orientée et partiale, provenant d'un cursus d'obligatoires analyses tronquées et manipulées, dispensées par les professeurs les enseignant dans un seul sens, sont élaborées pernicieusement pour s'en affranchir.

Les législateurs, ceux honnêtes, en sont contraints à rendre ces édits le plus exhaustif possible au point de les rendre nébuleux, abscons, et même inintelligibles. Leur crainte est le vide juridique.

La prédominance du « Sens Commun » permet de rendre une exhaustivité d'application à des principes, à des préceptes, à des lois, sans avoir besoin de les circonscrire d'une manière écrite pour et dans tous les cas possibles, voire même improbables, afin de ne pas exposer une fâcheuse inéquitable situation qui épargnerait un coupable à la faveur d'un subtil et affligeant manquement ou omission.

Le « Sens Commun » de principe, fait que l'écrit devient une base, mais non point un environnement d'application in extenso.

Pour exemple, « Les Dix commandements » ne font pas état de tant de circonvolutions de champs d'applications...




Le « Sens Commun » est une extension morale, d'application de ce qui n'est pas écrit, mais qui est légitime à l'absolu, et raisonnant de cette résonance par le seul fait que toute évocation d'une loi non écrite ou non précise, doit être entrevue et reconnue comme toute autant recevable, puisque les prétentions et les argumentations découlent du même esprit, de la même inspiration, du même principe universel et intemporel.

Mais, il relève qu'une telle revendication, quelle qu'elle soit, élaborée sur ce fondement, doit être sans faille, ni doute, ni omission contre-argumentaire. Honnêteté et intégrité.

Ainsi, en matière de corruption, entraînant la duplicité délibérée au niveau des « compréhensions » des principes fondamentaux, elle est à considérer comme un crime de haute trahison à l'encontre de l'esprit universel du « Sens Commun ».

Une insulte à l'« Intelligence ».

Une infamie contre-nature, et contre la Nature (universel).

Aussi, les principaux acteurs tels que les juges et assimilés, ainsi que les avocats, doivent et seront condamnés à supporter au moins la peine qu'ils n'ont pas infligée, ou pour laquelle ils ont participé fallacieusement et malhonnêtement à son privilégié énoncé.




Cette approche permet aussi de corriger les erreurs de rédaction, non plus quant aux manquements ou omissions, mais celles édictées, et ce, pour remettre en cause une faute de loi qui aurait échappé à la règle ultime du « Sens Commun ».




De ce fait, le « Sens Commun » est LA RÈGLE FONDAMENTALE UNIVERSELLE, une loi non écrite, d'ordre supra-national.

« ANOTOW » a la charge, non pas d'une manière exclusive, de son évocation, de son application, quelle qu'en soit la manière, et en tout lieu en l'Univers où un tel principe fondamental n'est point existant. Comme sur Terre...




Par ailleurs,

« ANOTOW » n'a pas, et n'est pas une divinité.

« ANOTOW » n'est pas une religion, ou assimilée, une secte.

« ANOTOW » n'a pas de chef, pas de gourou, pas de guide.

« ANOTOW » n'a pas de membre, pas d'adepte, pas de disciple.

« ANOTOW » n'a pas de rite, de rituel initiatique ou récurrent, ni même de culte, d'idole, de méthode de prosternation, de prêche ou de prière, d'adoration, ou de supplique.




« ANOTOW » ne s'approprie pas, ou ne peut permettre de s'approprier des mérites.

« ANOTOW » ne racole pas, ne recrute pas, ne fait pas de prosélytisme.

« ANOTOW » n'en demande pas non plus des oboles, des adhésions, des contributions financières.




« ANOTOW » n'a sa raison d'existence que par celles d'autres « courants », d'ordre malin, afin de s'y opposer, de le(s) combattre en présentant un contre-pouvoir spirituel, réel, moral, physique et matériel.




« ANOTOW » est aussi un ardent courant de divulgation et de diffusion de la « Vérité », notamment par la dénonciation des mensonges, des contre-vérités et des complots, et de ceux qui les génèrent, les fomentent et les propagent.




« ANOTOW » est la manifestation nominale de cet ensemble de pensées universelles et intemporelles, qui ne devraient même pas être érigées comme un « chemin à suivre » tant elles relèvent de ce bon-sens, de la logique, de l'esthétisme, de la conscience évidente, de l'Univers.




« ANOTOW » n'est rien d'autre que l'expression de que ce qui peut se trouver dans le « Camp du Bien », l'élégance de pensée, sans être ignorant des turpides qu'elle a à dénoncer et à combattre sans faillir.

« ANOTOW » sert les causes pour la protection de la Nature, de l'Environnement naturel, dans son universalité et son entièreté, autant la Flore que la Faune, que le Minéral.




« ANOTOW » ne fait aucune distinction entre l'Homme et les autres animaux, et considère le tout comme un Tout.




« ANOTOW » ne considère pas les « Droits de l'Homme », mais ceux du « Vivant ». Tout organisme a des droits fondamentaux inaliénables, et avant tout, ceux relatifs au respect, et ce, même si ces organismes n'en sont pas conscients, et/ou ne peuvent les invoquer. C'est à l'être dit d'un niveau supérieur, et/ou d'un pouvoir dominant, d'en prendre compte, considération et résolution.




« ANOTOW » considérant les « Droits du Vivant », considère à un niveau supérieur, les « Devoirs de l'Homme », puisque ce dernier est un être conscient, au plus haut échelon du monde animal terrestre connu, qui, de surcroît, profite et tire bénéfice des autres êtres vivants et de la Nature, cette dernière étant un bien partagé, commun à et pour toutes les espèces. La qualité de cette supériorité de grade moral en matière de devoirs par rapport aux droits, exprime le fait qu'avant de prétendre à des droits, l'Homme doit assumer ses obligations. Il est évident que ces charges fondamentales ne sont pas uniquement rattachées à l'Homme, mais bien à toute espèce dit « intelligente » qui a un ascendant sur une autre, ou même sur un seul être.




« ANOTOW » ne considère pas le fait que l'Homme ne puisse profiter de ce que l'Univers offre matériellement et concrètement, mais considère que l'Homme a des responsabilités et des devoirs envers la Nature et les autres animaux, qu'il doit respecter au plus haut point et sans l'ombre d'une défaillance, notamment quand il y en retire un avantage ou un bénéfice.




« ANOTOW » considère que tout acte doit être assumé par son auteur, qui doit en payer les conséquences, les préjudices causés et induits, directement et indirectement.

Aucun pardon ne peut être prodigué, dispensé, sauf par la victime elle-même, et uniquement lorsque le coupable est absolument sincère, sans aucun doute possible sur la nature authentique de ses regrets, et que des préjudices sur autrui ne sont pas ou plus existants, ou ne puissent être induits ultérieurement d'une telle sérieuse déclaration d'absolution. Ce dernier point étant au regard de possible réitération de délit envers d'autres personnes.




« ANOTOW » est à la fois, un absolu respect de l'individualité, mais aussi et surtout, une limite du libre arbitre quant à l'impact sur autrui, à son encontre, à sa gêne, et ce, sans absolument aucune notion de communisme. Toute liberté légitime ne se borne qu'à celle de l'« autre ».




« ANOTOW » est purement nominal, aussi, toute personne qui suit par instinct, par choix, ou par noblesse d'esprit, ou simplement inconsciemment, les mêmes aspirations Intellectuelles, est de ce fait, une partie d'« ANOTOW », sans que « cette dernière » (licence littéraire, poétique et philosophique pour la -temporaire- féminisation) ne puisse en revendiquer l'appartenance ou l'aliénation de cette personne, et sans que cette seconde dernière en sente être la propriété, l'esclave ou la proie.




« ANOTOW » ne formule aucune intimidation, aucune menace, aucun chantage envers toute personne du « Bien », et même notamment à l'encontre de celle qui assénerait qu'elle n'est pas, ou n'a jamais été, ou ne sera jamais de son idéologie morale nominale.

« ANOTOW » ne déclare aucune, et refuse toute appartenance avec quelconque religion.




« ANOTOW », de part son principe d'évidence et de logique universelle du « Bon Sens », ne peut avoir de raison d'être sans mettre en exergue toute vérité, la déclamer, et par conséquence, sans combattre sans défaillir, autant les mensonges et les vérités travesties, que leurs auteurs et propagateurs.




« ANOTOW », de part son principe d'évidence et de logique universelle du « Bon Sens », ne peut être étranger à tout savoir, toute connaissance.




« ANOTOW », de part son principe d'évidence et de logique universelle du « Bon Sens », ne peut être l'apanage d'une espèce, et ne peut être restreinte à s'appliquer qu'au « Vivant » de la planète Terre, mais bien à toutes les espèces existantes, tant animales, végétales et même spirituelles, et ce, autant en la dimension usuelle connue et conventionnelle, qu'à toute(s) autre(s).




Aussi, tout être vivant dit « intelligent » (conscient), a le devoir et l'obligation de s'y tenir.

Ainsi donc, l'espèce humaine a ce droit de conserver cette liberté de décision, et spécialement lors de contacts et de discussions avec d'autres espèces dites « intelligentes ».

Dans ce périmètre d'exercice, il est à ajouter que les abductions non consenties, comme toute séquestration, comme toute coercition, sont une grave violation de ces inaliénables universels droits fondamentaux du Vivant.

Les êtres ou entités commettant ces actes délictueux sont sous le couperet de ce grave crime d'absence de respect du libre-arbitre, celui du choix, et celui de refuser, et par voie de conséquences, de sanctions exemplaires.

Il va de soi qu'aucune nation, aucun gouvernement, aucune organisation ne peut accorder un passe-droit à un(e) quelconque autre, pour opérer sur sa population, et encore moins sur celle entière de la planète, notamment quant à des expériences forcées, non consenties, et pire, occultées mentalement (amnésie).

Tout pacte est frauduleux, et caduc.

Une supériorité technologique et/ou de savoir ne peut induire une supériorité morale, de conscience ou de « droit », mais, en revanche, cette qualité matérielle constitue une obligation d'intervention dès lors que la Loi fondamentale, celle du « Bon Sens », servant le « Bien », la noblesse, l'élégance spirituelle de ce qui est « Juste », est entachée. Ce qui revient au grave délit de « Neutralité ».







En résumé, « ANOTOW » par son principe universel, est supra-national, international, interplanétaire, inter-galactique.










Ainsi, « ANOTOW » est un courant philosophique appliqué, de valeurs et de motivations absolument inverses, opposées de ce que sont, que font et qu'entreprennent à mal dessein, la « française-maconnerie », et plus particulièrement, les « français-macons », si ce n'est la « Freemasonry », et les « Freemasons », et est paradoxalement, ce que toutes ces dernières et tous ces deniers revendiquent être et faire, avec spéciosité et duplicité.

« ANOTOW » est évidemment et nécessairement l'ennemi de ces membres sectaires qui ne vouent un culte qu'à l'obscurantisme éclairé sous leur illumination personnelle d'un faisceau bien contenu, dans le seul but de distordre, de travestir et même d'effacer la réalité des faits, des actes, la Vérité, souvent par une ombre déportée.




Il est sans conteste, en cette présente affaire qui vaut l'existence de ce poli-témoignage, en ces mésaventures aux multiples actions délictueuses et criminelles, en sus d'une insulte permanente aux lois de la République de France, un défi à titre spirituel, philosophique, moral, dogmatique, et même religieux.

Cela dépasse forcément la sphère politique dont cette dernière est l'esclave.

Le caractère masqué de ce procès était bien politique et religieux, ce qui est anticonstitutionnel au niveau français....

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